La guerre au Mali n’est ni ethnique, ni religieuse mais contre le terrorisme, a déclaré vendredi à Abidjan le ministre malien de l’économie, des finances et du Budget, Tiénè Coulibaly.
Intervenant à l'ouverture des travaux de la première session ordinaire du Conseil des ministres de l'économie et des finances de l'Union économique et monétaires ouest africaine (UEMOA), M. Coulibaly a relevé que la session se tient à un moment où « nous nous acheminons vers la résolution des crises sécuritaires qui ont secoué notre espace ».
Il a également exprimé sa « profonde gratitude » aux pays de la sous-région et à toute la communauté internationale pour leur « forte mobilisation » en vue de permettre à son pays, le Mali, de recouvrer sa dignité en boutant le terrorisme hors de son territoire.
‘'Je voudrais à cet effet, saluer une fois de plus la vision de nos Chefs d'Etats et de gouvernement d'avoir institutionnalisé un chantier intégrateur sur la paix et la sécurité, car il n'y a pas de développement sans paix'' a ajouté M. Coulibaly, également président du Conseil des ministres de l'UEMOA
Face à un environnement international marqué par la crise des dettes souveraines et les dommages collatéraux liés aux déséquilibres sociopolitiques de la région, il a estimé que les Etats de l'Union ont fait preuve de résilience en raison des mesures internes et communautaires déployées pour pérenniser les taux de croissance élevés.
‘'Nous nous réjouissons de cette pertinentes mesures qui constituent notre engagement à sauvegarder le socle de l'intégration'', a conclu le président du Conseil des ministres de l'économie et des finances de l'UEMOA.
2 Commentaires
Afrikain
En Mars, 2013 (05:43 AM)AU LIEU D'ALLER T'INFORMER A LA BONNE SOURCE, TU PASSES TON TEMPS A NOUS ETALER TES IGNORANCES A LONGUEUR DE JOURNEE. XANA TU N'AS PAS DE CORVEE AU CAMP TOI?
COMME TU N'AS JAMAIS ENTENDU PARLER DE L'ACCORD CADRE DE BAMAKO (06 avril 2012) ET DE LA LOI DE PROGRAMMATION ET ET D'ORIENTATION MILITAIRE QUI LE COMPLETE, JE T'INVITE A BIEN LIRE CECI:
A la signature de l' Accord cadre de Bamako, qui précise le retour à l'ordre constitutionnel, et l'abandon du pouvoir par la junte du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'état (CNRDRE), une série de questions se posent pour la suite. Les hommes du capitaine Sanogo vont rendre le pouvoir aux civils, mais quand et comment ?
Pour commencer, il faut quelqu'un à la tête de l'état pour gérer cette période intermédiaire, en l'occurrence, le président de l'Assemblée nationale, Dionkounda Traoré, arrivé du Burkina Faso dans l'après-midi de samedi 7 Avril. Pour qu'il devienne président dans le cadre d'une vacance du pouvoir, il faut qu'ATT commence par démissionner(ce qu'il fera sans hésitation ni murmure).
Afrikain
En Mars, 2013 (05:49 AM)Dès lors, un gouvernement d'union nationale de transition fut urgemment mis en place à Bamako dont "L’une des missions essentielles sera de reconquérir le territoire national. Cette reconquête devra se faire par l'Armée nationale malienne, réarmée moralement et rééquipée, avec l’appui logistique, matériel et en renseignements des pays amis qui le souhaitent" comme le pécise la loi de programmation et d’orientation militaire du 11avril 2012.
EST-CE-QUE VOUS AVEZ COMPRIS CAPORAL???
AUTREMENT DIT, LE PRESIDENT DIONKOUNDA EST DANS LES TERMES DE LA LEGALITE LORSQU'IL DEMANDE L'INTERVENTION DE LA FRANCE.
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