Le président de l’Association sénégalaise pour le suivi et l’assistance aux malades mentaux (ASSAMM) Ansoumana Dione déplore ce qu’il considère comme un « acharnement flagrant » de la part de la gendarmerie territoriale. Il a fait allusion à la patrouille régulièrement aux abords du Centre de suivi et d’assistance aux malades mentaux de Bouchra. Il accuse le ministre de la Santé d’être à l’origine de cette situation et attire l’attention du chef de l’État et du Premier ministre, Ousmane Sonko. Le président de l’ASSAMM réfute toute rumeur de fermeture de ce centre, affirmant qu’il s’agit d’une structure privée.
5 Commentaires
Reply_author
il y a 1 semaine (19:03 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (20:37 PM)Ndandane
il y a 1 semaine (20:28 PM)Il a la volonté mais y a quelque chose qui ne marche pas bien en lui.
Ndandane
il y a 1 semaine (20:28 PM)Il a la volonté mais y a quelque chose qui ne marche pas bien en lui.
Petilaye
il y a 6 jours (18:22 PM)En tentant de traverser la chaussée, un monsieur, d'age assez avancé, a failli être renversé par un conducteur de moto Jakarta. La scène s'est produite ce matin à la place de l'indépendance. Le vieux n'était présent sur la route que physiquement, car son esprit était ailleurs, on ne sait où. Il était complètement perdu dans ses pensées. Pendant que le très peu respectueux et impatient jakartaman râlait, un bonhomme qui suivait la scène l'a alors secouru en l'aidant à rejoindre l'autre côté de la chaussée. Mais pas que. Il a discrètement sorti de sa poche un billet de 5000 F Cfa et les a glissés entre les mains du vieux. Et quand celui-ci tendit la main et constata le montant offert, il releva la tête, agréablement surpris par ce geste inespéré du jeune homme et se mit à prier ardemment pour lui. C'est un tel homme qui mérite grâce et bénédiction d'Allah.
Mais, figurez-vous la suite. En fait, le vieux a aussitôt retrouvé ses esprits et a décidé de rebrousser chemin. Et pour bien faire, cette fois-ci, en empruntant le passage clouté de la chaussée. Bien sûr avec un visage moins crispé qu'avant. Disons, avec une mine illuminée.
En observant la scène du début stressant à la fin heureuse, mes pensées sont allés à Ansoumana Dione, l'infatigable emblème de la lutte pour une bonne santé mentale des sénégalaises et sénégalais. Le dénouement de cette histoire laisse croire que cet homme, qui traînait ses soucis en pleine circulation, a connu une défaillance de sa santé mentale non médicale.
Certainement, comme bien des chefs ou cheffes de ménages sénégalais à mon image, pour commencer. Au lendemain de la rentrée des classes, en cette fin d'année...
Ah, j'allais oublié, la santé mentale non médicale se définit comme une absence de maladie mentale qui se soigne sans médicaments, mais plutôt axée sur le bien-être socio-économique. Dans notre histoire, le viel homme a été soigné par l'argent qu'il lui manquait sûrement pour assurer la dépense du jour. They Yallah !
Ps:
Le président de l’Association sénégalaise pour le suivi et l’assistance aux malades mentaux (ASSAMM) Ansoumana Dione mérite, en retour, tout le soutien du peuple sénégalais. Il considère comme un « acharnement flagrant » de la part de la gendarmerie territoriale, la patrouille régulièrement effectuée abords du Centre de suivi et d’assistance aux malades mentaux de Bouchra. Il accuse le ministre de la Santé d’être à l’origine de cette situation et attire l’attention du chef de l’État et du Premier ministre, Ousmane Sonko. Le président de l’ASSAMM réfute toute rumeur de fermeture de ce centre, affirmant qu’il s’agit d’une structure privée.
Petilaye
il y a 6 jours (18:26 PM)En tentant de traverser la chaussée, un monsieur, d'age assez avancé, a failli être renversé par un conducteur de moto Jakarta. La scène s'est produite ce matin à la place de l'indépendance. Le vieux n'était présent sur la route que physiquement, car son esprit était ailleurs, on ne sait où. Il était complètement perdu dans ses pensées. Pendant que le très peu respectueux et impatient jakartaman râlait, un bonhomme qui suivait la scène l'a alors secouru en l'aidant à rejoindre l'autre côté de la chaussée. Mais pas que. Il a discrètement sorti de sa poche un billet de 5000 F Cfa et les a glissés entre les mains du vieux. Et quand celui-ci tendit la main et constata le montant offert, il releva la tête, agréablement surpris par ce geste inespéré du jeune homme et se mit à prier ardemment pour lui. C'est un tel homme qui mérite grâce et bénédiction d'Allah.
Mais, figurez-vous la suite. En fait, le vieux a aussitôt retrouvé ses esprits et a décidé de rebrousser chemin. Et pour bien faire, cette fois-ci, en empruntant le passage clouté de la chaussée. Bien sûr avec un visage moins crispé qu'avant. Disons, avec une mine illuminée.
En observant la scène du début stressant à la fin heureuse, mes pensées sont allés à Ansoumana Dione, l'infatigable emblème de la lutte pour une bonne santé mentale des sénégalaises et sénégalais. Le dénouement de cette histoire laisse croire que cet homme, qui traînait ses soucis en pleine circulation, a connu une défaillance de sa santé mentale non médicale.
Certainement, comme bien des chefs ou cheffes de ménages sénégalais à mon image, pour commencer. Au lendemain de la rentrée des classes, en cette fin d'année...
Ah, j'allais oublié, la santé mentale non médicale se définit comme une absence de maladie mentale qui se soigne sans médicaments, mais plutôt axée sur le bien-être socio-économique. Dans notre histoire, le viel homme a été soigné par l'argent qu'il lui manquait sûrement pour assurer la dépense du jour. They Yallah !
Ps:
Le président de l’Association sénégalaise pour le suivi et l’assistance aux malades mentaux (ASSAMM) Ansoumana Dione mérite, en retour, tout le soutien du peuple sénégalais. Il considère comme un « acharnement flagrant » de la part de la gendarmerie territoriale, la patrouille régulièrement effectuée abords du Centre de suivi et d’assistance aux malades mentaux de Bouchra. Il accuse le ministre de la Santé d’être à l’origine de cette situation et attire l’attention du chef de l’État et du Premier ministre, Ousmane Sonko. Le président de l’ASSAMM réfute toute rumeur de fermeture de ce centre, affirmant qu’il s’agit d’une structure privée.
Participer à la Discussion