La situation politique actuelle préoccupe beaucoup le secteur privé national. Les patrons ne s’en cachent pas. L’incertitude plane, ce qui ne plaide pas pour les affaires.
L’épisode de mars dernier, corrélé à la tension ambiance dans la sphère politique en ce moment, préoccupe le secteur privé national. «On est dans une situation, il faut le dire, empreinte d’incertitudes et qui amène des questionnements. Il faut le résoudre préalablement pour aller vers des investissements productifs», a déclaré Abdoulaye Ly, Directeur exécutif du Club des investisseurs sénégalais (Cis).
Ce mardi, en marge de la cérémonie de formulation du plan national de développement et du Plan d’actions prioritaires (Pap3), il a souligné que l’économie ne peut être dissociée du politique. Et pour que l’activité économique puisse s’exercer de façon optimale, «il faut qu’il y ait un climat apaisé», soutient-il.
Des mots validés par Adama Lam, le patron de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes). Pour lui, «depuis plusieurs années, le politique a pris le pas sur la vie de notre nation». Et aujourd’hui, l’Etat doit être accompagné par le secteur privé pour faire naître des champions nationaux.
«C’est cela qui favorisera l’emploi de masse, un ruissellement de la croissance que nous avons vécue pendant des années et qui ne nous ont pas permis d’avoir tous les résultats escomptés», ajoute-t-il.
L’épisode de mars dernier, corrélé à la tension ambiance dans la sphère politique en ce moment, préoccupe le secteur privé national. «On est dans une situation, il faut le dire, empreinte d’incertitudes et qui amène des questionnements. Il faut le résoudre préalablement pour aller vers des investissements productifs», a déclaré Abdoulaye Ly, Directeur exécutif du Club des investisseurs sénégalais (Cis).
Ce mardi, en marge de la cérémonie de formulation du plan national de développement et du Plan d’actions prioritaires (Pap3), il a souligné que l’économie ne peut être dissociée du politique. Et pour que l’activité économique puisse s’exercer de façon optimale, «il faut qu’il y ait un climat apaisé», soutient-il.
Des mots validés par Adama Lam, le patron de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes). Pour lui, «depuis plusieurs années, le politique a pris le pas sur la vie de notre nation». Et aujourd’hui, l’Etat doit être accompagné par le secteur privé pour faire naître des champions nationaux.
«C’est cela qui favorisera l’emploi de masse, un ruissellement de la croissance que nous avons vécue pendant des années et qui ne nous ont pas permis d’avoir tous les résultats escomptés», ajoute-t-il.
5 Commentaires
Les auchan et les total serobt tres bien gardes.Mais pour ns hypermarches,marches etc de badoola,ne revons pas.
Chers parents,eduquez vos enfnats des le bas age pr quils ne soient complexes devant personne.Inculquez leur des valeurs.Le badoola a la tete de ce pays rek sujet leu
Salam Bird
En Janvier, 2023 (08:03 AM)Justice et Paix Ya Rahman.
Au revoir
C est pourquoi il est dans sa logique de mortel combat avec ses talibans sans cervelle
Pour ça qu il est dans logique de mort
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