Le Syndicat national des agents de l’administration du commerce (SYNACOM) observe, à partir de demain, mercredi, 72 heures de grève. Cette action est l’aboutissement d’un plan d’actions déjà entamé. Ses membres exigent la satisfaction de leur plateforme revendicative, qui porte sur les salaires, les recrutements et leurs conditions de travail.
«Nous sommes en mouvement d’humeur depuis quelques semaines pour exiger de l’Etat (…) l’alignement de la rémunération des commissaires aux enquêtes économiques et des contrôleurs du contrôle économique à l’aune des autres sortants de l’Ecole nationale d’administration ainsi que la revalorisation salariale des autres agents du département», informe Adama Mouhamed Mbaye, le secrétaire général du SYNACOM, joint par L’AS.
Les agents de l’administration du commerce réclament aussi, d'après la même source, le recrutement dans la Fonction publique des agents temporaires, l’augmentation des moyens logistiques et la rénovation de l’ensemble des services régionaux et départementaux du commerce, qui sont dans un état de délabrement avancé.
La grève du SYNACOM risque de gripper la machine économique. Adama Mouhamed Mbaye et ses camarades entendent, en effet, durant les 72 prochaines heures, suspendre toutes les enquêtes, contrôles et surveillance du marché. Ils vont bloquer la délivrance de documents administratifs (agréments, autorisations d’importations, certificats de qualité, les cartes import-export, etc.), entre autres actions au menu de leur mouvement.
«Nous sommes en mouvement d’humeur depuis quelques semaines pour exiger de l’Etat (…) l’alignement de la rémunération des commissaires aux enquêtes économiques et des contrôleurs du contrôle économique à l’aune des autres sortants de l’Ecole nationale d’administration ainsi que la revalorisation salariale des autres agents du département», informe Adama Mouhamed Mbaye, le secrétaire général du SYNACOM, joint par L’AS.
Les agents de l’administration du commerce réclament aussi, d'après la même source, le recrutement dans la Fonction publique des agents temporaires, l’augmentation des moyens logistiques et la rénovation de l’ensemble des services régionaux et départementaux du commerce, qui sont dans un état de délabrement avancé.
La grève du SYNACOM risque de gripper la machine économique. Adama Mouhamed Mbaye et ses camarades entendent, en effet, durant les 72 prochaines heures, suspendre toutes les enquêtes, contrôles et surveillance du marché. Ils vont bloquer la délivrance de documents administratifs (agréments, autorisations d’importations, certificats de qualité, les cartes import-export, etc.), entre autres actions au menu de leur mouvement.
8 Commentaires
Yeurmande
En Août, 2022 (10:25 AM)