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La crise migratoire touche toute l'Europe. En Grèce, les autorités ont ouvert ce samedi 27 novembre 2021 deux nouveaux centres fermés sur les îles de Leros et Kos. Un modèle critiqué par les organisations de défense des droits humains.
Cela ressemble un peu à une prison. Des barbelés, des points de contrôle, entourant un ensemble de constructions, de type bâtiments de chantier. Mais il s'agit en fait du tout nouveau centre pour migrants de l'île de Kos, en Grèce.
Le ministre grec des Migrations est venu l'inaugurer ce samedi, en compagnie du vice-président de la Commission européenne. Tous deux se sont félicités de l'ouverture de ce nouveau type d'installations : sécurisées, mais offrant aussi des commodités comme l'eau courante et les toilettes.
« Nous sommes fiers de ce que nous laissons derrière nous, a déclaré le vice-président de la Commission européenne, le Grec Margaratis Schinas, il ne faut pas que l'Europe revive le cauchemar des années 2015-2016. » À cette époque, La Grèce avait dû accueillir des centaines de milliers de demandeurs d'asiles, dans des conditions souvent déplorables.
Le nouveau camp de Kos est financé par l'Union européenne. Ultra sécurisé, il est fermé la nuit et les migrants doivent présenter des badges électroniques pour y entrer. Des restrictions de mouvement que dénoncent les organisations de défense de droits humains, qui craignent l'isolement des migrants.
Cela ressemble un peu à une prison. Des barbelés, des points de contrôle, entourant un ensemble de constructions, de type bâtiments de chantier. Mais il s'agit en fait du tout nouveau centre pour migrants de l'île de Kos, en Grèce.
Le ministre grec des Migrations est venu l'inaugurer ce samedi, en compagnie du vice-président de la Commission européenne. Tous deux se sont félicités de l'ouverture de ce nouveau type d'installations : sécurisées, mais offrant aussi des commodités comme l'eau courante et les toilettes.
« Nous sommes fiers de ce que nous laissons derrière nous, a déclaré le vice-président de la Commission européenne, le Grec Margaratis Schinas, il ne faut pas que l'Europe revive le cauchemar des années 2015-2016. » À cette époque, La Grèce avait dû accueillir des centaines de milliers de demandeurs d'asiles, dans des conditions souvent déplorables.
Le nouveau camp de Kos est financé par l'Union européenne. Ultra sécurisé, il est fermé la nuit et les migrants doivent présenter des badges électroniques pour y entrer. Des restrictions de mouvement que dénoncent les organisations de défense de droits humains, qui craignent l'isolement des migrants.
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