Le fondateur de Wari, empêtré dans des affaires judiciaires au Sénégal et en France, a accordé un entretien exclusif au journal Le Quotidien. Celui-ci est publié dans l’édition de ce lundi 27 janvier. L’homme d’affaires y évoque la trajectoire de sa licorne, ses déboires avec la justice, le rachat raté de Tigo ainsi que la possibilité de revenir investir dans le pays dans le contexte où les nouvelles autorités prônent le «souverainisme économique». Seneweb publie l’interview en intégralité.
Le Quotidien : Les Sénégalais retiennent de vous l’image d’un précurseur et un novateur. Vous avez créé Wari, et vous avez voulu rendre l’opérateur «Tigo» aux Sénégalais. Pourquoi ces deux initiatives ont-elles tourné court ?
Kabirou Mbodje : Wari a effectivement été une entreprise novatrice dans l’offre de services financiers au grand public de par son caractère inclusif pour les banques et autres partenaires financiers de Wari. De même nous avons permis au Sénégal de créer près de 50 000 emplois directs, ce qui est sans précédent dans ce pays. Mais certaines personnes nichées dans les institutions régulatrices ont usé de leur pouvoir pour saborder l'entreprise afin de servir des intérêts étrangers. Concernant Tigo, c'est au sommet de l'Etat que cela c'est joué en notre défaveur là où on devait plutôt s'attendre à un soutien régalien. Il est impossible pour une entreprise de survivre quand elle est combattue par l'Administration.
Pensez-vous, dans ces opérations, n’avoir pas assez bénéficié du soutien des pouvoirs publics, ou bien avez-vous aussi, quelque peu, manqué d’anticipation ?
Nous avons fait les choses de façon régulière et transparente. Nous avons, pour Tigo, soumissionne et gagné régulièrement un appel d'offre. L'état, délibérément, n'a pas joué son rôle en ne nous délivrant pas les autorisations de transfert dans les délais requis ce qui nous a empêché de clôturer l'achat. Pour Wari, vous ne pouvez pas anticiper ou vous en sortir quand le régulateur, en l'occurrence la Banque centrale et le ministère des finances ont décidé de vous éliminer. Nous avions pourtant démontré le caractère d'utilité publique de Wari pour les populations et pour l'Etat en mettant en place un véritable système d'inclusion financière et de formalisation du secteur informel de nos pays. C'est un impératif pour le développement de nos économies.
Il a été dit, à la suite de ces échecs, que vous avez migré certains de vos investissements dans d’autres pays africains. Qu’y a-t-il de vrai dans cela, et éventuellement, de quel secteur s’agit-il ?
Wari était présent dans une trentaine de pays mais était un système intégré et fonctionnait en vase communicant. Des banques partenaires n'ont pas respecté les règles de compense du système ce qui l'a mis à l'arrêt dans l'ensemble des pays où le service était offert.
Les banques occidentales se désengagent en Afrique, et aussi, au Sénégal. On ne vous entend pas vous positionner pour une quelconque reprise ou participation. Pourquoi cela ?
Nous avions à l'époque une véritable stratégie d'acquisition de banques et d'institutions financières dans la zone uemoa puis cemac et enfin africaine. Mais nous en avons été empêchés. Si aujourd'hui nous avons le soutien des pouvoirs publics nous relancerons les choses. Les banques et institutions financières des nos pays doivent appartenir au capital national. Il y va de notre souveraineté.
Il se dit que vous avez investi dans une banque dans un pays de l’Afrique de l’Ouest. Est-ce vrai ? Pensez-vous la transférer un jour au Sénégal ?
Nous n'avons aujourd'hui plus de participation dans une banque d'Afrique francophone. Comme je l'ai indiqué plus haut nous sommes à l'écoute des nouvelles autorités pour apporter notre concours actif au Projet. Nous en avons les capacités, l'expertise et surtout la volonté. Nous avons toujours été des patriotes et toutes nos entreprises et initiatives ont eu pour soubassement l'intérêt national. C'est ensemble que nous pouvons développer nos pays.
Que pensez-vous de l’environnement des affaires au Sénégal. Est-il propice aux investissements ?
De ce que j'entends, un tournant décisif est amorcé avec une volonté ferme des pouvoirs publics de mettre en avant l'intérêt national et les nationaux. Nous observons avec attention ce qui est entrain d'être proposé pour voir comment contribuer à l'essor du pays.
En tant que Sénégalais, entrepreneur de renom, qu’est-ce qui pourrait vous motiver à investir ou réinvestir dans le pays, à une époque où le «souverainisme économique» est à la mode ?
Nous sommes toujours motivés dès lors qu'une initiative nationaliste est proposée car Il en va de la survie de nos nations. Aucun pays au monde ne s'est développé de façon exogène et nous ne serons pas une exception. Nous avons toujours milité pour la préférence nationale qui est une nécessité absolue quand on parle de souveraineté économique. Tous les secteurs stratégiques doivent être entre les mains exclusives des nationaux. Le capital étranger doit intervenir à la marge. Pour notre part, nous nous tenons à la disposition des autorités pour apporter notre contribution pour faire décoller enfin notre pays. C'est une obligation pour chacun d'entre nous.
Si vous n’êtes pas à la Une des journaux économiques, votre vie s’étale souvent dans les colonnes à scandales de certains journaux. Ce sont vos mœurs qui sont épinglées. Pouvez-vous rassurer vos compatriotes sur ces points ?
Si vous faîtes allusion aux fausses accusations portées contre moi et qui m'ont valu une arrestation, nous sommes malheureusement dans un nouveau monde d’antagonismes qui va à la dérive, où tout se déconstruit, se radicalise, et où il est désormais possible de détruire la vie de quelqu'un, plus précisément celle d'un homme, sur une simple accusation. Si vous êtes dans situation sociale élevée ou si vous êtes médiatisé alors vous êtes la proie de personnes mal intentionnées qui, si elles n'obtiennent pas de vous de l'attention ou des cadeaux, à cause du développement des réseaux sociaux et internet, vont pouvoir impunément vous nuire en portant atteinte à votre réputation et pour mon cas à votre liberté. Je n'ai absolument rien à me reprocher tant au niveau de mes mœurs que de mon respect des autres et de la loi. Je me battrais jusqu'à mon dernier souffle pour que la vérité soit faite sur cette affaire et que ma réputation soit rétablie pour mes enfants et mes parents.
Concernant la procédure au Sénégal entre moi et d'anciens employés de Wari reprise et faussement commentée dernièrement par des journaux locaux, c'est une affaire qui avait déjà été jugée en 1ere instance, en appel et pour finir en cassation, et pour laquelle il y eu trois fois non-lieu en ma faveur. Par une opération inexpliquée, la même procédure s'est retrouvée enrôlée une nouvelle fois et je me vois condamné en première instance car n'étant pas présent au Sénégal. J'ai confiance dans la justice de mon pays pour corriger cette étrange situation.
Le Quotidien : Les Sénégalais retiennent de vous l’image d’un précurseur et un novateur. Vous avez créé Wari, et vous avez voulu rendre l’opérateur «Tigo» aux Sénégalais. Pourquoi ces deux initiatives ont-elles tourné court ?
Kabirou Mbodje : Wari a effectivement été une entreprise novatrice dans l’offre de services financiers au grand public de par son caractère inclusif pour les banques et autres partenaires financiers de Wari. De même nous avons permis au Sénégal de créer près de 50 000 emplois directs, ce qui est sans précédent dans ce pays. Mais certaines personnes nichées dans les institutions régulatrices ont usé de leur pouvoir pour saborder l'entreprise afin de servir des intérêts étrangers. Concernant Tigo, c'est au sommet de l'Etat que cela c'est joué en notre défaveur là où on devait plutôt s'attendre à un soutien régalien. Il est impossible pour une entreprise de survivre quand elle est combattue par l'Administration.
Pensez-vous, dans ces opérations, n’avoir pas assez bénéficié du soutien des pouvoirs publics, ou bien avez-vous aussi, quelque peu, manqué d’anticipation ?
Nous avons fait les choses de façon régulière et transparente. Nous avons, pour Tigo, soumissionne et gagné régulièrement un appel d'offre. L'état, délibérément, n'a pas joué son rôle en ne nous délivrant pas les autorisations de transfert dans les délais requis ce qui nous a empêché de clôturer l'achat. Pour Wari, vous ne pouvez pas anticiper ou vous en sortir quand le régulateur, en l'occurrence la Banque centrale et le ministère des finances ont décidé de vous éliminer. Nous avions pourtant démontré le caractère d'utilité publique de Wari pour les populations et pour l'Etat en mettant en place un véritable système d'inclusion financière et de formalisation du secteur informel de nos pays. C'est un impératif pour le développement de nos économies.
Il a été dit, à la suite de ces échecs, que vous avez migré certains de vos investissements dans d’autres pays africains. Qu’y a-t-il de vrai dans cela, et éventuellement, de quel secteur s’agit-il ?
Wari était présent dans une trentaine de pays mais était un système intégré et fonctionnait en vase communicant. Des banques partenaires n'ont pas respecté les règles de compense du système ce qui l'a mis à l'arrêt dans l'ensemble des pays où le service était offert.
Les banques occidentales se désengagent en Afrique, et aussi, au Sénégal. On ne vous entend pas vous positionner pour une quelconque reprise ou participation. Pourquoi cela ?
Nous avions à l'époque une véritable stratégie d'acquisition de banques et d'institutions financières dans la zone uemoa puis cemac et enfin africaine. Mais nous en avons été empêchés. Si aujourd'hui nous avons le soutien des pouvoirs publics nous relancerons les choses. Les banques et institutions financières des nos pays doivent appartenir au capital national. Il y va de notre souveraineté.
Il se dit que vous avez investi dans une banque dans un pays de l’Afrique de l’Ouest. Est-ce vrai ? Pensez-vous la transférer un jour au Sénégal ?
Nous n'avons aujourd'hui plus de participation dans une banque d'Afrique francophone. Comme je l'ai indiqué plus haut nous sommes à l'écoute des nouvelles autorités pour apporter notre concours actif au Projet. Nous en avons les capacités, l'expertise et surtout la volonté. Nous avons toujours été des patriotes et toutes nos entreprises et initiatives ont eu pour soubassement l'intérêt national. C'est ensemble que nous pouvons développer nos pays.
Que pensez-vous de l’environnement des affaires au Sénégal. Est-il propice aux investissements ?
De ce que j'entends, un tournant décisif est amorcé avec une volonté ferme des pouvoirs publics de mettre en avant l'intérêt national et les nationaux. Nous observons avec attention ce qui est entrain d'être proposé pour voir comment contribuer à l'essor du pays.
En tant que Sénégalais, entrepreneur de renom, qu’est-ce qui pourrait vous motiver à investir ou réinvestir dans le pays, à une époque où le «souverainisme économique» est à la mode ?
Nous sommes toujours motivés dès lors qu'une initiative nationaliste est proposée car Il en va de la survie de nos nations. Aucun pays au monde ne s'est développé de façon exogène et nous ne serons pas une exception. Nous avons toujours milité pour la préférence nationale qui est une nécessité absolue quand on parle de souveraineté économique. Tous les secteurs stratégiques doivent être entre les mains exclusives des nationaux. Le capital étranger doit intervenir à la marge. Pour notre part, nous nous tenons à la disposition des autorités pour apporter notre contribution pour faire décoller enfin notre pays. C'est une obligation pour chacun d'entre nous.
Si vous n’êtes pas à la Une des journaux économiques, votre vie s’étale souvent dans les colonnes à scandales de certains journaux. Ce sont vos mœurs qui sont épinglées. Pouvez-vous rassurer vos compatriotes sur ces points ?
Si vous faîtes allusion aux fausses accusations portées contre moi et qui m'ont valu une arrestation, nous sommes malheureusement dans un nouveau monde d’antagonismes qui va à la dérive, où tout se déconstruit, se radicalise, et où il est désormais possible de détruire la vie de quelqu'un, plus précisément celle d'un homme, sur une simple accusation. Si vous êtes dans situation sociale élevée ou si vous êtes médiatisé alors vous êtes la proie de personnes mal intentionnées qui, si elles n'obtiennent pas de vous de l'attention ou des cadeaux, à cause du développement des réseaux sociaux et internet, vont pouvoir impunément vous nuire en portant atteinte à votre réputation et pour mon cas à votre liberté. Je n'ai absolument rien à me reprocher tant au niveau de mes mœurs que de mon respect des autres et de la loi. Je me battrais jusqu'à mon dernier souffle pour que la vérité soit faite sur cette affaire et que ma réputation soit rétablie pour mes enfants et mes parents.
Concernant la procédure au Sénégal entre moi et d'anciens employés de Wari reprise et faussement commentée dernièrement par des journaux locaux, c'est une affaire qui avait déjà été jugée en 1ere instance, en appel et pour finir en cassation, et pour laquelle il y eu trois fois non-lieu en ma faveur. Par une opération inexpliquée, la même procédure s'est retrouvée enrôlée une nouvelle fois et je me vois condamné en première instance car n'étant pas présent au Sénégal. J'ai confiance dans la justice de mon pays pour corriger cette étrange situation.
19 Commentaires
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Un Caribou est toujours majestueux.
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il y a 3 jours (12:02 PM)-
Kabirou, personne n'a fait couler Wari si ce n'est toi.
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il y a 3 jours (13:02 PM)J'ai travaillé pour cette boîte et je peux dire à tout le monde que tu ne te sentais absolument pas Sénégalais. Tu n'es Sénégalais que lorsque cela t'arrange. Tu avais l'habitude de dire aux gens "vous êtes paresseux, vous êtes des sénégalais". Et tu sortais fièrement ton passeport français...
Bref, Wari a été perdu par des décision hasardeuses comme celle de mettre 25 millions d'euros sur une startup française. C'est cela qui a fait que tu ne pouvais plus compenser les banques et elles aussi se sont retirées.
Tu te dis Sénégalais mais pendant que Orange et les autres étrangers payaient leurs impôts toi tu préférais baser le salaire de tes directeurs à Wari Mauricius pour ne pas payer d'impôts au Sénégal. Je ne peux dire combien de dizaines de millions tu as privé ton propre pays pendant que Orange payait des dizaines de milliards au fisc.
Je préfère un étranger qui paie ses taxes à un sénégalais qui vit de l'évasion fiscale.
Sur un autre registre, tu es un champion de la corruption. Les autorités actuelles ne pourraient pas faire bon menage avec toi. Nous avons vu tes mails pour demander de corrompre les impôts du Togo.
Tu es d'une arrogance inouïe. Tu te rappelles comment tu as viré Mabouba Diagne, l'actuel Ministre de lageicule? Tu te rappelle quand tu mettais des réunions a l'heure de la mosquée du vendredi et tu disais aux employés "Que celui qui ne vient pas a la réunion sache qu'il est licencié" ? Tu te rappelles quand tu croisais un employé en retard dans le couloir et lui lancais "tu es viré" sans même chercher à savoir pourquoi il est en retard ? Tu te rappelles quand tu répondais avec merpis aux mails qui demandaient de donner le 13eme mois aux employés ? Quand tu disais en substance que l'argent de Wari est a toi et tu ne donnes rien a personne pour la fin d'année 2017? Tu te rappelles quand tu licenciais 26 employés et leur disais que tu préfères la bataille judiciaire, que cela ne te faisait ni chaud ni froid de dépenser des millions au tribunal ?
Aujourd'hui tu ne vaux rien. Si Wari a coulé c'est le fait d'un homme imbu, un dirigeant qui s'est cru plus grand que Dieu parce simplement il a eu l'idée de copier mpesa (du Kenya) au Sénégal.
'Jespere que tu auras appris de ton échec, et qu'aujourd'hui tu es plus respectueux des Sénégalais et que tu traiteras avec respect et dignité les gens qui vont travailler pour toi, si tu parviens à créer quelque chose.
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Un imbécile ce mec , je l’ai connu en affaires, il est hautain, manipulateur et très véreux comme entrepreneur.
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il y a 3 jours (13:17 PM)-
Bonjour chef,
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il y a 3 jours (13:21 PM)Yawwwwwwwwwwwwwwwww mi ya wakh deuggui.
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il y a 3 jours (13:33 PM)-
Fichtre, quel réquisitoire ! Waaw!!! Le texte vaut plus qu'un livre de chevet pour le vilain Créateur de "Riwa" ex wari.
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il y a 21 heures (17:27 PM)-
Notre valeureux Mabouba si tout ça est avéré donc ce gars là est un hypocrite le Gouvernement doit prendre toutes ces dispositions avant de lui accorder quoi que ce soit car ces gens de pratique ne prospère plus dans ce pay
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il y a 3 heures (11:50 AM)s
Galas
il y a 3 jours (11:49 AM)-
Il n'est pas sénégalais mais bien français, de quoi tu parles? C'est pas Kabirou c'est Kaliméro. Personne ne va pleurer pour lui . Ridicule ces articles payés . Il devrait se faire tout petit ....
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il y a 3 jours (12:00 PM)-
Oui oui si on investissait dans le business au lieu de construire des villas et prendre des épouses on aurait la même chose que les libanais. Ce qu’ils ont n’est que le fruit de leur travail, avec les mêmes méthodes que nous tous ici, celle de notre marché. Mettez vous au travail au lieu d’aboyer pendant que les libanais travaillent
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il y a 3 jours (12:15 PM)Reply_author
il y a 3 jours (14:38 PM)Il y'a des Sénégalais dignes de ce nom qui ont également des entreprises dans quasiment tous les secteurs au Sénégal :
Pathé Dione avec la banque SUNU, Yerim Sow avec le Bridge Bank.
Toujours ce dernier dans l'hôtellerie qui n'est plus a présenté, dans la télécommunication avec YAS même s'il partage le partenariat, dans l'industrie avec Polytek, dans les énergies et services avec ECSEN qu’il partage avec la CSE, dans l'immobilier, dans la logistique, et j'en passe.
Y'a des hommes d'affaires sénégalais respectable et respecté, qui dirige ou ont dirigé leurs entreprises d'une main de fer sans tambour ni trompette et sont toujours dans le secteur bien que concurrentiel :
Aliou Sow et maintenant ses enfants
Ndiouga Kebé et maintenant ses enfants
Djily mbaye, Bocar Samba Dieye .......... Et j'en passe.
Kabirou pense pouvoir se jouer de ce nouveau gouvernement en prônant soi-disant la souveraineté nationale ou le patriotisme alors que c'est juste un escroc, imbu de sa personne, qui faisait les plateaux télés en se gargarisant alors rien n’était bouclé dans la transaction avec Tigo.
Qui nous sucé le sang avec tarifs plus qu’exorbitant avec Wari et aujourd’hui on s’en compte avec Wave.
Il ne répond pas vraiment aux questions :
A-t-il réellement déplacé le siège de Wari au Togo après ses déboires ?
Qu’en est-il de son procès avec ses anciens collaborateurs ?
Qu’en est-il des centaines de sénégalais qui ont encore à ce jour leur argent perdu avec la chute de Wari ?
Qu’en est-il de ces accusations de viols à répétitions ?
Que faisait-il avec une fiancée russe de 25ans et 3 jeunes filles maghrébines et nigérienne dans son appartement à l’avenue Iéna ?
Qu’en est-il des accusations de viols de sa propre nièce ?
Il essaye de cracher sur l’ancien régime pour bien se faire voir par le nouveau régime mais digua kham ni Diomaye ak Sonko sont plus intelligents que tu le pense.
Et puis dougnou sek ak iow dara puisque vous n’avez pas les mêmes valeurs.
Barguet
il y a 3 jours (11:53 AM)Je vous signale que wari etait une entreprise de droit togolais et non senegalais.
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Oui c'est vrai, y a toujours une mauvaise nouvelle pour lui qui suit ce genre de torchon. J'ai préparé mes popcorn. Le mec est encore en conditionnelle après 2 ans de prison ferme pour agressions sexuelle en France. Il se pavane avec son bracelet électronique dans Paname et donne des interview. hahaha! ce type est né avant la honte.
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il y a 3 jours (13:37 PM)Défenseur
il y a 3 jours (12:07 PM)-
Je dirais plutôt que c'est RISIBLE . Lol!
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il y a 3 jours (13:31 PM)Kpayman
il y a 3 jours (13:03 PM)Dommage! La fintech c'est plus 17 000 milliards de transactions! par an. Les grands bénéficiaires sont Orange et Wave. Dommage! Nous ne voulons pas nous développer! c'est simple.
Thiourayou Deummeu
il y a 3 jours (13:14 PM)Teu
il y a 3 jours (14:19 PM)Sema
il y a 1 jour (08:42 AM)Participer à la Discussion