Enseignement supérieur : Les acteurs tentent de trouver des solutions à travers une Concertation Nationale

3 Commentaires

1. 

   Nts

   En Février, 2013 (12:24 PM)

   rencontre, concertation, wokh wokh wokh rékk! action lagnou wokh!

   Répondre +0 -0

   Signalier Permalink

Yukulele
En Février, 2013 (14:36 PM)
NATO : No Action Talk Only. Pas besoin de palabres pour faire dans l'excellence, allez voir ce qui se fait de mieux sous d'autres cieux et l'appliquer ici en l'adaptant, il ne faut pas essayer de réinventer la roue. Les maux principaux tout le monde les connaît, ce sont des "enseignants qui ne sont mus que par l'argent, comme le suggère le commentaire ci-haut. Primes, heures complémentaires et mercenariat politique (suivre mon regard). sinon comment comprendre que cette "élite" qui devait être la locomotive du développement soit là à donner le mauvais exemple de ce qui est le premier stade du développement "le patriotisme" ? Voilà des gens qui font la grève pendant X mois, payé en plus et qui ne se gènent pendant cette période d'aller donner des cours dans les universités et instituts privés et ce pendant les heures qui sont normalement dévolus à l'activité principale pour laquelle ils sont payés. je ne donne que cet exemple, je ne parle pas d'autres bizarreries observées dans ce milieu plus qu'opaque ou la chose la mieux partagée par ces "profs" est la malhonnêteté et la nullardise pour la majorité. Les Bachir, Mbodj, mamadou diouf vous ont laissé là parce qu'ils sont plus forts que vous, qui restez là à pourrir la vie des étudiants en hypothéquant l'avenir des étudiants des pauvres sénégalais alors que vous faîtes tout pour envoyer les vôtres à l'étranger. Tchim. Parlez rek, mais vous feriez mieux de vous regarder vous-mêmes et vous juger, vous trouveriez facilement les maux de l'universuité sénégalaise.   
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}

Collectif
En Février, 2013 (18:33 PM)
L'initiative est bonne, mais il reste à voir les conditions dans lesquelles cette concertation va se dérouler. Déjà, il ya faut départ. Comment peut-on mettre en place un tel projet en laissant en rade les structures implantées dans les banlieues et dans les régions? Le seul conseil que je donne, c'est d'impliquer tous les acteurs socioprofessionnels en tenant compte de leur représentativité au niveau national. A cet effet, le comité devrait s'appuyer sur la CONCEFOPTS qui est la coordination nationale des collectifs des établissements privés de formation professionnelle technique et supérieur en ce qui concerne le privé. Elle regroupe en son sein, tous les collectifs du Sénégal dont le président est Monsieur Abib Cissé. Je recommande enfin au comité d'avoir une globale sur ce projet en impliquant tous les acteurs et d'éviter de travailler sur la base d'idées préconçues.
Répondre +0 -0
Signalier Permalink
{comment_ads}