Les éléments de la Section de Recherches de la gendarmerie se sont lancés aux trousses des mis en cause, suite à une information anonyme faisant état d’un trafic intense de médicaments pour avorter, au marché noir de «Keur Serigne Bi».
Selon Rewmi Quotidien, les investigations menées par les enquêteurs ont permis d'identifier, d’abord, le nommé M. Sarr, qui avait rendez-vous avec un indicateur actionné pour la cause.
Interpellé sur sa moto, l’étudiant renseigne qu’il a été commissionné par B. Tall pour la livraison des six comprimés (Cytotec 200), retrouvés par devers lui.
Pour se tirer d’affaires, il ajoute qu’il ignorait le contenu de l'enveloppe. Entendu, B. Tall reconnaît les faits et désigne L. N. Ndaw comme son fournisseur. Il révèle qu’il devait gagner une commission de 35 000 Fcfa.
À son tour, Ndaw balance le nom de son principal collaborateur, I. Sylla, notoirement connu des revendeurs du marché. Lors de son interrogatoire, le cerveau de la bande allègue qu’il a été contacté par un individu qui voulait interrompre une grossesse.
«Au bout du fil, je lui ai répondu que je n’en disposais pas, mais qu’une de mes connaissances pouvait satisfaire sa demande. Ainsi, j’ai contacté Thierno qui m’a donné les comprimés que j’ai remis à B. Fall. Quelque temps après, Fall m’a appelé pour me demander de venir récupérer l’argent. Sur les lieux, les gendarmes m’ont interpellé et demandé la provenance des médicaments. Je les ai orientés vers Thierno qui a refusé de venir au rendez-vous», a expliqué Sylla né en 1982 et père de trois enfants.
Au terme de leurs auditions, les quatre comparses ont été déférés au parquet, puis placés sous mandat dépôt. Ils seront jugés le 7 octobre prochain, par le tribunal des flagrants délits de Dakar, pour association de malfaiteurs et trafic de médicaments, classés drogue.
Selon Rewmi Quotidien, les investigations menées par les enquêteurs ont permis d'identifier, d’abord, le nommé M. Sarr, qui avait rendez-vous avec un indicateur actionné pour la cause.
Interpellé sur sa moto, l’étudiant renseigne qu’il a été commissionné par B. Tall pour la livraison des six comprimés (Cytotec 200), retrouvés par devers lui.
Pour se tirer d’affaires, il ajoute qu’il ignorait le contenu de l'enveloppe. Entendu, B. Tall reconnaît les faits et désigne L. N. Ndaw comme son fournisseur. Il révèle qu’il devait gagner une commission de 35 000 Fcfa.
À son tour, Ndaw balance le nom de son principal collaborateur, I. Sylla, notoirement connu des revendeurs du marché. Lors de son interrogatoire, le cerveau de la bande allègue qu’il a été contacté par un individu qui voulait interrompre une grossesse.
«Au bout du fil, je lui ai répondu que je n’en disposais pas, mais qu’une de mes connaissances pouvait satisfaire sa demande. Ainsi, j’ai contacté Thierno qui m’a donné les comprimés que j’ai remis à B. Fall. Quelque temps après, Fall m’a appelé pour me demander de venir récupérer l’argent. Sur les lieux, les gendarmes m’ont interpellé et demandé la provenance des médicaments. Je les ai orientés vers Thierno qui a refusé de venir au rendez-vous», a expliqué Sylla né en 1982 et père de trois enfants.
Au terme de leurs auditions, les quatre comparses ont été déférés au parquet, puis placés sous mandat dépôt. Ils seront jugés le 7 octobre prochain, par le tribunal des flagrants délits de Dakar, pour association de malfaiteurs et trafic de médicaments, classés drogue.
5 Commentaires
Par peur du puissant lobby Mouride?
Ce pays va de mal en pis !
@6:38
En Octobre, 2021 (09:23 AM)Faillite De L'etat
En Octobre, 2021 (09:29 AM)Si à l'assemblée nationale il y avait moins de députés hypocrites la légalisation de l'avortement serait votée .
On préfère lire chaque semaine qu'on a retrouvé le corps d'un nouveau-né noyé, étranglé, étouffé et chercher à retrouver la mère pour la juger. Les géniteurs eux ne sont jamais importunés , cherchez l'erreur , d'autant quand il s'agit d'un viol, d'un inceste .
La pourriture et la criminalité ne sont pas toujours là où on veut qu'elles soient
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