Une fellation se termine par une histoire de vol de portable, impliquant une auto-stoppeuse à un touriste à Saly. D’après le récit de Bes Bi Le jour, les faits remontent au 28 juin, veille de la Tabaski. La dame, Ndella, qui rentrait à Ngaparou, arrête un touriste libanais qui prenait la même direction.
“Le 28 juin, vers 19h, j’allais à Ngaparou voir un ami quand une femme m’arrête et me demande de la déposer chez elle. J’accepte et en cours de route, elle me fait des avances que je rejette. Puis, elle propose une fellation gratuite au cours de laquelle elle m’a pris mon téléphone portable”, accuse le touriste à la barre du tribunal.
Le plaignant ajoute : “C’est quelques centaines de mètres après que je me suis rendu compte que mon téléphone a disparu. J’ai appelé et elle a répondu en m’exigeant de lui envoyer 200 euros pour entrer en possession de ce téléphone.”
Aidé par son ami anglais, narre-t-il, il est parvenu à retrouver son portable en se rendant au domicile de la prévenue. Cette dernière s’est confondue en excuses et en pleurs, en présence de ses parents dans la salle d’audience.
«Je ne suis pas une voleuse. Je ne l’ai jamais été. Je suis une commerçante. J’ai ramassé le téléphone portable et c’est moi qui l’ai remis à la Police», s’est-elle défendue.
Délibéré, le 27 juillet prochain. Le touriste ne réclame pas de dommages et intérêts du moment qu’il a retrouvé son téléphone. Il explique : “Ma faute à moi, c’est d’avoir cédé à l’offre de la femme. Je le reconnais mais je lui ai pardonné".
“Le 28 juin, vers 19h, j’allais à Ngaparou voir un ami quand une femme m’arrête et me demande de la déposer chez elle. J’accepte et en cours de route, elle me fait des avances que je rejette. Puis, elle propose une fellation gratuite au cours de laquelle elle m’a pris mon téléphone portable”, accuse le touriste à la barre du tribunal.
Le plaignant ajoute : “C’est quelques centaines de mètres après que je me suis rendu compte que mon téléphone a disparu. J’ai appelé et elle a répondu en m’exigeant de lui envoyer 200 euros pour entrer en possession de ce téléphone.”
Aidé par son ami anglais, narre-t-il, il est parvenu à retrouver son portable en se rendant au domicile de la prévenue. Cette dernière s’est confondue en excuses et en pleurs, en présence de ses parents dans la salle d’audience.
«Je ne suis pas une voleuse. Je ne l’ai jamais été. Je suis une commerçante. J’ai ramassé le téléphone portable et c’est moi qui l’ai remis à la Police», s’est-elle défendue.
Délibéré, le 27 juillet prochain. Le touriste ne réclame pas de dommages et intérêts du moment qu’il a retrouvé son téléphone. Il explique : “Ma faute à moi, c’est d’avoir cédé à l’offre de la femme. Je le reconnais mais je lui ai pardonné".
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