Selon Abdoul Khadre Traoré, de Intra Health, «un cas de paludisme à Saint-Louis est un événement. Or, la région de Sédhiou enregistre encore près de mille cas par an». Cela dit long sur la non utilisation ou la mauvaise utilisation de la moustiquaire imprégnée à longue durée d’action (Milda) par les populations de Sédhiou.
Pour réduire cette fracture des chiffres, la région médicale et Intra Health, dans le déroulement de la campagne nationale de couverture universelle, ont convié les communicateurs de la région à un atelier de partage et de plaidoyer.
Pour le partenaire, la rencontre a pour objectif de capaciter les communicateurs et tous les porteurs de voix dans l’optique d’amener les populations à changer de comportement quant à l’utilisation de la (Milda).
Il est vrai que le taux de disponibilité est important, mais c’est la non utilisation qui reste à déplorer. Il est donc attendu des journalistes, des communicateurs traditionnels et des chefs religieux un traitement de l’information qui puisse amener les populations à comprendre que la Milda ne doit pas être utilisée dans les rizières ou les surfaces maraichères pour servir de barrière contre les oiseaux prédateurs ou les animaux en divagation.
Il est toujours attendu des communicateurs d’expliquer à la populations que la moustiquaire imprégnée n’est pas destinée à protéger les animaux et même usée, ne doit pas être jetée dans la nature de crainte de poser un problème de santé communautaire. Les populations doivent également comprendre selon Marie Félicité Ciss de Intra Health qu’elles ne doivent pas rester au dehors jusqu’au-delà du 1/3 de la nuit (22 heures). A l’en croire, c’est la période pendant laquelle « e moustique se nourrit de notre sang et nous transmet le plasmodium vecteur du paludisme ». Les conclusions du plaidoyer invitent les populations à aller tôt au lit et à dormir sous la Milda avec toute la famille, toute l’année et toutes les nuits. Pour les amener à cela, les couchages seront recensés du 12 au 15 février suivis du lancement régional le lendemain et la distribution communautaire aura lieu du 27 février au 07 mars. A ce sujet, les populations ont été surtout invitées à ne pas faire de fausses déclarations au sujet du nombre de couchettes existantes dans les foyers pour une meilleure gestion des Milda.
Paul FAYE-Seneweb.com
Pour réduire cette fracture des chiffres, la région médicale et Intra Health, dans le déroulement de la campagne nationale de couverture universelle, ont convié les communicateurs de la région à un atelier de partage et de plaidoyer.
Pour le partenaire, la rencontre a pour objectif de capaciter les communicateurs et tous les porteurs de voix dans l’optique d’amener les populations à changer de comportement quant à l’utilisation de la (Milda).
Il est vrai que le taux de disponibilité est important, mais c’est la non utilisation qui reste à déplorer. Il est donc attendu des journalistes, des communicateurs traditionnels et des chefs religieux un traitement de l’information qui puisse amener les populations à comprendre que la Milda ne doit pas être utilisée dans les rizières ou les surfaces maraichères pour servir de barrière contre les oiseaux prédateurs ou les animaux en divagation.
Il est toujours attendu des communicateurs d’expliquer à la populations que la moustiquaire imprégnée n’est pas destinée à protéger les animaux et même usée, ne doit pas être jetée dans la nature de crainte de poser un problème de santé communautaire. Les populations doivent également comprendre selon Marie Félicité Ciss de Intra Health qu’elles ne doivent pas rester au dehors jusqu’au-delà du 1/3 de la nuit (22 heures). A l’en croire, c’est la période pendant laquelle « e moustique se nourrit de notre sang et nous transmet le plasmodium vecteur du paludisme ». Les conclusions du plaidoyer invitent les populations à aller tôt au lit et à dormir sous la Milda avec toute la famille, toute l’année et toutes les nuits. Pour les amener à cela, les couchages seront recensés du 12 au 15 février suivis du lancement régional le lendemain et la distribution communautaire aura lieu du 27 février au 07 mars. A ce sujet, les populations ont été surtout invitées à ne pas faire de fausses déclarations au sujet du nombre de couchettes existantes dans les foyers pour une meilleure gestion des Milda.
Paul FAYE-Seneweb.com
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