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Dans sa livraison de ce mardi 25 février, Libération évoque «une opération bancaire des plus opaques exécutée trois jours après la Présidentielle 2024» avant donc la prise de fonction du nouveau régime.
De quoi s'agit-il ? «Au motif de financement de dépenses prioritaires, l'État a émis, le 27 mars dernier, six Certificats nominations d'obligations (Cno) au nom de la Bdk pour titriser un montant de 117,16 milliards de francs Cfa en paiement à des échéances de prêts qui dateraient de 2023 et 2024», affirme le journal.
«Cette titrisation de créances, détaille la même source, fait suite à une levée de fonds pour un montant total de 121,2 milliards effectuée par Bdk pour le compte de l'État du Sénégal avec la participation de plusieurs banques. D'un commun accord avec les prêteurs, l'État a décidé de payer une partie de échéances.»
«Cette opération est d'autant plus nébuleuse que, dans l'usage, les Cno sont émis dans le cadre d'une conversion ou reconnaissance de dette au profit de personnes morales. Or, [la dernière opération] actée dans l'illégalité totale, est effectuée en dehors des circuits budgétaires, occasionnant un surcoût important [de 10,04 milliards] supportés par l'État du Sénégal», complète Libération.
De quoi s'agit-il ? «Au motif de financement de dépenses prioritaires, l'État a émis, le 27 mars dernier, six Certificats nominations d'obligations (Cno) au nom de la Bdk pour titriser un montant de 117,16 milliards de francs Cfa en paiement à des échéances de prêts qui dateraient de 2023 et 2024», affirme le journal.
«Cette titrisation de créances, détaille la même source, fait suite à une levée de fonds pour un montant total de 121,2 milliards effectuée par Bdk pour le compte de l'État du Sénégal avec la participation de plusieurs banques. D'un commun accord avec les prêteurs, l'État a décidé de payer une partie de échéances.»
«Cette opération est d'autant plus nébuleuse que, dans l'usage, les Cno sont émis dans le cadre d'une conversion ou reconnaissance de dette au profit de personnes morales. Or, [la dernière opération] actée dans l'illégalité totale, est effectuée en dehors des circuits budgétaires, occasionnant un surcoût important [de 10,04 milliards] supportés par l'État du Sénégal», complète Libération.
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