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Deux organisations de la société civile, la Direction de la santé de la reproduction et la Commission santé de l’Assemblée nationale, ont signé une déclaration pour qu’on augmente le budget de la santé maternelle et infanto-juvénile.
Au Sénégal, les femmes continuent de mourir en donnant la vie. Une triste réalité confirmée par le Dr Chimère Diaw, spécialiste en santé et nutrition à Save the children. Il a rappelé que, chaque jour, 4 décès maternels sont enregistrés et 80 enfants meurent quotidiennement à cause de maladies évitables.
Pour mettre fin à cette tragédie, une coalition a été mise place. Elle comprend deux organisations de la société civile (Save the Ccildren et Speak up Africa), des députés, le ministère de la Santé et de l’Action sociale. Elle se chargera de mener un plaidoyer pour l’augmentation du budget alloué à la santé maternelle et infanto-juvénile. Dans ce cadre, une déclaration a été signée, le 21 décembre, à Dakar, entre la Direction de la santé de la reproduction et de la survie de l’enfant (Dsr/Se) du ministère de la Santé et de l’Action sociale, les représentants de l’Assemblée nationale, Save the children et Speak up Africa.
Une série d’actions doit être mise en œuvre pour l’augmentation et la bonne utilisation des ressources allouées pour le bien-être des femmes et des enfants.
Surtout que les acteurs signataires de cette déclaration se sont indignés de ce qu’ils qualifient de l’impact dévastateur à long terme de la mortalité maternelle et infantile au Sénégal. Cependant, ils restent confiants, car reconnaissant le rôle crucial que peuvent jouer les députés, le ministère de l’Economie et des Finances ainsi que celui de la Santé, pour l’augmentation du budget en faveur de la santé maternelle et infantile.
Conscients de ce leadership, les membres de la coalition ont promis de mettre en œuvre des actions pour influencer le budget dédié à la santé de la mère et de l’enfant.
Il s’agit, entre autres, de renforcer le plaidoyer en direction des institutions nationales pour une meilleure compréhension de la santé maternelle et infantile dans le contexte de la résilience des communautés, de travailler en coordination avec les partenaires et organisations impliquées dans la santé de la mère et de l’enfant. Auparavant, les signataires ont rappelé que le Sénégal avait promis, conformément à la déclaration d’Abuja, de porter le budget de la santé à 15 % pour régler les obstacles liés à l’accès aux soins.
« Aujourd’hui, le budget de la santé du Sénégal se chiffre à plus de 150 milliards de FCfa, dont 10 milliards destinés au couple mère-enfant », a informé l’honorable député Mbayang Ndione.
Eugène KALY
Au Sénégal, les femmes continuent de mourir en donnant la vie. Une triste réalité confirmée par le Dr Chimère Diaw, spécialiste en santé et nutrition à Save the children. Il a rappelé que, chaque jour, 4 décès maternels sont enregistrés et 80 enfants meurent quotidiennement à cause de maladies évitables.
Pour mettre fin à cette tragédie, une coalition a été mise place. Elle comprend deux organisations de la société civile (Save the Ccildren et Speak up Africa), des députés, le ministère de la Santé et de l’Action sociale. Elle se chargera de mener un plaidoyer pour l’augmentation du budget alloué à la santé maternelle et infanto-juvénile. Dans ce cadre, une déclaration a été signée, le 21 décembre, à Dakar, entre la Direction de la santé de la reproduction et de la survie de l’enfant (Dsr/Se) du ministère de la Santé et de l’Action sociale, les représentants de l’Assemblée nationale, Save the children et Speak up Africa.
Une série d’actions doit être mise en œuvre pour l’augmentation et la bonne utilisation des ressources allouées pour le bien-être des femmes et des enfants.
Surtout que les acteurs signataires de cette déclaration se sont indignés de ce qu’ils qualifient de l’impact dévastateur à long terme de la mortalité maternelle et infantile au Sénégal. Cependant, ils restent confiants, car reconnaissant le rôle crucial que peuvent jouer les députés, le ministère de l’Economie et des Finances ainsi que celui de la Santé, pour l’augmentation du budget en faveur de la santé maternelle et infantile.
Conscients de ce leadership, les membres de la coalition ont promis de mettre en œuvre des actions pour influencer le budget dédié à la santé de la mère et de l’enfant.
Il s’agit, entre autres, de renforcer le plaidoyer en direction des institutions nationales pour une meilleure compréhension de la santé maternelle et infantile dans le contexte de la résilience des communautés, de travailler en coordination avec les partenaires et organisations impliquées dans la santé de la mère et de l’enfant. Auparavant, les signataires ont rappelé que le Sénégal avait promis, conformément à la déclaration d’Abuja, de porter le budget de la santé à 15 % pour régler les obstacles liés à l’accès aux soins.
« Aujourd’hui, le budget de la santé du Sénégal se chiffre à plus de 150 milliards de FCfa, dont 10 milliards destinés au couple mère-enfant », a informé l’honorable député Mbayang Ndione.
Eugène KALY
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