Selon une récente étude d'OpinionWay*, l'éjaculation précoce (EP) serait le premier trouble sexuel devant l'impuissance. Un homme sur deux se sentirait concerné par le problème. Et 43% des femmes avoueraient en pâtir. Les dommages collatéraux de l'EP recensés dans cette étude sont légion : baisse du désir sexuel, tension dans le couple, dépression... Malgré cela, moins de 15 % des hommes sont déjà allés consulter un spécialiste.
L'éjaculation précoce, encore taboue ?
Cette faible prise en charge de l'EP, s'expliquerait d'une part, par la difficulté de verbaliser le problème au sein du couple (50% des hommes concernés déclarent n’en avoir jamais parlé avec leur partenaire), et d'autre part à une incompétence à définir les symptômes. Ainsi pour 80% des sondés, une éjaculation peut être qualifiée de précoce si elle survient dans les deux premières minutes de la pénétration. Alors que l'EP est un trouble de l'éjaculation persistant ou répété lors de stimulations sexuelles minimes. Aujourd'hui, pour expliquer ce trouble, le facteur génétique est avancé.
* Etude "Regards sur la sexualité des Français", réalisée à la demande des laboratoires Menarini, du 9 au 26 novembre 2012, sur un panel de 750 hommes et 750 femmes, âgés de 18 à 64 ans.
7 Commentaires
Oh La La
En Avril, 2013 (03:00 AM)Lib69
En Avril, 2013 (09:00 AM)Danou
En Avril, 2013 (11:07 AM)La Vérité
En Avril, 2013 (12:44 PM)Bebita
En Avril, 2013 (14:36 PM)Ma cousine recemment divorcee a vecu cel durant plusieurs annees e le risque de tromper son mari lui a fait prendre cette decision la frustration allait crescendo e il ne voulait rien entendre.
Je plains qand meme son ex car je saiq que le nombre d annees qel a tenu rares mais tres rares seront cel qi reqteront autant de tps avec lui.
Raby
En Avril, 2013 (15:13 PM)Girl
En Avril, 2013 (12:03 PM)Participer à la Discussion