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Pour lutter contre les accidents de la route, l’État avait, entre autres mesures prises, interdit aux transporteurs la circulation interurbaine entre 23 heures et 5 heures du matin. La décision avait fait grincer des dents, mais elle commence à porter ses fruits. Elle a en effet permis de réduire de 35% les accidents survenus la nuit, faisant ainsi baisser d’un peu moins de 30% les morts et de 40% les blessés durant les drames du genre enregistrés dans la tranche considérée.
Ces chiffres, repris par L’Observateur dans son édition de ce jeudi 27 février, sont de la gendarmerie qui faisait, ce mercredi 26, les comptes de ses actions en 2024. Les statistiques publiées révèlent que les cas nocturnes ne représentent 26,71% des accidents, mais constituent les plus graves. Ils sont souvent la conséquence d’un excès de vitesse, de la fatigue ou de la consommation d’alcool, renseigne la même source.
Ces chiffres, repris par L’Observateur dans son édition de ce jeudi 27 février, sont de la gendarmerie qui faisait, ce mercredi 26, les comptes de ses actions en 2024. Les statistiques publiées révèlent que les cas nocturnes ne représentent 26,71% des accidents, mais constituent les plus graves. Ils sont souvent la conséquence d’un excès de vitesse, de la fatigue ou de la consommation d’alcool, renseigne la même source.
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