Ces équations décrivent le parcours psychologique et physiologique de la réponse sexuelle masculine.
L'orgasme a beau être étudié depuis des dizaines d'années, c'est seulement maintenant que des scientifiques ont trouvé une formule mathématique pour l'atteindre à coup sûr, révèle New Atlas.
Les modèles mathématiques sont déjà utilisés pour analyser, expliquer et appréhender des comportements ou des événements physiologiques comme la respiration, la circulation sanguine, l'ouïe ou la vision. Quant au sexe, il s'agit encore bien souvent d'un sujet tabou, ce qui gêne la collecte et l'étude de données complètes sur les pratiques sexuelles.
Pourtant, une équipe de recherche de l'Université du Sussex au Royaume-Uni a décidé de prendre le taureau par les cornes. Elle s'est inspirée de modèles mathématiques exploités pour analyser et améliorer les performances sportives, mais en les appliquant à la quête de l'orgasme.
L'orgasme a beau être étudié depuis des dizaines d'années, c'est seulement maintenant que des scientifiques ont trouvé une formule mathématique pour l'atteindre à coup sûr, révèle New Atlas.
Les modèles mathématiques sont déjà utilisés pour analyser, expliquer et appréhender des comportements ou des événements physiologiques comme la respiration, la circulation sanguine, l'ouïe ou la vision. Quant au sexe, il s'agit encore bien souvent d'un sujet tabou, ce qui gêne la collecte et l'étude de données complètes sur les pratiques sexuelles.
Pourtant, une équipe de recherche de l'Université du Sussex au Royaume-Uni a décidé de prendre le taureau par les cornes. Elle s'est inspirée de modèles mathématiques exploités pour analyser et améliorer les performances sportives, mais en les appliquant à la quête de l'orgasme.
Le chercheur et la chercheuse à l'origine de l'étude se sont notamment appuyés sur les recherches de William Masters, gynécologue, et de Virginia Johnson, sexologue, menées entre 1957 et 1990. Ces derniers sont parvenus à mesurer les réactions physiologiques lors de la réponse sexuelle humaine. En utilisant l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRM), ils ont découvert quelles parties du cerveau étaient en action lors d'une stimulation sexuelle et d'un orgasme.
Quatre phases et une clé
Une chose semble ressortir parmi toutes les données, anciennes ou nouvelles: la réponse sexuelle est un processus complexe, différent chez les femmes et les hommes. L'équipe de l'Université du Sussex a décidé de se concentrer dans un premier temps sur l'orgasme masculin, moins compliqué que le féminin. «Des chercheurs ont déjà tenté de rédiger des modèles pour décrire le parcours physiologique de l'orgasme», explique Konstantin Blyuss, coauteur de l'étude. «En s'appuyant sur des données déjà établies, ainsi que sur nos précédentes recherches, nous avons mis au point la première formule mathématique qui fonctionne sur les performances sexuelles.»
En suivant les quatre phases du cycle de réponse sexuelle masculine –l'excitation, le plateau, l'orgasme et la régression–, les chercheurs ont découvert que lorsqu'une grande stimulation psychologique intervient trop tôt dans le cycle, les chances d'atteindre un orgasme diminuent. Ils ont ensuite réalisé deux équations pour illustrer leurs résultats: une concernant l'aspect physiologique de l'orgasme, puis une autre sur son aspect psychologique.
Afin de vous éviter une migraine face à ces deux formules mathématiques aux symboles farfelus, on vous la fait courte: pour atteindre l'orgasme, la clé est de ne pas trop y penser. «Nos recherches mettent en lumière un sujet tabou et elles pourraient, selon nous, être très utiles pour traiter les dysfonctions sexuelles ainsi que pour améliorer la vie sexuelle», souligne Yuliya Kyrychko, coautrice de l'étude.
La prochaine étape est d'étudier la réponse sexuelle féminine. «Grâce à nos recherches, nous avons l'intention de formuler mathématiquement la réponse sexuelle des femmes qui est physiologiquement –et mathématiquement– bien plus complexe que celle des hommes», annonce Kyrychko.
Une chose semble ressortir parmi toutes les données, anciennes ou nouvelles: la réponse sexuelle est un processus complexe, différent chez les femmes et les hommes. L'équipe de l'Université du Sussex a décidé de se concentrer dans un premier temps sur l'orgasme masculin, moins compliqué que le féminin. «Des chercheurs ont déjà tenté de rédiger des modèles pour décrire le parcours physiologique de l'orgasme», explique Konstantin Blyuss, coauteur de l'étude. «En s'appuyant sur des données déjà établies, ainsi que sur nos précédentes recherches, nous avons mis au point la première formule mathématique qui fonctionne sur les performances sexuelles.»
En suivant les quatre phases du cycle de réponse sexuelle masculine –l'excitation, le plateau, l'orgasme et la régression–, les chercheurs ont découvert que lorsqu'une grande stimulation psychologique intervient trop tôt dans le cycle, les chances d'atteindre un orgasme diminuent. Ils ont ensuite réalisé deux équations pour illustrer leurs résultats: une concernant l'aspect physiologique de l'orgasme, puis une autre sur son aspect psychologique.
Afin de vous éviter une migraine face à ces deux formules mathématiques aux symboles farfelus, on vous la fait courte: pour atteindre l'orgasme, la clé est de ne pas trop y penser. «Nos recherches mettent en lumière un sujet tabou et elles pourraient, selon nous, être très utiles pour traiter les dysfonctions sexuelles ainsi que pour améliorer la vie sexuelle», souligne Yuliya Kyrychko, coautrice de l'étude.
La prochaine étape est d'étudier la réponse sexuelle féminine. «Grâce à nos recherches, nous avons l'intention de formuler mathématiquement la réponse sexuelle des femmes qui est physiologiquement –et mathématiquement– bien plus complexe que celle des hommes», annonce Kyrychko.
3 Commentaires
Femmes senegaiaiz bayilen tiouray ak betio et concentrez vs.janguileen tey sport baayi tayal
Damay foo rek nak
Leupaleup
En Avril, 2023 (10:44 AM)Participer à la Discussion