Mon Cher SONKO tout me semble à mon humble avis prématuré, j’ose même affirmer que Tout avec un grand T est prématuré ; donc Tout peut attendre ou tout au moins ne pas être traité, avec la même célérité de cette donne qui fait exception et vise une chose, une et une seule qui doit être satisfaite dans l’immédiateté et ne saurait être retardée, qu’elles qu’en soient les raisons qu’on pourrait évoquer, quitte à bousculer les procédures requises pour la tenue des comptes publics, comme le font de temps à autre, si les circonstances l’exigent, des Pays réputés développés, car leurs soucis en ces moments critiques s’avèrent simples : il faut trouver des solutions dans des procédures d’urgence pour faire face aux problèmes que traverse la Nation en vue de satisfaire les besoins des populations qui sont dans l’angoisse.
Je ne doute pas qu’entre autres objectifs que vous vous êtes assignés, figure bel et bien une volonté farouche de trouver des solutions idoines aux difficultés que vivent nos concitoyens et certainement que vous souhaiteriez apporter une réponse sans doute effectuée dans un cadre réglementaire qui régit les règles de la Comptabilité Publique nonobstant l’état actuel des Finances dont j’imagine que les Comptes sont loin d’être reluisants.
Cette situation contrarie les difficultés que vivent présentement les populations qui, comme vous le savez, ont consenti d’énormes sacrifices pour un changement de régime scrutant des décisions émanant de vous espérant améliorer rapidement leur vécu quotidien et à ce titre, elles n’ont pas tort.
Pour dire vrai, j’ignore ce que préconisent les mesures et leurs chronogrammes d’exécution proposés par votre Projet, qui j’espère est loin d’être statique mais plutôt dynamique pour subir une refonte de certains aspects afin de procéder à des réajustements des comptes publics durement éprouvés par vos Prédécesseurs.
Je sollicite à cet effet, votre autorisation de vous exposer humblement à travers cette présente mes réflexions relatives à la situation décrite ci-dessus qui, je souligne au passage, ne sont pas exemptes de contradictions voire même de rejet parce que venant d’une simple personne ordinaire avec ses limites.
A votre place, je tenterai de prendre les mesures suivantes et ne saurai vous garantir une totale satisfaction quant aux objectifs auxquels elles sont assignées mais quand même j’essaierai :
- de prime abord, je demanderai aux Créanciers du Pays en ce qui concerne la Dette Extérieure, un différé de paiements de deux ou de trois ans, le temps de procéder à un audit pour se faire une
opinion de leur réelle utilisation par rapport aux projets pour lesquels ces transactions ont été mobilisées, réalisées et dans quelles conditions elles devraient être apurées ;
- de payer la Dette Intérieure tout en se donnant la possibilité de réclamer des montants indus si des abus sont constatés en la matière ;
- de mettre des politiques qui vont contourner de nouveaux emprunts mais aussi des subventions à recevoir sous forme d’aides parce que ces deux agrégats selon moi ne font que différer des problèmes pour une période déterminée mais n’apportent pas de solutions définitives aux besoins des Etats ;
- d’injecter dix mille milliards c’est-à-dire 200 fois plus de 53 milliards, le montant annoncé pour réaliser les récentes baisses. Certainement vous me direz où trouver pareille somme sans s’endetter et sans recevoir de subvention ? Je vous répliquerai que les choses ne sont pas compliquées car notre Pays dispose des ressources naturelles telles que le pétrole, le gaz etc… et dont la commercialisation de certaines d’entre-elles pourront générer un minimum de 700 milliards par an sur une période de trente ans et dans cette optique rien ne s’oppose à chercher un financement en escomptant des années des recettes, les cinq ou dix dernières, et je ne doute pas d’une seule seconde avec un bon dossier piloté par de vrais Professionnels ledit montant sera acquis dans une durée qui ne saurait dépasser une demie- journée.
Chemin faisant, une fois l’opération réalisée, je convoquerai tous les acteurs économiques du Pays, commerçants, industriels, banquiers, divers investisseurs... afin que toutes les parties concernées concourent à trouver des solutions idoines pour baisser drastiquement le coût de la vie à un plus bas niveau et de ce fait le pouvoir d’achat des ménages emprunte le chemin inverse qui leur permettra de satisfaire aisément leurs besoins primaires et auront tendance à se procurer des articles non indispensables à leur survie.
Vous conviendrez avec moi que selon le trend schématisé ci-dessus, d’autres segments de l’économie pourront se développer et même générer des revenus plus importants que ceux escomptés au préalable.
Voila brièvement exposée ma vision simple des choses mais je ne saurais terminer cette intervention sans vous faire d’une part, une recommandation qui consiste à prêter une attention particulière au secteur dit informel dont une partie des affaires économiques est gérée par lui, nonobstant l’absence de formation de ses membres d’étudier les politiques économiques enseignées dans les Facultés où d’éminents Professeurs ont formé de brillants étudiants qui ont eu à occuper de hautes
responsabilités dans les sphères de l’Etat mais paradoxalement les résultats n’ont pas satisfait globalement les attentes des populations.
Or les Agents Economiques du Secteur Informel, partis de rien, n’attendant de financement de personne, prenant leur destin en main en comptant sur eux-mêmes, ont pu réaliser des choses extraordinaires en un temps record même s’il faut le reconnaître leur système est loin d’être irréprochable. Vous conviendrez avec moi sans aucun doute qu’ils méritent respect et considération et leur modèle économique ne devrait pas rester dans l’indifférence.
Et d’autre part, j’apprécie votre démarche de ne pas répondre à ceux qui parlent et gesticulent à tout bout de champs, car dépourvus de Sciences, de Guidées et de Livres Eclairés sont prompts à émettre des avis souvent erronés mais seuls les doués d’intelligence avec des arguments irréfutables sont plus indiqués à jouer ce rôle.
Cheikh NDIAYE
77 742 94 75
Je ne doute pas qu’entre autres objectifs que vous vous êtes assignés, figure bel et bien une volonté farouche de trouver des solutions idoines aux difficultés que vivent nos concitoyens et certainement que vous souhaiteriez apporter une réponse sans doute effectuée dans un cadre réglementaire qui régit les règles de la Comptabilité Publique nonobstant l’état actuel des Finances dont j’imagine que les Comptes sont loin d’être reluisants.
Cette situation contrarie les difficultés que vivent présentement les populations qui, comme vous le savez, ont consenti d’énormes sacrifices pour un changement de régime scrutant des décisions émanant de vous espérant améliorer rapidement leur vécu quotidien et à ce titre, elles n’ont pas tort.
Pour dire vrai, j’ignore ce que préconisent les mesures et leurs chronogrammes d’exécution proposés par votre Projet, qui j’espère est loin d’être statique mais plutôt dynamique pour subir une refonte de certains aspects afin de procéder à des réajustements des comptes publics durement éprouvés par vos Prédécesseurs.
Je sollicite à cet effet, votre autorisation de vous exposer humblement à travers cette présente mes réflexions relatives à la situation décrite ci-dessus qui, je souligne au passage, ne sont pas exemptes de contradictions voire même de rejet parce que venant d’une simple personne ordinaire avec ses limites.
A votre place, je tenterai de prendre les mesures suivantes et ne saurai vous garantir une totale satisfaction quant aux objectifs auxquels elles sont assignées mais quand même j’essaierai :
- de prime abord, je demanderai aux Créanciers du Pays en ce qui concerne la Dette Extérieure, un différé de paiements de deux ou de trois ans, le temps de procéder à un audit pour se faire une
opinion de leur réelle utilisation par rapport aux projets pour lesquels ces transactions ont été mobilisées, réalisées et dans quelles conditions elles devraient être apurées ;
- de payer la Dette Intérieure tout en se donnant la possibilité de réclamer des montants indus si des abus sont constatés en la matière ;
- de mettre des politiques qui vont contourner de nouveaux emprunts mais aussi des subventions à recevoir sous forme d’aides parce que ces deux agrégats selon moi ne font que différer des problèmes pour une période déterminée mais n’apportent pas de solutions définitives aux besoins des Etats ;
- d’injecter dix mille milliards c’est-à-dire 200 fois plus de 53 milliards, le montant annoncé pour réaliser les récentes baisses. Certainement vous me direz où trouver pareille somme sans s’endetter et sans recevoir de subvention ? Je vous répliquerai que les choses ne sont pas compliquées car notre Pays dispose des ressources naturelles telles que le pétrole, le gaz etc… et dont la commercialisation de certaines d’entre-elles pourront générer un minimum de 700 milliards par an sur une période de trente ans et dans cette optique rien ne s’oppose à chercher un financement en escomptant des années des recettes, les cinq ou dix dernières, et je ne doute pas d’une seule seconde avec un bon dossier piloté par de vrais Professionnels ledit montant sera acquis dans une durée qui ne saurait dépasser une demie- journée.
Chemin faisant, une fois l’opération réalisée, je convoquerai tous les acteurs économiques du Pays, commerçants, industriels, banquiers, divers investisseurs... afin que toutes les parties concernées concourent à trouver des solutions idoines pour baisser drastiquement le coût de la vie à un plus bas niveau et de ce fait le pouvoir d’achat des ménages emprunte le chemin inverse qui leur permettra de satisfaire aisément leurs besoins primaires et auront tendance à se procurer des articles non indispensables à leur survie.
Vous conviendrez avec moi que selon le trend schématisé ci-dessus, d’autres segments de l’économie pourront se développer et même générer des revenus plus importants que ceux escomptés au préalable.
Voila brièvement exposée ma vision simple des choses mais je ne saurais terminer cette intervention sans vous faire d’une part, une recommandation qui consiste à prêter une attention particulière au secteur dit informel dont une partie des affaires économiques est gérée par lui, nonobstant l’absence de formation de ses membres d’étudier les politiques économiques enseignées dans les Facultés où d’éminents Professeurs ont formé de brillants étudiants qui ont eu à occuper de hautes
responsabilités dans les sphères de l’Etat mais paradoxalement les résultats n’ont pas satisfait globalement les attentes des populations.
Or les Agents Economiques du Secteur Informel, partis de rien, n’attendant de financement de personne, prenant leur destin en main en comptant sur eux-mêmes, ont pu réaliser des choses extraordinaires en un temps record même s’il faut le reconnaître leur système est loin d’être irréprochable. Vous conviendrez avec moi sans aucun doute qu’ils méritent respect et considération et leur modèle économique ne devrait pas rester dans l’indifférence.
Et d’autre part, j’apprécie votre démarche de ne pas répondre à ceux qui parlent et gesticulent à tout bout de champs, car dépourvus de Sciences, de Guidées et de Livres Eclairés sont prompts à émettre des avis souvent erronés mais seuls les doués d’intelligence avec des arguments irréfutables sont plus indiqués à jouer ce rôle.
Cheikh NDIAYE
77 742 94 75
6 Commentaires
Pas Vraiment Un Projet
En Juillet, 2024 (13:28 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (17:27 PM)Anonyme
En Juillet, 2024 (19:33 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (14:58 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (14:40 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (14:39 PM)Cheikh
En Juillet, 2024 (14:48 PM)du Sénégal Il y a certains citoyens Sénégalais entre autres un certain Xorom ou Sukeur un Nanthio qui passent leurs temps dans des contributions à injurier ils pensent être dans leurs rôles d'opposants
Mais développer ce n'est pas s'opposer ou sortir des insanités
proposer donner votre opinion comme ce Monsieur Cheikh Ndiaye qu'il soit Expert ou pas il le fait dans les règles de l'art Bravo
pour un nouveau type de Sénégalais
En Tout Cas
En Juillet, 2024 (15:59 PM)Les entreprises du secteur des BTP agonisent, elles ne peuvent plus supporter leurs charge fixes .
Kothie
En Juillet, 2024 (10:34 AM)LES CHAROGNARDS VENEZ FAITRE VOTRE BOULOT
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