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Les universités publiques sénégalaises seront paralysées ces lundi, mardi et mercredi. Et pour cause, le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) a décrété 72 heures de grève générale. En plus des activités pédagogiques, les grévistes vont boycotter les activités administratives et réunions, et suspendre les formations payantes, annonce le communiqué du SAES repris dans Les Échos de ce lundi 24 février.
La même source rapporte que les enseignants du Supérieur public exigent «l’application sans délai du protocole d’accord [signé avec le gouvernement] ainsi que la restauration de la dignité des familles des défunts camarades». Aussi, dénoncent-ils, selon le communiqué, «le non-respect de l’engagement pris, le 22 octobre 2024, par le ministre de l’Enseignement supérieur, en accord avec le gouvernement, de réintroduire le décret, objet de la revendication, dans le circuit d’adoption des textes administratifs».
Sur ce chapitre, le SAES pointe, entre autres, «le dilatoire manifeste du gouvernement, en particulier du MESRI [ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation] et de la Primature qui, de façon synchrone, se renvoient la balle sur la non-signature du décret».
La semaine dernière, les enseignants des universités publiques avaient observé 48 heures de grève pour les mêmes motifs.
La même source rapporte que les enseignants du Supérieur public exigent «l’application sans délai du protocole d’accord [signé avec le gouvernement] ainsi que la restauration de la dignité des familles des défunts camarades». Aussi, dénoncent-ils, selon le communiqué, «le non-respect de l’engagement pris, le 22 octobre 2024, par le ministre de l’Enseignement supérieur, en accord avec le gouvernement, de réintroduire le décret, objet de la revendication, dans le circuit d’adoption des textes administratifs».
Sur ce chapitre, le SAES pointe, entre autres, «le dilatoire manifeste du gouvernement, en particulier du MESRI [ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation] et de la Primature qui, de façon synchrone, se renvoient la balle sur la non-signature du décret».
La semaine dernière, les enseignants des universités publiques avaient observé 48 heures de grève pour les mêmes motifs.
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