La levée du mot d'ordre de grève de certains syndicats d'enseignants est sans effet. Nombreux sont les établissements scolaires où les enseignants n'ont pas respecté la levée du mot d'ordre.
"À Blaise Diagne, aucun cours n'a été dispensé. Toutes les salles de classes étaient fermées", renseigne Wal fadjri. Même constat au lycée Seydou Nourou Tall. Les professeurs n'ont pas tenu classe, hormis un professeur de philosophie, qui, dit-il, fait cours par "sympathie".
Au lycée Maurice Delafosse tout comme à l'école élémentaire Les Manguiers, les élèves ont déserté les salles, faute d'enseignants.
26 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2018 (10:54 AM)Mansa Mandelacity Lumumbashi
En Avril, 2018 (10:56 AM)OUI NOUS DISONS BIEN ICI TANT MIEUX POUR LA
SAUVEGARDE DE CETTE ANNEE SCOLAIRE 2018 !
Anonyme
En Avril, 2018 (11:01 AM)Soff
En Avril, 2018 (11:08 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (11:13 AM)Ndiattiar
En Avril, 2018 (11:21 AM)L'article 27 du statut général de la fonction publique dit qu'au salaire de base (le même que pour tous les fonctionnaires selon le niveau de recrutement), peuvent s'ajouter des indemnités représentatives de frais ou justifiées par des sujétions ou des risques inhérents à l'emploi.
Si vous regardez bien ces textes, il est clair qu'on ne peut avoir les mêmes indemnités juste parce qu'on a le même niveau de recrutement.Les indemnités et leur montant dépendent de la nature spécifique à chaque corps de fonctionnaire, puisque tous les fonctionnaires ne font pas la même chose.
Donc au lieu de réclamer des indemnités selon la nature intrinsèque de leur corps, les badoolos demandent aveuglément l'alignement sur des fonctionnaires qui ne font pas le même travail qu'eux et n'ont pas les mêmes sujétions sur le seul prétexte du niveau de recrutement.
Je me demande pourquoi le gouvernement ne fait pas entendre raison à ces badoolos, entrés dans la fonction publique par effraction, via la lucarne du quota sécuritaire et qui veulent être au même niveau indemnitaire que ceux qui sont entrés par la grande porte et exercent des fonctions plus vitales, plus risqués qu'eux.
Mandimory
En Avril, 2018 (11:25 AM)Topstock
En Avril, 2018 (11:29 AM)la fierte du pays
Anonyme
En Avril, 2018 (11:39 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (11:40 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (11:50 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (11:57 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (11:57 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:06 PM)Peche
En Avril, 2018 (12:08 PM)Té pourtant se sont des fonctionnaires ki sont sortis des grandes écoles de ce pays
Peut être ils sont minoritaire 0.03 pour cent des 130 000 fonctionnaires de l'etat
Et ce qui est plus décevant au même moment on distribue dans le secteur des millions a travers la DER vraiment c ne pas respecter le secteur
Pourtant le secteur représente 264 milliard en 'exportation
Anonyme
En Avril, 2018 (12:09 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:18 PM)DE GRACE CORRIGER TOUTES LES DISPARITÉS SALARIALES
Anonyme
En Avril, 2018 (12:30 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (13:46 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (14:54 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (15:03 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (15:29 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (15:30 PM)Assoukatene
En Avril, 2018 (15:55 PM)Citoyen
En Avril, 2018 (16:13 PM)Mes propos ce n'est pas pour sous estimer qui que ce soit mais c'est parce que c'est cette situation de comparaison qui crée des amalgames. Les enseignants, comme tout autre travailleur ont le droit de faire des comparaisons sur des raisons objectives et non comparatives.
S'agissant de la grève actuelle, il faut reconnaitre qu'elle est légitime. Il faut arrêter de dire que l’État a fait beaucoup d'efforts dans le secteur, en se gargarisant de montant à 9 chiffres.
Il n'y a pas une différence entre distribuer 100 milliards à 100 mille personnes et 1 milliards à mille personnes. Il n' y a absolument pas de différences.
La question qu'il urge de poser c'est : l’État a t'il fait ce qu'il avait promis ? Et au regard des arguments apportés par les protagonistes la réponse est NON. Dans ce cas la faute est imputable à notre cher État parce qu'un État c'est la prévision d'autant plus qu'ici il s'agit de montants et de bénéficiaires connus d'avance. C'est aussi simple que bonjour. Toute autre interprétation n'est que partisane.
Le vrai problème, il faut l'avouer, c'est que nos gouvernants "amougnou kadou". Ils ne connaissent pas le respect de la parole donnée. Le Chef de l’État avait promis qu'il ne nommerait pas un membre de sa famille. Pourtant il a franchi le Rubicon en nommant son beau frère mais surtout son petit frère dans une direction sur-liquide.
Ce sont ces pratiques qui frustrent les travailleurs méritants tel que les enseignants et qui les poussent à se radicaliser. On ne peut pas mettre sa famille illégitimement - même si légalement on ne peut attaquer cette décision - dans une posture enviable et demander aux autres de serrer la ceinture. C'est inadmissible, encore que ces personnes n'ont aucun état de service professionnel plaidant en leur faveur.
Tous ceux qui s'offusquent de l'attitude des enseignants savent que dans cette histoire l'unique et seul responsable c'est le Chef de l’État qui a un problème avec sa parole donnée malgré les airs surpris et le semblant de colère qu'il affiche.
Rassurez vous je ne suis ni un opposant ni un enseignant mais juste un simple citoyen observateur avisé du champ social du pays.
Citoyen
En Avril, 2018 (16:16 PM)je veux dire : faire des revendications sur des bases objectives et non comparatives.
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