S. Ciss, père de famille âgé de 52 ans, croupit en prison depuis hier, à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Mbour. D’après L’Observateur, il lui est reproché d’avoir violé et engrossé la fille de son épouse, âgée de 16 ans.
Tout est parti, narre le journal, des confessions faites, la semaine dernière, par la belle-fille en question, Nd. C. S., à son oncle maternel, accusant son beau-père, un peintre domicilié avec sa famille au populeux quartier de Diamaguene de Nguékokh, de l’avoir violée à plusieurs reprises.
D’après elle, son présumé violeur profite des absences de sa mère pour la contraindre à des rapports sexuels. Elle lui a aussi confié que cela faisait plusieurs mois qu’elle n’avait plus eu ses règles. L’oncle avertit la mère. Les deux conduisent aussitôt la jeune fille à la structure sanitaire où après l’examen gynécologique mentionne la perte hyménale ainsi qu’une grossesse de 4 mois et 2 semaines.
En possession du dossier médical, l’épouse va déposer une plainte contre son mari à la Brigade de gendarmerie de la localité. La présumée victime confiera aux enquêteurs que son beau-père l’obligeait à garder le silence par des menaces. Le prévenu a nié les accusations de sa fille adoptive. Mais, il sera confronté aux déclarations de son épouse. Celle-ci a révélé qu’en 2020, son époux a été surpris par des membres de leur famille en train d’entretenir des relations sexuelles avec la même fille.
Mais à l’époque, le diagnostic avait conclu que l’hymen de la victime était toujours intact. C’est ainsi qu’elle avait préféré sauver son ménage suite à un règlement à l’amiable.
Cette fois, le couple a volé en éclats.
Tout est parti, narre le journal, des confessions faites, la semaine dernière, par la belle-fille en question, Nd. C. S., à son oncle maternel, accusant son beau-père, un peintre domicilié avec sa famille au populeux quartier de Diamaguene de Nguékokh, de l’avoir violée à plusieurs reprises.
D’après elle, son présumé violeur profite des absences de sa mère pour la contraindre à des rapports sexuels. Elle lui a aussi confié que cela faisait plusieurs mois qu’elle n’avait plus eu ses règles. L’oncle avertit la mère. Les deux conduisent aussitôt la jeune fille à la structure sanitaire où après l’examen gynécologique mentionne la perte hyménale ainsi qu’une grossesse de 4 mois et 2 semaines.
En possession du dossier médical, l’épouse va déposer une plainte contre son mari à la Brigade de gendarmerie de la localité. La présumée victime confiera aux enquêteurs que son beau-père l’obligeait à garder le silence par des menaces. Le prévenu a nié les accusations de sa fille adoptive. Mais, il sera confronté aux déclarations de son épouse. Celle-ci a révélé qu’en 2020, son époux a été surpris par des membres de leur famille en train d’entretenir des relations sexuelles avec la même fille.
Mais à l’époque, le diagnostic avait conclu que l’hymen de la victime était toujours intact. C’est ainsi qu’elle avait préféré sauver son ménage suite à un règlement à l’amiable.
Cette fois, le couple a volé en éclats.
4 Commentaires
Nianthio
En Juillet, 2023 (15:04 PM)Et il a eu le culot d appeler dans une émission pour demander le pardon de son épouse
Nianthio
En Juillet, 2023 (21:17 PM)Allez sur YouTube et taper Caoch les caviar : l homme enceinte sa belle-mère, la petite sœur, la cousine et la femme de ménage. Et vous verrez que je n ai pas inventer
Participer à la Discussion