Déposé fin août, par un putsch, l’ex-président du Gabon, Ali Bongo n’a visiblement pas la rancune tenace. Selon le chef du bureau Afrique centrale de l’Onu, Abdou Abarry, le fils d’Omar Bongo n’a pas exprimé l’envie de reprendre le pouvoir à n’importe quel prix.
« Je n’ai pas senti en lui une position vindicative de quelqu’un qui revendique de revenir au pouvoir ou quelque chose de ce genre. Je n’ai pas senti cette volonté ou ce désir » a déclaré le fonctionnaire onusien qui a rencontré récemment le président déchu.
« Le souhait qu’il a exprimé c’est celui de voir le Gabon continuer son ascension »
Ali Bongo serait plutôt disposé à conseiller les putschistes selon M Abarry. « Le président Bongo m’a paru très serein dans la mesure où il a même exprimé sa pré-disponibilité si les nouvelles autorités le jugeaient utile de bénéficier de ses conseils et de son accompagnement dans la mesure où le souhait qu’il a exprimé c’est celui de voir le Gabon continuer son ascension dans la paix et la quiétude sociale » a déclaré le représentant régional de l’Onu à RFI.
Ali Bongo a peut-être compris qu’il était temps pour lui, de penser à sa santé. Selon M Abarry, c’est actuellement, sa préoccupation fondamentale. Inutile de rappeler que le président déchu porte encore les séquelles de son AVC intervenu en 2018.
« Je n’ai pas senti en lui une position vindicative de quelqu’un qui revendique de revenir au pouvoir ou quelque chose de ce genre. Je n’ai pas senti cette volonté ou ce désir » a déclaré le fonctionnaire onusien qui a rencontré récemment le président déchu.
« Le souhait qu’il a exprimé c’est celui de voir le Gabon continuer son ascension »
Ali Bongo serait plutôt disposé à conseiller les putschistes selon M Abarry. « Le président Bongo m’a paru très serein dans la mesure où il a même exprimé sa pré-disponibilité si les nouvelles autorités le jugeaient utile de bénéficier de ses conseils et de son accompagnement dans la mesure où le souhait qu’il a exprimé c’est celui de voir le Gabon continuer son ascension dans la paix et la quiétude sociale » a déclaré le représentant régional de l’Onu à RFI.
Ali Bongo a peut-être compris qu’il était temps pour lui, de penser à sa santé. Selon M Abarry, c’est actuellement, sa préoccupation fondamentale. Inutile de rappeler que le président déchu porte encore les séquelles de son AVC intervenu en 2018.
4 Commentaires
Reply_author
En Septembre, 2023 (22:18 PM)Poseidon Badji
En Septembre, 2023 (23:08 PM)C'est un coup d'Etat contre l'opposition rien de plus.
Al
En Septembre, 2023 (21:26 PM)Ox
En Septembre, 2023 (22:37 PM)Bénédictions
En Septembre, 2023 (02:46 AM)Really?
En Septembre, 2023 (08:31 AM)Reply_author
En Septembre, 2023 (09:46 AM)Participer à la Discussion