La chaîne de magasins de vêtements à bas prix est au centre d'une tourmente. Une deuxième étiquette, cousue à la main, dénonce les conditions de travail médiocre des personnes qui assemblent les tissus dans des ateliers.Rebecca Williams, 21 ans, a elle aussi découvert une étiquette étonnante sur un top acheté dans le magasin Primark de Swansea. "Conditions dégradantes de travail", lit-on. "J'ai vraiment été choquée quand j'ai découvert l'étiquette", explique-t-elle au DailyMail.
"J'avais l'habitude d'acheter de nombreux vêtements chez Primark, mais je ne le ferai plus. Ca m'a fait réfléchir sur la façon dont les vêtements sont faits!" Il y a quelques jours, une autre jeune femme britannique, Rebecca Gallagher, avait trouvé un "SOS" sur sa robe. Celui-ci dénonçait également les conditions de travail des couturiers. On pouvait y lire"Forcé à d'épuisantes journées de travail". Cette deuxième découverte soulève des doutes quant aux origines des étiquettes.
De nombreuses personnes pensent qu'il s'agit de l'oeuvre de militants qui souhaitent faire en sorte que l'enseigne prenne ses responsabilités. Dans le passé, Primark avait déjà été pointée du doigt pour l'exploitation de travailleurs à l'étranger dans le seul but d'offrir des produits à prix réduit.
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