L’acceptation de la Commission d’enquête parlementaire du Parti démocratique sénégalais par le bureau de l’Assemblée nationale est un inadmissible déni du principe fondateur de la République : la séparation des pouvoirs.
L’institution parlementaire n’est pas un tribunal. Elle n’a pas à connaître des conditions d’invalidation de candidature, de soupçons de corruption, connexions douteuses encore moins de conflits d’intérêts.
Ses missions sont le vote des lois, le contrôle de l’action du gouvernement et l’évaluation des politiques publiques.
L’investigation de l’objet de la saisine du Pds est du ressort exclusif du pouvoir judiciaire.
La République du Sénégal en constitutionnalisant la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, fait sien le principe selon lequel « Toute société dans laquelle la garantie de la séparation des pouvoirs n’est pas déterminée, n’a point de Constitution ».
Malheureusement, l’acceptation par le bureau de la Représentation nationale de la demande de création d’une commission d’enquête parlementaire introduite par le Pds et soutenue par la majorité BBY, sur l’invalidation de candidature de Karim Meïssa Wade à l’élection présidentielle ou des soupçons de corruption impliquant des membres du Conseil constitutionnel, est un précédent dangereux, une grave violation de la Constitution et de la Loi organique portant Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Le bureau de l’Assemblée nationale avec le soutien du Secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République commet une forfaiture en accédant à la ridicule demande du Pds. L’Assemblée nationale outrepasse ses prérogatives constitutionnelles et viole la séparation des pouvoirs.
Ce qui est entrain de se passer à l’Assemblée nationale est un véritable abus du législatif pour ne pas dire un coup d’État parlementaire contre le pouvoir judiciaire.
Soutenir la création de la Commission d’enquête est une dangereuse immixtion de l’Assemblée nationale dans le fonctionnement du pouvoir judiciaire et une négation du principe constitutionnel selon lequel une décision du Conseil constitutionnel ne peut faire l’objet d’un quelconque recours.
Si le Pds dispose de preuves de corruptions, de connexions douteuses et conflits d’intérêts impliquant des membres du Conseil constitutionnel, c’est la justice qu’il doit saisir et non la Représentation nationale.
Avec cette Commission d’enquête parlementaire, l’Assemblée nationale vient de perpétrer un coup d’état en s’arrogeant des fonctions qui ne relèvent que du pouvoir judiciaire.
En choisissant la forme républicaine de l’Etat, le Sénégal a opté par la séparation des pouvoirs.
Dans une République digne de ce nom, aucun pouvoir ne peut remplir à la fois les fonctions législatives et juridictionnelles.
Tous les républicains doivent condamner, avec la dernière énergie, la création de cette commission d’enquête qui discrédite la Représentation nationale et exiger son retrait sans délai.
Au service du Sénégal. Tout le Sénégal.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Moustapha Diakhaté Le bureau de l’Assemblée nationale abîme la République
L’acceptation de la Commission d’enquête parlementaire du Parti démocratique sénégalais par le bureau de l’Assemblée nationale est un inadmissible déni du principe fondateur de la République : la séparation des pouvoirs.
L’institution parlementaire n’est pas un tribunal. Elle n’a pas à connaître des conditions d’invalidation de candidature, de soupçons de corruption, connexions douteuses encore moins de conflits d’intérêts.
Ses missions sont le vote des lois, le contrôle de l’action du gouvernement et l’évaluation des politiques publiques.
L’investigation de l’objet de la saisine du Pds est du ressort exclusif du pouvoir judiciaire.
La République du Sénégal en constitutionnalisant la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, fait sien le principe selon lequel « Toute société dans laquelle la garantie de la séparation des pouvoirs n’est pas déterminée, n’a point de Constitution ».
Malheureusement, l’acceptation par le bureau de la Représentation nationale de la demande de création d’une commission d’enquête parlementaire introduite par le Pds et soutenue par la majorité BBY, sur l’invalidation de candidature de Karim Meïssa Wade à l’élection présidentielle ou des soupçons de corruption impliquant des membres du Conseil constitutionnel, est un précédent dangereux, une grave violation de la Constitution et de la Loi organique portant Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Le bureau de l’Assemblée nationale avec le soutien du Secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République commet une forfaiture en accédant à la ridicule demande du Pds. L’Assemblée nationale outrepasse ses prérogatives constitutionnelles et viole la séparation des pouvoirs.
Ce qui est entrain de se passer à l’Assemblée nationale est un véritable abus du législatif pour ne pas dire un coup d’État parlementaire contre le pouvoir judiciaire.
Soutenir la création de la Commission d’enquête est une dangereuse immixtion de l’Assemblée nationale dans le fonctionnement du pouvoir judiciaire et une négation du principe constitutionnel selon lequel une décision du Conseil constitutionnel ne peut faire l’objet d’un quelconque recours.
Si le Pds dispose de preuves de corruptions, de connexions douteuses et conflits d’intérêts impliquant des membres du Conseil constitutionnel, c’est la justice qu’il doit saisir et non la Représentation nationale.
Avec cette Commission d’enquête parlementaire, l’Assemblée nationale vient de perpétrer un coup d’état en s’arrogeant des fonctions qui ne relèvent que du pouvoir judiciaire.
En choisissant la forme républicaine de l’Etat, le Sénégal a opté par la séparation des pouvoirs.
Dans une République digne de ce nom, aucun pouvoir ne peut remplir à la fois les fonctions législatives et juridictionnelles.
Tous les républicains doivent condamner, avec la dernière énergie, la création de cette commission d’enquête qui discrédite la Représentation nationale et exiger son retrait sans délai.
Au service du Sénégal. Tout le Sénégal.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Moustapha Diakhaté
L’institution parlementaire n’est pas un tribunal. Elle n’a pas à connaître des conditions d’invalidation de candidature, de soupçons de corruption, connexions douteuses encore moins de conflits d’intérêts.
Ses missions sont le vote des lois, le contrôle de l’action du gouvernement et l’évaluation des politiques publiques.
L’investigation de l’objet de la saisine du Pds est du ressort exclusif du pouvoir judiciaire.
La République du Sénégal en constitutionnalisant la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, fait sien le principe selon lequel « Toute société dans laquelle la garantie de la séparation des pouvoirs n’est pas déterminée, n’a point de Constitution ».
Malheureusement, l’acceptation par le bureau de la Représentation nationale de la demande de création d’une commission d’enquête parlementaire introduite par le Pds et soutenue par la majorité BBY, sur l’invalidation de candidature de Karim Meïssa Wade à l’élection présidentielle ou des soupçons de corruption impliquant des membres du Conseil constitutionnel, est un précédent dangereux, une grave violation de la Constitution et de la Loi organique portant Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Le bureau de l’Assemblée nationale avec le soutien du Secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République commet une forfaiture en accédant à la ridicule demande du Pds. L’Assemblée nationale outrepasse ses prérogatives constitutionnelles et viole la séparation des pouvoirs.
Ce qui est entrain de se passer à l’Assemblée nationale est un véritable abus du législatif pour ne pas dire un coup d’État parlementaire contre le pouvoir judiciaire.
Soutenir la création de la Commission d’enquête est une dangereuse immixtion de l’Assemblée nationale dans le fonctionnement du pouvoir judiciaire et une négation du principe constitutionnel selon lequel une décision du Conseil constitutionnel ne peut faire l’objet d’un quelconque recours.
Si le Pds dispose de preuves de corruptions, de connexions douteuses et conflits d’intérêts impliquant des membres du Conseil constitutionnel, c’est la justice qu’il doit saisir et non la Représentation nationale.
Avec cette Commission d’enquête parlementaire, l’Assemblée nationale vient de perpétrer un coup d’état en s’arrogeant des fonctions qui ne relèvent que du pouvoir judiciaire.
En choisissant la forme républicaine de l’Etat, le Sénégal a opté par la séparation des pouvoirs.
Dans une République digne de ce nom, aucun pouvoir ne peut remplir à la fois les fonctions législatives et juridictionnelles.
Tous les républicains doivent condamner, avec la dernière énergie, la création de cette commission d’enquête qui discrédite la Représentation nationale et exiger son retrait sans délai.
Au service du Sénégal. Tout le Sénégal.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Moustapha Diakhaté Le bureau de l’Assemblée nationale abîme la République
L’acceptation de la Commission d’enquête parlementaire du Parti démocratique sénégalais par le bureau de l’Assemblée nationale est un inadmissible déni du principe fondateur de la République : la séparation des pouvoirs.
L’institution parlementaire n’est pas un tribunal. Elle n’a pas à connaître des conditions d’invalidation de candidature, de soupçons de corruption, connexions douteuses encore moins de conflits d’intérêts.
Ses missions sont le vote des lois, le contrôle de l’action du gouvernement et l’évaluation des politiques publiques.
L’investigation de l’objet de la saisine du Pds est du ressort exclusif du pouvoir judiciaire.
La République du Sénégal en constitutionnalisant la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, fait sien le principe selon lequel « Toute société dans laquelle la garantie de la séparation des pouvoirs n’est pas déterminée, n’a point de Constitution ».
Malheureusement, l’acceptation par le bureau de la Représentation nationale de la demande de création d’une commission d’enquête parlementaire introduite par le Pds et soutenue par la majorité BBY, sur l’invalidation de candidature de Karim Meïssa Wade à l’élection présidentielle ou des soupçons de corruption impliquant des membres du Conseil constitutionnel, est un précédent dangereux, une grave violation de la Constitution et de la Loi organique portant Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Le bureau de l’Assemblée nationale avec le soutien du Secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République commet une forfaiture en accédant à la ridicule demande du Pds. L’Assemblée nationale outrepasse ses prérogatives constitutionnelles et viole la séparation des pouvoirs.
Ce qui est entrain de se passer à l’Assemblée nationale est un véritable abus du législatif pour ne pas dire un coup d’État parlementaire contre le pouvoir judiciaire.
Soutenir la création de la Commission d’enquête est une dangereuse immixtion de l’Assemblée nationale dans le fonctionnement du pouvoir judiciaire et une négation du principe constitutionnel selon lequel une décision du Conseil constitutionnel ne peut faire l’objet d’un quelconque recours.
Si le Pds dispose de preuves de corruptions, de connexions douteuses et conflits d’intérêts impliquant des membres du Conseil constitutionnel, c’est la justice qu’il doit saisir et non la Représentation nationale.
Avec cette Commission d’enquête parlementaire, l’Assemblée nationale vient de perpétrer un coup d’état en s’arrogeant des fonctions qui ne relèvent que du pouvoir judiciaire.
En choisissant la forme républicaine de l’Etat, le Sénégal a opté par la séparation des pouvoirs.
Dans une République digne de ce nom, aucun pouvoir ne peut remplir à la fois les fonctions législatives et juridictionnelles.
Tous les républicains doivent condamner, avec la dernière énergie, la création de cette commission d’enquête qui discrédite la Représentation nationale et exiger son retrait sans délai.
Au service du Sénégal. Tout le Sénégal.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Moustapha Diakhaté
15 Commentaires
Poseidon Badji
En Janvier, 2024 (22:59 PM)Reply_author
En Janvier, 2024 (23:31 PM)Reply_author
En Janvier, 2024 (03:45 AM)Karim Wade d'où sénégalais.
Abdullah
En Janvier, 2024 (08:00 AM)Le rôle de l'assemblée, pouvoir législatif, n'a pas à exercer un quelconque contrôle sur le pouvoir judiciaire et inversement.
D'ailleurs, le pouvoir judiciaire ne peut même pas l'envisager au point même que pour s'exercer sur un parlementaire il faut que son immunité soit levée.
Hé!
En Janvier, 2024 (21:17 PM)Ba
En Janvier, 2024 (21:18 PM)C devenu delà merde xette de politicien.
Makadaam
En Janvier, 2024 (22:28 PM)Malick Kane
En Janvier, 2024 (11:15 AM)Bounkhatab
En Janvier, 2024 (13:29 PM)Gorsi
En Janvier, 2024 (15:26 PM)Am
En Janvier, 2024 (22:02 PM)Les dealers sont démasqués. Au lieu de dénoncer l’attitude méprisante de Karim Wade envers les Sénégalais, qui leur a menti éhontément, des politiciens de tous bords sortent du bois pour chercher à récupérer son électorat. Admettre la corruption de la Constitution est une honte ! Dans le même temps, d’autres se murent dans un silence complice devant ces manigances à ciel ouvert.
Pire, le président Macky Sall, son candidat Amadou Ba et le PDS veulent décrédibiliser les institutions, en mettant en place une commission d'enquête parlementaire, pour des calculs bassement politiques : s'emparer de l'électorat du PDS avec qui ils ont dealé dans leur dialogue faussement national.
Une commission parlementaire pour confondre deux magistrats, cela s'appelle du ciblage et du détournement de procédure. Il existe des mécanismes plus appropriés.
Pourquoi ils ont refusé de saisir le Parlement pour faire la lumière sur les 1000 milliards du fonds Covid ? Pourquoi il n'y a jamais eu d'enquête pour tous les faits extrêmement graves de prévarications documentés par les rapports de l'IGE et de la Cour des comptes ? Qu'ont-ils fait du rapport sur le contrat PetroTim ? Des vagues d'émeutes sanglantes, avec des dizaines de morts, ont secoué ces dernières années le pays, cela n'a nullement intéressé les groupes qui contrôlent l'Assemblée nationale. Le naufrage d'embarcations surchargées qui emportent tant de vies humaines au fond des océans n'a suscité aucun émoi.
Personne ne peut changer ce pays avec cette façon de faire de la politique. Un enseignement que les citoyens peuvent tirer de cet épisode : "politicien du mbokk !
Sagna
En Janvier, 2024 (13:54 PM)Sagna
En Janvier, 2024 (13:56 PM)Participer à la Discussion