Dans la période du 23 octobre au 4 novembre 2021, le Contrôleur général de Police, Directeur général adjoint de la Police nationale, Modou Diagne à la tête d’une délégation composée de hauts cadres de la Police nationale, a effectué une visite de travail au sein des missions de la MINUSCA (Mission intégrée des Nations Unies pour la stabilité en Centrafrique et de la Mission intégrée des Nations Unies pour la stabilité au Mali (MINUSMA).
Ce déplacement a permis à la délégation d’apprécier de façon concrète les conditions de vie et de travail des fonctionnaires de Police (Unités de Police Constituées et Policiers individuels) présents en zone de mission mais aussi et surtout de rehausser le moral des troupes pour l’atteinte des objectifs de la mission.
Elle a été aussi l’occasion pour la délégation de la Police nationale, de rencontrer les autorités onusiennes au sein de ces missions notamment le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies, le chef de la composante Police, le commandant de la force etc.
Ce déplacement a permis à la délégation d’apprécier de façon concrète les conditions de vie et de travail des fonctionnaires de Police (Unités de Police Constituées et Policiers individuels) présents en zone de mission mais aussi et surtout de rehausser le moral des troupes pour l’atteinte des objectifs de la mission.
Elle a été aussi l’occasion pour la délégation de la Police nationale, de rencontrer les autorités onusiennes au sein de ces missions notamment le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies, le chef de la composante Police, le commandant de la force etc.
Ces autorités de la MINUSCA et de la MINUSMA ont salué le travail des Unités de Police Constituées et des policiers individuels déployés dans ces théâtres d’opérations.
Déployée en 2013 pour accompagner le Mali à restaurer la paix notamment dans ses régions du nord, la MINUSMA a perdu plus de 230 de ses membres, dont plus de 130 dans des actes hostiles, selon les statistiques de l’ONU publiées en janvier dernier. Forte de 15 000 hommes et femmes, dont environ 12 000 militaires selon l’ONU, elle est régulièrement la cible d’attaques terroristes contre ses convois ou ses positions.
Selon l'ONU, dans le cadre du maintien de la paix, près de 9 000 membres des forces de police des NU sont déployés dans 17 opérations de paix des Nations Unies, à savoir MINURSO, MINUSCA, MINUSMA, MONUSCO, FINUL, UNVMC, BINUH, UNMHA, UNFICYP, UNISFA, MINUK, UNIOGBIS, MINUSS, MANUL, UNOCA, UNOAU et UNSOM.
Les Nations Unies déploient des forces de police dans le cadre d’opérations de paix depuis 1960, le premier déploiement ayant eu lieu dans le cadre de l’opération des Nations Unies au Congo (ONUC).
Le nombre d’agents UNPOL autorisés à être déployés dans le cadre d’opérations de maintien de la paix et de missions politiques spéciales est passé de 5 840 en 1995 à environ 11 000 en 2020, ce qui reflète une demande accrue d’expertise policière.
Déployée en 2013 pour accompagner le Mali à restaurer la paix notamment dans ses régions du nord, la MINUSMA a perdu plus de 230 de ses membres, dont plus de 130 dans des actes hostiles, selon les statistiques de l’ONU publiées en janvier dernier. Forte de 15 000 hommes et femmes, dont environ 12 000 militaires selon l’ONU, elle est régulièrement la cible d’attaques terroristes contre ses convois ou ses positions.
Selon l'ONU, dans le cadre du maintien de la paix, près de 9 000 membres des forces de police des NU sont déployés dans 17 opérations de paix des Nations Unies, à savoir MINURSO, MINUSCA, MINUSMA, MONUSCO, FINUL, UNVMC, BINUH, UNMHA, UNFICYP, UNISFA, MINUK, UNIOGBIS, MINUSS, MANUL, UNOCA, UNOAU et UNSOM.
Les Nations Unies déploient des forces de police dans le cadre d’opérations de paix depuis 1960, le premier déploiement ayant eu lieu dans le cadre de l’opération des Nations Unies au Congo (ONUC).
Le nombre d’agents UNPOL autorisés à être déployés dans le cadre d’opérations de maintien de la paix et de missions politiques spéciales est passé de 5 840 en 1995 à environ 11 000 en 2020, ce qui reflète une demande accrue d’expertise policière.
3 Commentaires
Republucaun
En Novembre, 2021 (13:21 PM)Nous interpelons nos autorités en particulier la Ministre des Affaires Étrangères sur la situation des Sénégalais en Guinée Équatoriale
Depuis quelques jours des contrôles intempestifs y sont effectués pour vérifier la régularité de la situation des étrangers
Y aurait rien à dire si tout se passait dans les normes du respect des droits humains ; mais loin de là , ces contrôles sont de véritables chasses aux étrangers : que tu aies un papier ou non ,on peut t'arrêter à moins que tu daignes dégainer une grosse somme à remettre à ces policiers intimidateurs .Ensuite après arrestation, les prévenus sont incarcérés dans des prisons ou regroupés dans un stade dans des conditions degradantes pour un être humain en ce temps de pandémie.
Parmi les autres communautés étrangères on aurait enregistré mort d'homme ; ce qui peut bien arriver à la communauté sénégalaise .
Le Sénégal a une réputation de pays de Teranga ,ne faisant aucune discrimination entre étrangers et nationaux ( ce qui nous vaut d'ailleurs d'être une destination privilégiée pour certains malfrats de la sous région),mais ceci n'est pas un motif pour rester les bras croisés
Nous ne demandons pas des représailles ,mais nous demandons des actes forts pour soulever l'attention de l'opinion publique internationale ,comme par exemple :
- Convoquer l'ambassadeur ou le Consul de Guinée Équatoriale au Sénégal pour une demande d'explications
- Saisir les instances de l'OUA pour une réunion d'information sur la situation des étrangers dans ce pays
-Proposer dans la foulée une commission d'enquête indépendante pour se rendre dans ce pays et s'enquérir de la situation
Madame la Ministre vous êtes interpelée
Ne nous servez pas encore l'argument de la séparation des pouvoirs pour esquiver la question .
Nos braves compatriotes sont des acteurs de développement et de progrès social par leur importante contribution à l'économie du pays matérialisée par les envois d'argent à leurs familles.
Votre devoir est de les protéger car vous êtes l'autorité en charge de cette mission.
Surtout qu'on n'attende pas qu'un Sénégalais soit mort pour s'indigner à tue-tête .
Bamba Diouf
En Novembre, 2021 (16:50 PM)Doul
En Novembre, 2021 (00:41 AM)Participer à la Discussion