Selon Libération, Assane Diouf et Abdoulaye Ndiaye, chargé de la communication de Farba Ngom, seront fixés sur leur sort ce lundi 3 mars. Le premier a été arrêté par la DIC pour diffusion de fausses nouvelles, notamment. Il est poursuivi pour ses propos tenus sur Youtube et qui semblent dirigés contre le Premier ministre, Ousmane Sonko.
Face aux enquêteurs, rapportent des sources de Seneweb, Assane Diouf, qui n’a pas cité le nom du chef du gouvernement dans ses déclarations incriminées, a précisé qu’il ne faisait qu’analyser la situation politique nationale, sans aucune intention de nuire. Il devait être présenté au procureur vendredi dernier, selon nos informations.
Abdoulaye Ndiaye, lui, a été interpellé par la Division spéciale de cybersécurité (DSC), jeudi 27 février alors qu’il quittait le Pool judiciaire financier (PJF) où se déroulait l’audition de Farba Ngom, finalement placé sous mandat de dépôt. Il lui est reproché des propos jugés ethnicistes et outrageants contre le Président Diomaye Faye et le Premier ministre, Ousmane Sonko. Seneweb a appris qu’il avait refusé de répondre à une convocation de la DSC datée du 22 janvier dernier. Face aux enquêteurs, rapporte Libération, il a qualifié ses propos de «politiques».
Face aux enquêteurs, rapportent des sources de Seneweb, Assane Diouf, qui n’a pas cité le nom du chef du gouvernement dans ses déclarations incriminées, a précisé qu’il ne faisait qu’analyser la situation politique nationale, sans aucune intention de nuire. Il devait être présenté au procureur vendredi dernier, selon nos informations.
Abdoulaye Ndiaye, lui, a été interpellé par la Division spéciale de cybersécurité (DSC), jeudi 27 février alors qu’il quittait le Pool judiciaire financier (PJF) où se déroulait l’audition de Farba Ngom, finalement placé sous mandat de dépôt. Il lui est reproché des propos jugés ethnicistes et outrageants contre le Président Diomaye Faye et le Premier ministre, Ousmane Sonko. Seneweb a appris qu’il avait refusé de répondre à une convocation de la DSC datée du 22 janvier dernier. Face aux enquêteurs, rapporte Libération, il a qualifié ses propos de «politiques».
6 Commentaires
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En tout cas ce régime est dans la bonne voie, sous Macky le délit de participation à une manifestions non autorisée, équivalait une instruction d’office pour au moins six mois.
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il y a 8 heures (11:32 AM)El
il y a 9 heures (11:14 AM)Citoyen Responsable
il y a 8 heures (12:13 PM)Qu'il soit condamné assorti d'une forte amende et injonction de soins
Attn
il y a 6 heures (13:37 PM)si c'est authentique, avec des insultes sur Sonko et son pere,
C'est de la pure et simple provocation avec le prix adequat a payer...
Sa place n'est pas sur l'espace publique.
On recolte que ce qu on a seme'
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