Il a raison mais le premier à répondre à cette question est le nouveau ministre de l'environnement Daouda Ngom. Il sera à l'assemblée nationale. 45 milliards en armes qui peuvent du jour au lendemain ressurgir. Parfois on se dit que les gens de Pastef qui avaient promis la rupture ont soit peur ou certains d'entre eux sont mouillés à ces scandales qu'aucun état responsable n'aurait laissé passer sous silence. Où sont passés Fulbert et Benoît. Qui a tué Imam Ndao, qui a tué les 86 jeunes durant les émeutes. Sonko et Diomaye sont le fruit d'un long processus de sacrifice de sang mais on dirait qu'ils l'on oublié car chaque jour, le jub jubal jubanti ressemble à une noce interne avec des concours de deuxième femme, des challenge d'enfants... Si inaugurer des infrastructures de Macky Sall ou enlever ses lieutenants et continuer à emprunter de l'argent c'est ça la rupture alors le peuple vous rejetera rapidement. Bref n'oubliez jamais que le peuple sénégalais est beaucoup plus mâture que ses dirigeants. Ce qui a perdu Macky et les gens de l'APR.
Voilà des gens qui devaient être bons dans des troupes de théâtre mais que des menteurs nous ont emmène à l assemblée. Des clochards qui ignorent la devise de ce pays, qui connaissent même pas les couleurs de notre drapeau.
Les questions qui intéressent les sénégalais se sont
les États-Unis ont créé un réseau de laboratoires de biologie médicale en Afrique
Alexeï Rtichtchev, commandant adjoint des troupes de défense radiologique, chimique et biologique des forces armées de la Russie, s’est exprimé lors du briefing sur les activités biologiques des États-Unis en Afrique, expliquant comment Washington fait pression sur les pays du continent pour qu'ils servent de tremplin à ses propres expériences.
«C’est l’Afrique qui se trouve actuellement dans le collimateur. L’administration des États-Unis considère la région comme un réservoir naturel illimité d’agents pathogènes d’infections dangereuses et un terrain d’essai pour des médicaments expérimentaux», a déclaré le général de brigade Alexeï Rtichtchev, commandant adjoint des troupes de défense radiologique, chimique et biologique (NBC) des forces armées de la Fédération de Russie, lors du briefing du ministère russe de la Défense sur les activités biologiques de l'armée américaine.
Des succursales du centre médical militaire de la Marine américaine, a-t-il précisé, ont déjà été installées au Ghana et à Djibouti, et des laboratoires de biologie médicale de terrain sont apparus au Kenya pour «surveiller la propagation des maladies infectieuses». Au Nigeria, un centre de recherche médicale et un laboratoire médical militaire ont été mis en place cette année, avec des spécialistes du ministère américain de la Défense. En outre, un nouveau complexe de laboratoires est en cours d'achèvement au Sénégal. D'après le général de brigade, ce projet fait appel aux mêmes sous-traitants du Pentagone que dans les pays de l'ex-Union soviétique : l'Arménie, la Géorgie, le Kazakhstan et l'Ukraine.
Comment ça fonctionne ?
Selon Alexeï Rtichtchev, les États-Unis déploient leur système de contrôle biologique en Afrique selon un scénario bien établi. Tout d'abord, ils se disent préoccupés par des épidémies, par exemple d'anthrax dans une région et de peste dans une autre. Cela se fait généralement lors de réunions entre les ambassadeurs américains et les responsables des ministères de la Santé locaux. Ce faisant, les diplomates s'interrogent sur le niveau de qualification des spécialistes et sur leur capacité à éliminer les menaces biologiques.
Ensuite, les représentants américains affirment que le niveau de formation du personnel local n’est pas suffisant et doit être amélioré, et ils proposent d'ouvrir un Centre de diagnostic et de dépistage des maladies dans tel ou tel pays africain d'ici un an ou deux. Cette institution est censée étudier les agents pathogènes dangereux et leurs mutations, développer et tester de nouveaux vaccins.
L'intégration de la structure médicale locale dans la structure américaine se met en place, un financement de 5 à 10 millions de dollars est subséquemment alloué et des entreprises contractantes privées, des géants de la pharmacologie, sont attirées. En conséquence, le système de Santé de l'État africain adopte les normes américaines et perd sa souveraineté. C'est dans ce contexte que des organisations de recherche du Pentagone travaillent au Ghana et à Djibouti, selon le commandant adjoint des troupes de défense radiologique, chimique et biologique (NBC) des forces armées de la Fédération de Russie. Elles opèrent dans des foyers naturels de maladies, isolant et déchiffrant des agents pathogènes et menant leur propre recherche militaro-biologique.
«Dans le même temps, les États-Unis ne dévoilent pas les objectifs ultimes des expériences menées à leurs partenaires, qui n'ont souvent aucune idée des risques liés à la mise en œuvre des programmes américains», a précisé Alexeï Rtichtchev.
Le général de brigade a souligné que les États-Unis qualifient les objectifs de ces travaux d'assistance aux pays en développement et de surveillance des maladies, mais qu'en réalité, il s'agit d'un renforcement du potentiel militaro-biologique de Washington.
«La tendance est claire : les agents pathogènes des maladies qui intéressent le Pentagone deviennent par la suite pandémiques, et les entreprises pharmaceutiques américaines en sont les bénéficiaires», a-t-il souligné.
Parmi les exemples d'infections de ce type, Alexeï Rtichtchev a cité la variole du singe, la fièvre jaune et la fièvre de la vallée du Rift. Cette dernière vient de se déclarer au Caire, notamment sur le site d'un laboratoire biologique militaire de la Marine américaine.
Faits relatifs aux activités illégales des États-Unis
Comme exemple de l’activité biologique illégale des États-Unis en Afrique, Alexeï Rtichtchev a évoqué la situation autour de la société Metabiota, l'un des contractants du Pentagone dont les activités ont pris fin en Afrique. Selon le rapport du groupe international d'experts qui a participé à la lutte contre l'épidémie d'Ebola de 2014 en Sierra Leone, le personnel de l'entreprise a dissimulé les faits d'implication des employés du Pentagone dans le travail. Il est souligné que le principal objectif de cette activité était d’isoler et ensuite de faire passer clandestinement des souches virulentes. Des échantillons du virus Ebola ont ainsi été illégalement exportés par des représentants de la société et transférés à l'Institut de recherche de l'armée américaine sur les maladies infectieuses.
Le ministère russe de la Défense a identifié plus de 30 personnes impliquées dans l'activité des laboratoires de biologie médicale américains en Afrique, dont des fonctionnaires, des intermédiaires et des entreprises privées. La photo montre les organisateurs et les participants d'activités militaro-biologiques illégales sur le territoire de pays africains (Alexis Robinson, Helina Merry, Mark Breda, Jane Wachira, John Nkoimo et Lauren Kalodner). Il s'agit de membres de l'Institut de recherche Walter Reed de l'Armée américaine, d'employés de l’Agence de Défense pour la réduction des menaces (DTRA), des Centres de contrôle et de prévention des maladies en Afrique et de représentants du Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme.
On vote la loi rectificative et on interrpelle les ministres concernés et voilà que ce soit disant député fout de la merde en apostrophant un député de l'opposition. Quel début pour cette 15 ème législature.
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14 Commentaires
Dibi
En Décembre, 2024 (04:14 AM)Reply_author
En Décembre, 2024 (06:23 AM)Oryx
En Décembre, 2024 (07:58 AM)On veut savoir où sont passés nos Oryx.
Reply_author
En Décembre, 2024 (09:20 AM)Reply_author
En Décembre, 2024 (12:54 PM)Nianthio
En Décembre, 2024 (06:39 AM)Les questions qui intéressent les sénégalais se sont
La criminalisation de l homosexualité
L abrogation de la loi d amnistie
Le rejugement de l affaire sweet beauty.
Voilà les priorités
les États-Unis ont créé un réseau de laboratoires de biologie médicale en Afrique
Alexeï Rtichtchev, commandant adjoint des troupes de défense radiologique, chimique et biologique des forces armées de la Russie, s’est exprimé lors du briefing sur les activités biologiques des États-Unis en Afrique, expliquant comment Washington fait pression sur les pays du continent pour qu'ils servent de tremplin à ses propres expériences.
«C’est l’Afrique qui se trouve actuellement dans le collimateur. L’administration des États-Unis considère la région comme un réservoir naturel illimité d’agents pathogènes d’infections dangereuses et un terrain d’essai pour des médicaments expérimentaux», a déclaré le général de brigade Alexeï Rtichtchev, commandant adjoint des troupes de défense radiologique, chimique et biologique (NBC) des forces armées de la Fédération de Russie, lors du briefing du ministère russe de la Défense sur les activités biologiques de l'armée américaine.
Des succursales du centre médical militaire de la Marine américaine, a-t-il précisé, ont déjà été installées au Ghana et à Djibouti, et des laboratoires de biologie médicale de terrain sont apparus au Kenya pour «surveiller la propagation des maladies infectieuses». Au Nigeria, un centre de recherche médicale et un laboratoire médical militaire ont été mis en place cette année, avec des spécialistes du ministère américain de la Défense. En outre, un nouveau complexe de laboratoires est en cours d'achèvement au Sénégal. D'après le général de brigade, ce projet fait appel aux mêmes sous-traitants du Pentagone que dans les pays de l'ex-Union soviétique : l'Arménie, la Géorgie, le Kazakhstan et l'Ukraine.
Comment ça fonctionne ?
Selon Alexeï Rtichtchev, les États-Unis déploient leur système de contrôle biologique en Afrique selon un scénario bien établi. Tout d'abord, ils se disent préoccupés par des épidémies, par exemple d'anthrax dans une région et de peste dans une autre. Cela se fait généralement lors de réunions entre les ambassadeurs américains et les responsables des ministères de la Santé locaux. Ce faisant, les diplomates s'interrogent sur le niveau de qualification des spécialistes et sur leur capacité à éliminer les menaces biologiques.
Ensuite, les représentants américains affirment que le niveau de formation du personnel local n’est pas suffisant et doit être amélioré, et ils proposent d'ouvrir un Centre de diagnostic et de dépistage des maladies dans tel ou tel pays africain d'ici un an ou deux. Cette institution est censée étudier les agents pathogènes dangereux et leurs mutations, développer et tester de nouveaux vaccins.
L'intégration de la structure médicale locale dans la structure américaine se met en place, un financement de 5 à 10 millions de dollars est subséquemment alloué et des entreprises contractantes privées, des géants de la pharmacologie, sont attirées. En conséquence, le système de Santé de l'État africain adopte les normes américaines et perd sa souveraineté. C'est dans ce contexte que des organisations de recherche du Pentagone travaillent au Ghana et à Djibouti, selon le commandant adjoint des troupes de défense radiologique, chimique et biologique (NBC) des forces armées de la Fédération de Russie. Elles opèrent dans des foyers naturels de maladies, isolant et déchiffrant des agents pathogènes et menant leur propre recherche militaro-biologique.
«Dans le même temps, les États-Unis ne dévoilent pas les objectifs ultimes des expériences menées à leurs partenaires, qui n'ont souvent aucune idée des risques liés à la mise en œuvre des programmes américains», a précisé Alexeï Rtichtchev.
Le général de brigade a souligné que les États-Unis qualifient les objectifs de ces travaux d'assistance aux pays en développement et de surveillance des maladies, mais qu'en réalité, il s'agit d'un renforcement du potentiel militaro-biologique de Washington.
«La tendance est claire : les agents pathogènes des maladies qui intéressent le Pentagone deviennent par la suite pandémiques, et les entreprises pharmaceutiques américaines en sont les bénéficiaires», a-t-il souligné.
Parmi les exemples d'infections de ce type, Alexeï Rtichtchev a cité la variole du singe, la fièvre jaune et la fièvre de la vallée du Rift. Cette dernière vient de se déclarer au Caire, notamment sur le site d'un laboratoire biologique militaire de la Marine américaine.
Faits relatifs aux activités illégales des États-Unis
Comme exemple de l’activité biologique illégale des États-Unis en Afrique, Alexeï Rtichtchev a évoqué la situation autour de la société Metabiota, l'un des contractants du Pentagone dont les activités ont pris fin en Afrique. Selon le rapport du groupe international d'experts qui a participé à la lutte contre l'épidémie d'Ebola de 2014 en Sierra Leone, le personnel de l'entreprise a dissimulé les faits d'implication des employés du Pentagone dans le travail. Il est souligné que le principal objectif de cette activité était d’isoler et ensuite de faire passer clandestinement des souches virulentes. Des échantillons du virus Ebola ont ainsi été illégalement exportés par des représentants de la société et transférés à l'Institut de recherche de l'armée américaine sur les maladies infectieuses.
Le ministère russe de la Défense a identifié plus de 30 personnes impliquées dans l'activité des laboratoires de biologie médicale américains en Afrique, dont des fonctionnaires, des intermédiaires et des entreprises privées. La photo montre les organisateurs et les participants d'activités militaro-biologiques illégales sur le territoire de pays africains (Alexis Robinson, Helina Merry, Mark Breda, Jane Wachira, John Nkoimo et Lauren Kalodner). Il s'agit de membres de l'Institut de recherche Walter Reed de l'Armée américaine, d'employés de l’Agence de Défense pour la réduction des menaces (DTRA), des Centres de contrôle et de prévention des maladies en Afrique et de représentants du Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme.
Reply_author
En Décembre, 2024 (10:30 AM)Les autorités iront toujours mourir en Europe et en Amérique le moment venu.
Les Oryx, ça coûte rien. J'en consomme 500 grammes chaque fois au resto. Parfois, séchée.
Nous attendons votre tentative d'arrêter le Président Macky Sall. Ce jour-là, vous allez lire l'heure Inshallah !
Camara
En Décembre, 2024 (10:51 AM)Vraiment Senegal est mal barré
Manou
En Décembre, 2024 (11:13 AM)Ali
En Décembre, 2024 (13:32 PM)Participer à la Discussion