Le Comité national de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Cn-Itie) a publié le quatrième numéro de son bulletin. Pour cette édition, le «Le point Itie» a souligné la hausse de l’or provoquée par la crise sanitaire de la Covid-19.
Le bulletin du mois de juillet-août de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Itie) est revenu sur les évolutions des productions et exportations des ressources extractives, et sur l’impact de la crise sanitaire sur la volatilité des cours des matières premières, notamment l’or.
Selon le document, le problème fondamental qui risque de survenir pour beaucoup de pays pauvres, est que même si de nouveaux emplois hautement qualifiés sont créés, les travailleurs issus des communautés voisines seront mis au défi de pourvoir les postes.
Par ailleurs, poursuit l’Itie, la modélisation financière des projets extractifs, qui est un moyen essentiel pour les États afin de mettre en place un système fiscal qui permette un juste partage des richesses extraites, dès la première production, vu le caractère non-renouvelable de ces ressources, a fait une nouvelle fois l’objet d’une réflexion dans le présent bulletin.
Enfin, le bulletin indique que les résultats de l’Etude d’impact sur la mise en œuvre de l’Itie au Sénégal sont passés en revue. En effet, le Comité national a confié à un cabinet l’élaboration d’une étude d’évaluation des impacts de la mise en œuvre de l’Itie au Sénégal, de 2013 à nos jours. Il s'agissait de mesurer les impacts et changements concrets engendrés par la mise en œuvre de l’Itie au Sénégal depuis 2013.
De manière globale, il est ressorti de l’étude «des progrès importants dans la gouvernance du secteur extractif au Sénégal enregistrés depuis le début de la mise en œuvre de l’Itie».
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