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Au lendemain de l’annonce de la décision du ministre de l’Intérieur, Jean-Baptiste Tine, de suspendre «jusqu’à nouvel ordre» la couverture sécuritaire des combats de lutte, le CNG et les promoteurs se sont réunis, ce mercredi 19 février. L’objectif était de prendre de nouveaux engagements dans l’espoir de faire revenir les forces de l’ordre dans l’arène. «Parmi les points essentiels abordés, figurent les horaires des combats, la gestion des billets, l’encadrement des face-à-face et la question cruciale de la couverture sécuritaire», égrène Le Témoin de ce jeudi 20.
Porte-parole du CNG, Moustapha Kandji, repris par le journal, informe que désormais les combats préliminaires débuteront à 16 h 30 tandis que le coup d’envoi du grand combat devra être donné à 19h. La source renseigne qu’à propos de la capacité d’accueil de l’Arène nationale, 22 000 spectateurs, aucun dépassement ne sera autorisé. «Si nous constatons que le stade est plein, nous en informons la police et nous arrêtons immédiatement la vente aux guichets. Les portes sont ensuite fermées», prévient Kandji.
Pour les face-à-face, rapporte le porte-parole du CNG, les accompagnants sont bannis. Les lutteurs engagés viendront seuls sur les plateaux réservés cet effet.
Reste maintenant à savoir si ces nouveaux engagements feront revenir le ministre de l’Intérieur sur sa décision de retirer les forces de l’ordre de l’arène.
Porte-parole du CNG, Moustapha Kandji, repris par le journal, informe que désormais les combats préliminaires débuteront à 16 h 30 tandis que le coup d’envoi du grand combat devra être donné à 19h. La source renseigne qu’à propos de la capacité d’accueil de l’Arène nationale, 22 000 spectateurs, aucun dépassement ne sera autorisé. «Si nous constatons que le stade est plein, nous en informons la police et nous arrêtons immédiatement la vente aux guichets. Les portes sont ensuite fermées», prévient Kandji.
Pour les face-à-face, rapporte le porte-parole du CNG, les accompagnants sont bannis. Les lutteurs engagés viendront seuls sur les plateaux réservés cet effet.
Reste maintenant à savoir si ces nouveaux engagements feront revenir le ministre de l’Intérieur sur sa décision de retirer les forces de l’ordre de l’arène.
10 Commentaires
Senegalais
il y a 1 jour (08:03 AM)Reply_author
il y a 1 jour (11:30 AM)Yessman
il y a 1 jour (08:20 AM)Il etait bien temps de siffler la fin de la sale besogne. Sans couverture securitaire, les gangs n'ont qu'à se rendre au luttoir pour ne pas dire stade-ou arene de malheur. Un stade est de lieu de plaisir et non un pretexte de mouroir
AU BOULOT
L'Etat a la responsabilité d'organiser les sports, le CNG et la Police sont des entités de l'Etat : la suspension, l'arrêt sont des solutions de fainéants, une fuite en avant des Autorités Administrative de leur propre responsabilité
Il faut être sérieux dans la vie, ce gouvernement doit organiser un séminaire pour la sécurité de ce pays.
L
19h30 est encore trop tard étant donné qu’il fait déjà nuit, les malfrats profitent de la nuit pour s’adonner à leur sale besogne.
En plus il faut renforcer toutes les rues avec des caméras de surveillance pour rapidement détecter ces bandits et les appréhender pour leur octroyer des peines très lourdes de prison quitte à les condamner en travaux forcés.
La lutte doit être un sport et une culture et surtout un divertissement.
Mais quand les bandits s’y mêlent il faut sévir et aussi exiger que les organisateurs paient une assurance avant d’organiser un combat de lutte.. 15000 à 20 000 places sont suffisantes pour ne créer la cacophonie. Se limiter juste à ce nombre et le CNG doit être vigilant sur cet aspect de la surproduction de billets comme c’est de coutume dans beaucoup de disciplines et notamment le football quand l’équipe nationale joue.
Vigilance et Vigilance. Le CNG doit faire sa partition et son rôle.
Riverain Banlieu
il y a 22 heures (17:05 PM)Participer à la Discussion