Dans un entretien paru ce jeudi dans Le Soleil, le directeur général de l’Agence sénégalaise de promotion des investissements et des grands travaux (Apix), Bakary Séga Bathily, regrette que le secteur privé national n’ait pas un accès facile à la terre. «Celui qui détient du foncier détient un actif qui lui permettra de lever des fonds», déduit-il.
Pour régler le problème, Bathily compte s’appuyer sur les conventions signées par l’Apix avec, d’une part, l’Agence nationale de l’aménagement du territoire (Anat) et, de l’autre, la Caisse des dépôts et consignations (Cdc). La première permet, explique-t-il, d’«identifier, dès maintenant, dans les territoires, les zones à aménager pour accueillir l’investissement». La seconde, prévoit-il, de financer l’aménagement des zones identifiées.
«Cette stratégie sera axée sur les entreprises locales pour leur permettre de se déployer. Maintenant, il y a d’autres défis, qui sont plus structurels et liés à l’énergie, au facteur travail», complète le directeur de l’Apix.
Pour régler le problème, Bathily compte s’appuyer sur les conventions signées par l’Apix avec, d’une part, l’Agence nationale de l’aménagement du territoire (Anat) et, de l’autre, la Caisse des dépôts et consignations (Cdc). La première permet, explique-t-il, d’«identifier, dès maintenant, dans les territoires, les zones à aménager pour accueillir l’investissement». La seconde, prévoit-il, de financer l’aménagement des zones identifiées.
«Cette stratégie sera axée sur les entreprises locales pour leur permettre de se déployer. Maintenant, il y a d’autres défis, qui sont plus structurels et liés à l’énergie, au facteur travail», complète le directeur de l’Apix.
2 Commentaires
Modou Sow
En Septembre, 2024 (08:11 AM)Reply_author
En Septembre, 2024 (09:08 AM)Avant Keur gua am loko tabakhai té moy revenu.
Il a raison le DG.
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