Dans sa sortie médiatique de ce matin, je voudrais que les Sénégalais comprennent le sens de mon intervention, juste apporter ma solidarité au malheur qui est arrivé à Monsieur Mamadou Diop, président de l’Iseg basket club avec qui je partage ce basket.
C’est à ce titre que je suis allé le voir au tribunal, et surtout m’enquérir de la réalité de la situation, il ne m’appartient de juger ou de prendre fait et cause pour l’une des parties, mais plutôt constater le malheur qui est arrivé à notre ami. Il ne m’appartient pas de donner raison à l’une des deux parties non plus. Mais plutôt de critiquer notre ami pourquoi cela a pu être, et enfin lancer un message à l’autre partie de trouver une solution pour le bien-être de cet enfant qui va naître pour qu’il soit entouré d’un maximum de soins et d’attention car ne dit-on pas qu’un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès.
C’est le sens de ma démarche quand je suis allé visiter M. Diop à la cave du tribunal et bien sûr je me garderais de donner raison à l’une des deux parties, car elles sont seules à connaître la vérité, et dire aussi que tous les hommes peuvent être en sursis pour ce genre d’aventures. Mais quand on a des responsabilités professionnelles aussi lourdes en même temps éducateur, on devrait réfléchir mille fois car le piège n’est pas loin.
En effet, dans ma
liberté de pensée, je souhaite que la famille de Dieynaba Baldé, y compris elle-même qui persiste et signe que M. Diop est le père de l’enfant, qu’elle puisse permettre à ce dernier de pouvoir s’en occuper car il m’en a donné l’assurance et je crois qu’il pourra mieux le faire dehors que dedans. Et la seule volonté qui m’anime est de trouver une solution et rien d’autre.
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