Dominique Strauss-Kahn est revenu mardi, interrogé par CNN depuis Paris, sur le moment "terrible", il y a deux ans à New York, où il a été présenté, menotté, devant les caméras alors qu'il "ne comprenait pas ce qu'il se passait et pourquoi j'étais là".M. Strauss-Kahn, arrêté par la police après avoir été accusé de viol, le 14 mai 2011, par une femme de chambre guinéenne de l'hôtel Sofitel de New York, a affirmé qu'il avait alors ressenti de la "colère", dans cette interview présentée par CNN comme la première en anglais de l'ancien patron du Fonds Monétaire International (FMI) depuis sa démission de l'institution financière. "J'étais en colère, je ne comprenais pas ce qui se passait, je ne comprenais pas pourquoi j'étais là. Je comprenais juste qu'il se passait quelque chose que je ne comprenais pas", a indiqué M. Strauss-Kahn en évoquant le moment, fréquent aux Etats-Unis, où une personne qui vient d'être arrêtée est présentée aux caméras et appareils photo des journalistes. "C'est une chose terrible, vraiment. Le problème, c'est que c'est un moment où dans la société américaine et européenne, vous êtes supposés innocent, vous êtes supposés innocent jusqu'à ce que vous soyez jugés coupable", a ajouté M. Strauss-Kahn. Injustice "Mais (avec un telle pratique) vous êtes exposé à tout le monde, comme si vous étiez un criminel à un moment où nul ne sait si c'est vrai ou pas. Peut-être que vous l'êtes, peut-être que vous ne l'êtes pas, mais ce n'est que bien plus tard que la justice tranchera. Il est donc selon moi très injuste d'agir de la sorte, exhiber les gens au monde entier qui ignore ce qu'ils ont fait", a-t-il poursuivi. L'interview, dont l'extrait évoquant brièvement l'affaire du Sofitel a été publiée mardi par CNN, sera diffusé mercredi dans sa totalité. M. Strauss-Kahn y parle également de l'Europe et du système bancaire en Europe. "DSK", qui avait dû démissionner après ces accusations de viol de son poste de directeur général du FMI, avait également dû renoncer à ses ambitions présidentielles en France pour le scrutin de 2012. Les poursuites pénales avaient été ensuite abandonnées par le Parquet de New York, qui avait remis en cause la crédibilité de la femme de chambre, Nafissatou Diallo. Un accord financier confidentiel, conclu en décembre dernier entre M. Strauss-Kahn et son accusatrice, a réglé l'affaire au civil.
2 Commentaires
Africain221
En Juillet, 2013 (11:12 AM)" Partout ou l' influence des goyim ( non juifs) constitue une menace pour Israel, il est permit de les tuer".
encore un passage
"Il y permet l'assassinat des bébés et des enfants menaçant Israël. Les juifs peuvent tuer les Gentils (goy) qui
menacent Israel".
Encore un passage
"Il est permis de tuer les Justes( non juifs) parmi des Nations, même si ils ne sont pas responsables de la situation menaçante. [...] Si nous tuons un païen qui a péché ou violé l'un des sept commandements -- parce que nous nous soucions des commandements -- il n'y a rien de mal à l'assassiner".
Pour le peuple élu et selon l' ouvrage satanique du Talmud( élu je ne sais par qui??) un goy ( non juif) est une souillure, moins qu'un chien et une créature pour les servir. Tuer, violer, mentir, voler un goy ( non juif) n'est pas un crime et c'est même à encourager.
@africain221
En Juillet, 2013 (16:26 PM)Participer à la Discussion