La Journée mondiale de lutte contre le sida, célébrée le 1er décembre 1988, a été la première journée internationale dédiée à la santé au niveau mondial. La ministre de la Famille et des Solidarités du Sénégal s’est engagée à réduire de manière drastique les nouvelles infections.
Le 5 décembre, à Guédiawaye, plus précisément à Golf Sud, le ministère de la Famille, avec le concours de l’ ONUSIDA et le Conseil national de lutte contre le Sida (CNLS) a lancé la « Semaine nationale femme et Sida ». Cette rencontre a enregistré la présence de la Secrétaire exécutive du CNLS, Safiétou Thiam, des maires de Guédiawaye Ahmed Aïdara et du Golf Sud, Khadija Mahécor Diouf, les relais communautaires, le réseau national des personnes vivant avec le VIH, le réseau Convergence des jeunes entre autres invités.
Cette Semaine nationale femme Sida s’inscrit dans l’agenda national de la santé et de la promotion des droits des femmes. C’est aussi une occasion d’intensifier la riposte au sein et avec le soutien des différentes communautés. Après plus de 30 ans de riposte, des efforts ont été consentis permettant d’enregistrer une baisse du taux de prévalence du Sida qui se situe aujourd’hui à 0,3 %.
Toutefois, selon le Spectrum 2017/2022, il a été noté depuis 2017, une augmentation des nouvelles infections chez les 15-24 ans, passant de 168 à 227cas en 2022, soit une augmentation de 35,1%.
« Cela requiert qu’une attention particulière soit accordée aux adolescentes et aux jeunes filles d’autant plus que dans cette tranche d’âge, les jeunes filles sont deux (02) fois plus infectées que les jeunes garçons », constate Maïmouna Dièye.
Partageant la même vision de la Secrétaire exécutive du CNLS, la ministre voit également que le Sénégal doit faire partie de ces pays où plus aucune femme enceinte ne transmet le VIH à son enfant. « La propagation d’être ralentie ou même interrompue », estime-t-elle.
Pour ce faire, toutes les communautés sociales sont invitées à offrir aux jeunes l’appui dont ils ont besoin, leur donner les moyens de se protéger du virus. L’atteinte de ces objectifs passe par l’accentuation de la communication, de la sensibilisation. « Aucune des stratégies destinées à limiter la propagation du VIH/SIDA ne sera efficace, si les droits des adolescents et des filles à la santé ne sont pas protégés et défendus avec vigueur et aucun progrès ne sera accompli sans l’abandon de la discrimination à l’égard des personnes qui sont infectées et affectées par le VIH », fait savoir la ministre de la Famille. Pour cette semaine, les acteurs de la santé, les « badienou gokh » ( marraine de quartier), les délégués de quartier, imams et autres relais sont à pied d’œuvre pour une large sensibilisation et invite au dépistage.
Le 5 décembre, à Guédiawaye, plus précisément à Golf Sud, le ministère de la Famille, avec le concours de l’ ONUSIDA et le Conseil national de lutte contre le Sida (CNLS) a lancé la « Semaine nationale femme et Sida ». Cette rencontre a enregistré la présence de la Secrétaire exécutive du CNLS, Safiétou Thiam, des maires de Guédiawaye Ahmed Aïdara et du Golf Sud, Khadija Mahécor Diouf, les relais communautaires, le réseau national des personnes vivant avec le VIH, le réseau Convergence des jeunes entre autres invités.
Cette Semaine nationale femme Sida s’inscrit dans l’agenda national de la santé et de la promotion des droits des femmes. C’est aussi une occasion d’intensifier la riposte au sein et avec le soutien des différentes communautés. Après plus de 30 ans de riposte, des efforts ont été consentis permettant d’enregistrer une baisse du taux de prévalence du Sida qui se situe aujourd’hui à 0,3 %.
Toutefois, selon le Spectrum 2017/2022, il a été noté depuis 2017, une augmentation des nouvelles infections chez les 15-24 ans, passant de 168 à 227cas en 2022, soit une augmentation de 35,1%.
« Cela requiert qu’une attention particulière soit accordée aux adolescentes et aux jeunes filles d’autant plus que dans cette tranche d’âge, les jeunes filles sont deux (02) fois plus infectées que les jeunes garçons », constate Maïmouna Dièye.
Partageant la même vision de la Secrétaire exécutive du CNLS, la ministre voit également que le Sénégal doit faire partie de ces pays où plus aucune femme enceinte ne transmet le VIH à son enfant. « La propagation d’être ralentie ou même interrompue », estime-t-elle.
Pour ce faire, toutes les communautés sociales sont invitées à offrir aux jeunes l’appui dont ils ont besoin, leur donner les moyens de se protéger du virus. L’atteinte de ces objectifs passe par l’accentuation de la communication, de la sensibilisation. « Aucune des stratégies destinées à limiter la propagation du VIH/SIDA ne sera efficace, si les droits des adolescents et des filles à la santé ne sont pas protégés et défendus avec vigueur et aucun progrès ne sera accompli sans l’abandon de la discrimination à l’égard des personnes qui sont infectées et affectées par le VIH », fait savoir la ministre de la Famille. Pour cette semaine, les acteurs de la santé, les « badienou gokh » ( marraine de quartier), les délégués de quartier, imams et autres relais sont à pied d’œuvre pour une large sensibilisation et invite au dépistage.
4 Commentaires
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il y a 2 semaines (09:33 AM)Machin donne DE LA VOIX...
#Robert.bou.touti
Xeme
il y a 2 semaines (09:20 AM)En France, des figures politiques de l'opposition commencent à évoquer la réhabilitation du Professeur Montagnier (prix Nobel de Médecine décédé) parce qu'il avait été le premier à révéler que les vaccins covid19 donne le Sida. Le pouvoir sioniste de Macron avait lancé les médias sur lui pour le transformer en vaut rien. Aujourd'hui, en plus de plusieurs experts indépendants qui le confirment, trois pouvoirs dans le monde, à la suite d'enquêtes parlementaires ou d'études arrivent à la même conclusion. Ce sont l'Italie, l'Australie et les USA.
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