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Le programme Sida des armées qui suit un plus de 300 malades a enregistré une dizaine de personnes qui a arrêté le traitement, pour zéro décès durant l'année 2014-2015. Dans un entretien accordé au journal Sud Quotidien le Colonel Babacar Faye, fait le point sur la situation de cette maladie sexuellement transmissible au sein de l'armée.
Avec un taux de prévalence de 0,7% légèrement inférieur à celui de la population générale (0,74%) , le colonel-pharmacien de l'hôpital de Ouakam explique que cette situation est due à une meilleure prise en charge de ces personnes considérées comme vulnérables du fait de leur mobilité. "Au Sénégal, le taux de prévalence est bas au niveau de la population en général. Mais, le militaire comme le gendarme demeure une cible vulnérable de par leur mobilité, ils sont souvent projetés dans des pays hors du Sénégal où la prévalence est très élevée et où ils vont séjourner pendant une année. Deuxièmement, ils demeurent dans la partie méridionale à Ziguinchor où on constate que les prévalences au niveau national sont les plus élevées. Il y a de facto un fort lien entre la sécurité, la capacité opérationnelle et le VIH. L'objectif et la mission de ce programme sont le maintien de la capacité opérationnelle des forces avec une prévalence qui doit être inférieur à 2%", a expliqué le Colonel Faye.
13 Commentaires
Waaw
En Octobre, 2015 (07:55 AM)Vrai
En Octobre, 2015 (07:58 AM)Ouff
En Octobre, 2015 (08:20 AM)Boy Casa
En Octobre, 2015 (08:51 AM)Max
En Octobre, 2015 (09:13 AM)Anonyme Colonel Faye
En Octobre, 2015 (09:27 AM)comme vous le savait on recoit plus de civils que de militaires dans nos structures médicales militaires;
donc se sont 300 malades suivi et non 300 militaires infectés. le titre presente mal les choses
priere de tenir compte de cette précision.
lintervie
Wak Sa Khalate
En Octobre, 2015 (09:42 AM)Watt
En Octobre, 2015 (09:54 AM)Le gouvernement et les gradés militaires doivent avoir assez de couilles pour sanctionner ces porteurs et transmetteurs de Sida.
Jadi le Sida n'était pas connu, on parlait plutot de la sifilis et de la blénnoragie mais depuis que le Sénégal a pensé que "Téranga" rime avec lassez allez. Les étrangers pilullent comme des champignons en région Sud. Des libériens, des congolais, des bissau guinéens, des ghanéens, des nigérians, des foroh thiayas, des haitiens sont présentement plus considérés que les autochtones Sénégalais.
Dans ces cas de figure, le Sida demeurera tant que l'Etat refusera à prendre ses responsabilités pour non seulement controler ses frontières mais aussi demander aux militaires de voir à deux où ils pissent.
Il y a trop d'étrangers non fichés et non identifiés au Sénégal.
Anonyme
En Octobre, 2015 (10:08 AM)Big
En Octobre, 2015 (10:22 AM)c'est une maladie comme les autres on s'en fou on ne peut pas dépasser le jour de notre mort
Anti-pd
En Octobre, 2015 (10:24 AM)Watt
En Octobre, 2015 (10:39 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (02:17 AM)Participer à la Discussion