Le khalife des tidjanes, Serigne Mbaye Sy, reçoit ce dimanche à Tivaouane les syndicats d'enseignants. Prenant part à la rencontre, qui va se dérouler au domicile du guide, le secrétaire général du Cusems, Alassane Ndoye, a précisé que ses camarades ne sont pas dans la ville sainte pour des négociations.
"Le khalife ne négocie pas", rappelle le syndicaliste. Qui indique qu'ils attendent de Serigne Mbaye Sy qu'il "puisse sensibiliser le chef de l'État, le pousser à respecter les accords de 2014", notamment à propos de la question de l'alignement de l'indemnité de logement.
30 Commentaires
Mansawali Ajami Wa Arabi 2018
En Avril, 2018 (12:37 PM)IHSSAN ILAL IHSSAN ! WAW LU BAX LU BAX MOKO MONNA FEEY
OUI ICI NOUS ATTENDONS DES ENSEIGNANTS CE QUE NOTRE VENERABLE KHALIFE
ATTENDENT DES ENSEIGNANTS DES ELEVES ET DES ETUDIANTS EN BLOC MASSIF
SAUVER L'ANNEE SCOLAIRE POUR ASSURER L'AVENIR A NOS ENFANTS ET AUX
ENFANTS DE NOS ENFANTS ICI ET MAINTENANT AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD
Anonyme
En Avril, 2018 (12:50 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:54 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:54 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:54 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:54 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:54 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:54 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:56 PM)Volai414
En Avril, 2018 (13:01 PM)Lorsque les blocages dans votre ministère ne sont plus gérés par vous-même, que le président de la république et des chefs religieux interviennent à votre place, vous n'avez plus aucune légitimité. Il ne vous reste plus que votre honneur qui doit vous dicter de partir. Quand les problèmes d'ordre politique se déplacent sur le terrain religieux, il y a un dangereux mélange des genres. Ce qui se passe autour de cette histoire disqualie le ministre de l'Education et fragilisera tous futurs responsables de ce ministère clef. La pagaille et le maslah ont encore de beaux jours dans ce pays qui, pourtant, aspire à l'émergence.
Anonyme
En Avril, 2018 (13:06 PM)Hann
En Avril, 2018 (13:18 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (13:52 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (14:16 PM)Oracle
En Avril, 2018 (14:24 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (14:26 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (14:26 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (14:26 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (14:26 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (15:09 PM)Anonymemarra Makisard
En Avril, 2018 (16:20 PM)Enseignants n'attendez rien de personne, ne faîtes confiance en personne.
CE REGIME DE VAUT RIEN N4A QU A RESPECTER CES ENGAGEMENTS DE 2014 POINT.
ATTENTION SURTOUT DEMANDER DANS L IMMEDIAT ET SURTOUT PAS EN JANVIER 2019 PUISQUE MEME S IL GAGNE PAR MALHEUR POUR LE SENEGAL .
IL DIRA QU IL NE PEUT PAS DES LE MOI D AVRIL .
As
En Avril, 2018 (16:36 PM)Goor Goor Lou
En Avril, 2018 (17:06 PM).
Conseil des Ministres du 11 mars 2017 : L’Etat s’engage à solder le passif social des sociétés nationales en liquidation.
Les agents des entreprises, dont la liquidation traîne toujours, peuvent espérer des lendemains meilleurs. Hier, en réunion du Conseil des ministres, le Président de la République a pris en charge la gestion de tous ces dossiers il a indiqué au Gouvernement «l’impératif de procéder au recensement effectif des entreprises publiques et privées en liquidation, des catégories de personnels concernés, des droits officiels dus par chaque entreprise liquidée, de même que leur niveau de recouvrement par les travailleurs concernés». Mieux, le chef de l’Etat a demandé à ses Ministres d’accélérer toutes les procédures de liquidation en cours en vue d’un règlement durable du passif social…
Un Collectif composé d’ex-travailleurs de plusieurs sociétés, dont Transrail, la Sotiba, Air Afrique, la Sotrac, la Sias, etc. a tenu, hier, une conférence de presse. C’était pour demander à l’Etat le paiement de leur dû.
Les ex-travailleurs des sociétés publiques, parapubliques et privées sont très remontés contre l’Etat du Sénégal. Ces ex-employés ont tenu, hier, une conférence de presse pour exprimer toute leur déception au gouvernement de Macky Sall qui, selon eux, fait toujours la sourde oreille pour la liquidation de leurs droits. Selon eux lors du Conseil interministériel du 10 mars 2017, le Premier ministre, au nom de la continuité de l’Etat qui fait obligation à celui-ci de s’acquitter des engagements souscrits par les gouvernements précédents, avait indiqué des propositions de sortie de crise. Lesquelles étaient articulées autour de plusieurs modalités adaptées à chaque société.
«Pour Air Afrique (9 milliards pour 262 ayants droit). Pour Hamo-Sa (300 millions pour 139 ayants droit), Frigocap (17 millions pour 17 ayants droit), Sias (1,560 milliard pour 1 248 ayants droits) etc.», indiquent-ils dans un document remis à la presse. Mais force est de constater, regrettent-ils, que l’Etat du Sénégal n’est pas disposé à régler leur problème. Parce que, soulignent-ils, jusqu’à présent, aucun ex-employé de ces sociétés précitées, n’a vu la couleur de l’argent. Pour ce qui est de Transrail, le contentieux entre l’Etat et Jabber, l’ancien concessionnaire, rend les choses encore de plus en plus difficiles.
Ensuite s’agissant des sociétés privées, le Pm avait engagé l’Etat à accompagner les travailleurs à la résolution des problèmes. Mais se désolent-ils, cela n’est resté qu’à l’état de promesse. Dès lors, il se pose la question de savoir où est-ce que ça bloque ?
Le facilitateur, Momar Sambe, a signalé qu’au temps du régime d’Abdoulaye Wade, il y a eu un acompte en ce qui concerne la Sotrac en 2007, 2008 et 2009 : une tranche de 2 milliards CFA et une autre de 3 milliards CFA. Mais, sous l’ère Macky Sall, c’est le mutisme total. «Sous le régime de Macky Sall, rien n’a été payé. Le Collectif ne peut qu’exprimer son inquiétude, son désarroi devant une telle attitude de la part du gouvernement.
Il ne peut qu’élever la voix devant un tel manquement, un tel oubli surtout au moment où le gouvernement a confectionné son budget pour l’année 2018 qu’il fait examiner présentement par l’Assemblée nationale.
Au moment où le président de la République annonce que ce budget 2018 sera social», peste Momar Sambe. Avant d’ajouter : «En tant que facilitateur, je dois avouer que j’ai frappé à toutes les portes, mais en vain. Nous n’avons aucune réponse venant du gouvernement. C’est l’omerta totale. Nous sommes devant un mur de silence. Le montant total tourne autour de 25 milliards CFA pour ce qui concerne les travailleurs du secteur public et parapublic et 8 à 9 milliards de F CFA pour ceux du secteur privé».
"ETALT DE DROIT DOIT RESPECTER SES ENGAGEMENTS;
.
Conseil des Ministres du 11 mars 2017 : L’Etat s’engage à solder le passif social des sociétés nationales en liquidation.
Les agents des entreprises, dont la liquidation traîne toujours, peuvent espérer des lendemains meilleurs. Hier, en réunion du Conseil des ministres, le Président de la République a pris en charge la gestion de tous ces dossiers il a indiqué au Gouvernement «l’impératif de procéder au recensement effectif des entreprises publiques et privées en liquidation, des catégories de personnels concernés, des droits officiels dus par chaque entreprise liquidée, de même que leur niveau de recouvrement par les travailleurs concernés». Mieux, le chef de l’Etat a demandé à ses Ministres d’accélérer toutes les procédures de liquidation en cours en vue d’un règlement durable du passif social…
Un Collectif composé d’ex-travailleurs de plusieurs sociétés, dont Transrail, la Sotiba, Air Afrique, la Sotrac, la Sias, etc. a tenu, hier, une conférence de presse. C’était pour demander à l’Etat le paiement de leur dû.
Les ex-travailleurs des sociétés publiques, parapubliques et privées sont très remontés contre l’Etat du Sénégal. Ces ex-employés ont tenu, hier, une conférence de presse pour exprimer toute leur déception au gouvernement de Macky Sall qui, selon eux, fait toujours la sourde oreille pour la liquidation de leurs droits. Selon eux lors du Conseil interministériel du 10 mars 2017, le Premier ministre, au nom de la continuité de l’Etat qui fait obligation à celui-ci de s’acquitter des engagements souscrits par les gouvernements précédents, avait indiqué des propositions de sortie de crise. Lesquelles étaient articulées autour de plusieurs modalités adaptées à chaque société.
«Pour Air Afrique (9 milliards pour 262 ayants droit). Pour Hamo-Sa (300 millions pour 139 ayants droit), Frigocap (17 millions pour 17 ayants droit), Sias (1,560 milliard pour 1 248 ayants droits) etc.», indiquent-ils dans un document remis à la presse. Mais force est de constater, regrettent-ils, que l’Etat du Sénégal n’est pas disposé à régler leur problème. Parce que, soulignent-ils, jusqu’à présent, aucun ex-employé de ces sociétés précitées, n’a vu la couleur de l’argent. Pour ce qui est de Transrail, le contentieux entre l’Etat et Jabber, l’ancien concessionnaire, rend les choses encore de plus en plus difficiles.
Ensuite s’agissant des sociétés privées, le Pm avait engagé l’Etat à accompagner les travailleurs à la résolution des problèmes. Mais se désolent-ils, cela n’est resté qu’à l’état de promesse. Dès lors, il se pose la question de savoir où est-ce que ça bloque ?
Le facilitateur, Momar Sambe, a signalé qu’au temps du régime d’Abdoulaye Wade, il y a eu un acompte en ce qui concerne la Sotrac en 2007, 2008 et 2009 : une tranche de 2 milliards CFA et une autre de 3 milliards CFA. Mais, sous l’ère Macky Sall, c’est le mutisme total. «Sous le régime de Macky Sall, rien n’a été payé. Le Collectif ne peut qu’exprimer son inquiétude, son désarroi devant une telle attitude de la part du gouvernement.
Il ne peut qu’élever la voix devant un tel manquement, un tel oubli surtout au moment où le gouvernement a confectionné son budget pour l’année 2018 qu’il fait examiner présentement par l’Assemblée nationale.
Au moment où le président de la République annonce que ce budget 2018 sera social», peste Momar Sambe. Avant d’ajouter : «En tant que facilitateur, je dois avouer que j’ai frappé à toutes les portes, mais en vain. Nous n’avons aucune réponse venant du gouvernement. C’est l’omerta totale. Nous sommes devant un mur de silence. Le montant total tourne autour de 25 milliards CFA pour ce qui concerne les travailleurs du secteur public et parapublic et 8 à 9 milliards de F CFA pour ceux du secteur privé».
"ETALT DE DROIT DOIT RESPECTER SES ENGAGEMENTS;
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Conseil des Ministres du 11 mars 2017 : L’Etat s’engage à solder le passif social des sociétés nationales en liquidation.
Les agents des entreprises, dont la liquidation traîne toujours, peuvent espérer des lendemains meilleurs. Hier, en réunion du Conseil des ministres, le Président de la République a pris en charge la gestion de tous ces dossiers il a indiqué au Gouvernement «l’impératif de procéder au recensement effectif des entreprises publiques et privées en liquidation, des catégories de personnels concernés, des droits officiels dus par chaque entreprise liquidée, de même que leur niveau de recouvrement par les travailleurs concernés». Mieux, le chef de l’Etat a demandé à ses Ministres d’accélérer toutes les procédures de liquidation en cours en vue d’un règlement durable du passif social…
Un Collectif composé d’ex-travailleurs de plusieurs sociétés, dont Transrail, la Sotiba, Air Afrique, la Sotrac, la Sias, etc. a tenu, hier, une conférence de presse. C’était pour demander à l’Etat le paiement de leur dû.
Les ex-travailleurs des sociétés publiques, parapubliques et privées sont très remontés contre l’Etat du Sénégal. Ces ex-employés ont tenu, hier, une conférence de presse pour exprimer toute leur déception au gouvernement de Macky Sall qui, selon eux, fait toujours la sourde oreille pour la liquidation de leurs droits. Selon eux lors du Conseil interministériel du 10 mars 2017, le Premier ministre, au nom de la continuité de l’Etat qui fait obligation à celui-ci de s’acquitter des engagements souscrits par les gouvernements précédents, avait indiqué des propositions de sortie de crise. Lesquelles étaient articulées autour de plusieurs modalités adaptées à chaque société.
«Pour Air Afrique (9 milliards pour 262 ayants droit). Pour Hamo-Sa (300 millions pour 139 ayants droit), Frigocap (17 millions pour 17 ayants droit), Sias (1,560 milliard pour 1 248 ayants droits) etc.», indiquent-ils dans un document remis à la presse. Mais force est de constater, regrettent-ils, que l’Etat du Sénégal n’est pas disposé à régler leur problème. Parce que, soulignent-ils, jusqu’à présent, aucun ex-employé de ces sociétés précitées, n’a vu la couleur de l’argent. Pour ce qui est de Transrail, le contentieux entre l’Etat et Jabber, l’ancien concessionnaire, rend les choses encore de plus en plus difficiles.
Ensuite s’agissant des sociétés privées, le Pm avait engagé l’Etat à accompagner les travailleurs à la résolution des problèmes. Mais se désolent-ils, cela n’est resté qu’à l’état de promesse. Dès lors, il se pose la question de savoir où est-ce que ça bloque ?
Le facilitateur, Momar Sambe, a signalé qu’au temps du régime d’Abdoulaye Wade, il y a eu un acompte en ce qui concerne la Sotrac en 2007, 2008 et 2009 : une tranche de 2 milliards CFA et une autre de 3 milliards CFA. Mais, sous l’ère Macky Sall, c’est le mutisme total. «Sous le régime de Macky Sall, rien n’a été payé. Le Collectif ne peut qu’exprimer son inquiétude, son désarroi devant une telle attitude de la part du gouvernement.
Il ne peut qu’élever la voix devant un tel manquement, un tel oubli surtout au moment où le gouvernement a confectionné son budget pour l’année 2018 qu’il fait examiner présentement par l’Assemblée nationale.
Au moment où le président de la République annonce que ce budget 2018 sera social», peste Momar Sambe. Avant d’ajouter : «En tant que facilitateur, je dois avouer que j’ai frappé à toutes les portes, mais en vain. Nous n’avons aucune réponse venant du gouvernement. C’est l’omerta totale. Nous sommes devant un mur de silence. Le montant total tourne autour de 25 milliards CFA pour ce qui concerne les travailleurs du secteur public et parapublic et 8 à 9 milliards de F CFA pour ceux du secteur privé».
"ETALT DE DROIT DOIT RESPECTER SES ENGAGEMENTS;
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Conseil des Ministres du 11 mars 2017 : L’Etat s’engage à solder le passif social des sociétés nationales en liquidation.
Les agents des entreprises, dont la liquidation traîne toujours, peuvent espérer des lendemains meilleurs. Hier, en réunion du Conseil des ministres, le Président de la République a pris en charge la gestion de tous ces dossiers il a indiqué au Gouvernement «l’impératif de procéder au recensement effectif des entreprises publiques et privées en liquidation, des catégories de personnels concernés, des droits officiels dus par chaque entreprise liquidée, de même que leur niveau de recouvrement par les travailleurs concernés». Mieux, le chef de l’Etat a demandé à ses Ministres d’accélérer toutes les procédures de liquidation en cours en vue d’un règlement durable du passif social…
Un Collectif composé d’ex-travailleurs de plusieurs sociétés, dont Transrail, la Sotiba, Air Afrique, la Sotrac, la Sias, etc. a tenu, hier, une conférence de presse. C’était pour demander à l’Etat le paiement de leur dû.
Les ex-travailleurs des sociétés publiques, parapubliques et privées sont très remontés contre l’Etat du Sénégal. Ces ex-employés ont tenu, hier, une conférence de presse pour exprimer toute leur déception au gouvernement de Macky Sall qui, selon eux, fait toujours la sourde oreille pour la liquidation de leurs droits. Selon eux lors du Conseil interministériel du 10 mars 2017, le Premier ministre, au nom de la continuité de l’Etat qui fait obligation à celui-ci de s’acquitter des engagements souscrits par les gouvernements précédents, avait indiqué des propositions de sortie de crise. Lesquelles étaient articulées autour de plusieurs modalités adaptées à chaque société.
«Pour Air Afrique (9 milliards pour 262 ayants droit). Pour Hamo-Sa (300 millions pour 139 ayants droit), Frigocap (17 millions pour 17 ayants droit), Sias (1,560 milliard pour 1 248 ayants droits) etc.», indiquent-ils dans un document remis à la presse. Mais force est de constater, regrettent-ils, que l’Etat du Sénégal n’est pas disposé à régler leur problème. Parce que, soulignent-ils, jusqu’à présent, aucun ex-employé de ces sociétés précitées, n’a vu la couleur de l’argent. Pour ce qui est de Transrail, le contentieux entre l’Etat et Jabber, l’ancien concessionnaire, rend les choses encore de plus en plus difficiles.
Ensuite s’agissant des sociétés privées, le Pm avait engagé l’Etat à accompagner les travailleurs à la résolution des problèmes. Mais se désolent-ils, cela n’est resté qu’à l’état de promesse. Dès lors, il se pose la question de savoir où est-ce que ça bloque ?
Le facilitateur, Momar Sambe, a signalé qu’au temps du régime d’Abdoulaye Wade, il y a eu un acompte en ce qui concerne la Sotrac en 2007, 2008 et 2009 : une tranche de 2 milliards CFA et une autre de 3 milliards CFA. Mais, sous l’ère Macky Sall, c’est le mutisme total. «Sous le régime de Macky Sall, rien n’a été payé. Le Collectif ne peut qu’exprimer son inquiétude, son désarroi devant une telle attitude de la part du gouvernement.
Il ne peut qu’élever la voix devant un tel manquement, un tel oubli surtout au moment où le gouvernement a confectionné son budget pour l’année 2018 qu’il fait examiner présentement par l’Assemblée nationale.
Au moment où le président de la République annonce que ce budget 2018 sera social», peste Momar Sambe. Avant d’ajouter : «En tant que facilitateur, je dois avouer que j’ai frappé à toutes les portes, mais en vain. Nous n’avons aucune réponse venant du gouvernement. C’est l’omerta totale. Nous sommes devant un mur de silence. Le montant total tourne autour de 25 milliards CFA pour ce qui concerne les travailleurs du secteur public et parapublic et 8 à 9 milliards de F CFA pour ceux du secteur privé».
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Anonyme
En Avril, 2018 (17:11 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (22:07 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (07:15 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (07:17 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (11:15 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (11:15 AM)Vrai Enseignant
En Avril, 2018 (14:28 PM)Participer à la Discussion