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Fleuve Sénégal : Risque de débordement sur l’axe Bakel - Matam

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Fleuve Sénégal : Risque de débordement sur l’axe Bakel - Matam
Le ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement informe d’un risque de débordement des fleuves Sénégal et Gambie, notamment sur l’axe Bakel - Matam, au cas où les activités pluvio-orageuses se poursuivraient. 

Dans un communiqué publié ce jeudi 22 août, le ministère informe que le niveau de l’eau du fleuve a augmenté de 43 cm. «Le niveau de l’eau à Bakel, qui était de 9,52 m à 8 h, est monté à 9,57 m à 12 h, soit à 43 cm seulement de la cote d’alerte qui est de 10 m», peut-on lire sur le communiqué. 

Ainsi, le seuil critique pourrait être atteint. Le  ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement invite les populations riveraines à la vigilance et «à prendre toutes les dispositions nécessaires pour se prémunir d’éventuels dégâts qui seraient liés au débordement du cours d’eau».


9 Commentaires

  1. Auteur

    Reply

    En Août, 2024 (13:56 PM)
    Mais pourquoi ils ne font pas des lâchers d’eau
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    • Auteur

      Reply_author

      En Août, 2024 (18:16 PM)
      Chaque année pareil ! Dieu lui Maintient son fleuve dans son lit depuis des millions d'années.
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    • Auteur

      Dembele

      En Août, 2024 (20:18 PM)
      Je suis Boubacar Dembele, j'habite Bakel. Actuellement le fleuve déborde gravement. Mais.je voudrais que l'état essaie de voir comment trouver des mécanisme pour garder cette grande masse d'eau
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  2. Auteur

    Diaspora France

    En Août, 2024 (14:00 PM)
    C'est là qu'on se rend compte que nos états n'ont aucune politique agricole. Un fleuve long près de 1.800 Km qui se jette à l'océan atlantique à Saint Louis. Mais c'est de l'eau perdue. Aucune politique agricole pour exploiter cette richesse d'eau, aucun système d'irrigation sur tout le long du fleuve Sénégal. Les gens veulent travailler, veulent exploiter leurs terres, mais aucune politique d'accompagnement. C'est inimaginable et inconcevable avec cette richesse que le Sénégal continue à exporter du riz, du blé, des fruits et des légumes. Que des discours politiques. Les machines agricoles sont distribuées aux amis, aux familles, aux marabouts, les Sénégalais lambadas restent sur la touche. Comment voulez vous maintenir cette immigration sauvage, où on assiste à la disparition de toute une génération au fond de la mer.

    Depuis à l'indépendance à ce jour, 64 ans de discours politique basés sur l'agriculture. L'état est totalement absent.

    Si le Sénégal aura l'intelligence d'exploiter les eaux du fleuve Sénégal, nous ferons partie des pays agricoles.

    Il faut que l'état accompagne avec une vraie politique agricole. Nous sommes fatigués des discours. Les politiques ne sont plus audibles.

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    • Auteur

      Reply_author

      En Août, 2024 (14:13 PM)
      Je crois que tpi tu n'as jamais foutu les pieds dans cette zone pour écrire des balivernes de ce genre.
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    • Auteur

      Reply_author

      En Août, 2024 (14:29 PM)
      Je suis de Kounghany, ce que tu dis existe déjà. Peut être çà ne se fait pas à très grande échelle, mais on le fait quand même.
      Je suis pêcheur et cultivateur, en ce moment ce qui nous fatigue c'est la pollution. L'eau du fleuve est tellement pollué à cause de l'exploitation clandestine à Diyabougou. On a fait la remarque que certaines plantes meurent lorsqu'on les arrose avec l'eau du fleuve.
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    Auteur

    En Août, 2024 (14:11 PM)
    Le bulletin meteo de l omvs qui informait les populations ne passe plus a la rts.
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    Auteur

    Bodian

    En Août, 2024 (15:10 PM)
    C'est une aubaine pour nos villages entre Bakel et Matam ça permet de cultivé les berges du fleuve après la déçue.

    On y cultivé le maïs des patates douces et la courge.Il serait vraiment bon de faire tout au long du fleuve des réserves d'eau qui pourraient servir plus tard pour l'irrigation.
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    Auteur

    Bodian

    En Août, 2024 (15:10 PM)
    C'est une aubaine pour nos villages entre Bakel et Matam ça permet de cultivé les berges du fleuve après la déçue.

    On y cultivé le maïs des patates douces et la courge.Il serait vraiment bon de faire tout au long du fleuve des réserves d'eau qui pourraient servir plus tard pour l'irrigation.
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    Auteur

    Agriculture

    En Août, 2024 (15:47 PM)
    D’où l’opportunité de drainer ce potentiel à travers des chenaux pour revaloriser les terres arides ( rien ne se perd, tout se transforme)
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    Auteur

    Sall

    En Août, 2024 (16:24 PM)
    bonjour ,ce fleuve de son vraie nom s'appelle le fleuve du fouta ,il prend sa source dans le fouta djalon et traverse tout son long le fouta des deux coté du senegal et de la mauritanie, dont la gestion est collégiale
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    Auteur

    Salabiqué

    En Août, 2024 (16:32 PM)
    Salaupard de guinéen, espèce d'ingrat, vous bouffez notre pain et vous osez nous dire que c'est la guinée qui nous nourrit. J'espère que les sénégalais saisiront le sens de vos propos pour comprendre et agir contre le danger qui nous guette en laissant proliférer les Drings sur notre sol.

    En attendant l'arrivée de ce populiste qui va ériger un barrage pour assécher les fleuves Sénégal et Gambie, nous prendrons nos responsabilités en vous foutant dehors.

    Sénégalais vous êtes bien avertis. Tahirou a encore raison.
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    Auteur

    En Août, 2024 (18:11 PM)
    Beaucoup de sénégalais ignorent que les gens du Fouta vivant sur les berges du fleuve Sénégal et de ses affluents sont des agriculteurs, éleveurs et pêcheurs au niveau de vie beaucoup plus élevé que les millions de citoyens qui se massent dans les grandes villes du pays.

    Les petits cons nés et grandi dans la promiscuité, la saleté et la misère des banlieues parlent de Matam et du Fouta comme un enfer, alors que les populations y vivant sont beaucoup plus nantis qu' euc , surtout qu' elles ont l'apport de leurs fils émigrés en Afrique centrale, en Europe, en Amérique et tout récemment en Asie.

    Les populations du Fouta n'attendent rien du gouvernement des inspecteurs d'impôt enrichis dans la corruption nullards et analphabètes
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