La signature du procès verbal du 16 mars 2015 suite aux négociations Saes-Gouvernement, a l’impression de laisser sur leur faim les membres du Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes). Lors de la Conférence nationale des sections dudit syndicat, tenue samedi à Bambey, les enseignants de fustiger l’immobilisme du gouvernement.
«Les budgets notoirement insuffisants, induisent des situations inimaginables telles que le manque de craie ou de papier ajouté au retard (encore) de salaires malgré les assurances du ministre de l’Economie sur la sécurisation des salaires», a dénoncé le secrétaire général du Saes, Seydi Ababacar Ndiaye, dans les colonnes de l’Observateur.
«On a l’impression qu’il faut, d'abord, asphyxier puis tuer les universités existantes pour que puissent naître les nouvelles universités», fait-il remarquer.
«On a l’impression qu’il faut, d'abord, asphyxier puis tuer les universités existantes pour que puissent naître les nouvelles universités», fait-il remarquer.
2 Commentaires
Caméra
En Juin, 2015 (13:28 PM)Vous nous emmerdez avec vos revendications infinissants, qui tournent toujours autour de l'argent. En plus vous êtes presque tous les jours dans les rues et vous ne voulez pas que l'Etat coupe votre salaire. Ce vous voulez, c'est trop facile. Retournez dans les salles de classe. Heureusement les anciens enseignants avaient de la vocation pour cet métier noble et ne sont pas comme vous.
Anonyme
En Juin, 2015 (15:09 PM)Participer à la Discussion