Dans le cadre des enquêtes menées par le nouveau pouvoir sur l'enrichissement illicite, la brigade de recherche de la gendarmerie nationale a cherché à convoquer cette semaine Karim Wade pour une troisième audition. Ce dernier étant actuellement hors du Sénégal, nos radars nous indiquent que les gendarmes ont finalement pu le joindre pour qu’il se présente à nouveau devant eux dès son retour au Sénégal.
Pour rappel, Karim Wade a déjà été auditionné à deux reprises par les limiers de la gendarmerie. Une première fois le mardi 3 et une seconde fois le jeudi 5 juillet dernier. Une chose est certaine, le fils de notre gorgui national a du souci à se faire. Il n'en a pas terminé avec les convocations car il est définitivement dans le collimateur du nouveau pouvoir. Affaire à suivre.
16 Commentaires
Caporal Diedhiou
En Juillet, 2012 (12:34 PM)Ede
En Juillet, 2012 (12:35 PM)Khaf2
En Juillet, 2012 (12:52 PM)Zembele
En Juillet, 2012 (13:12 PM)La Justice
En Juillet, 2012 (13:14 PM)Poune Bi
En Juillet, 2012 (13:33 PM)Baydem
En Juillet, 2012 (13:39 PM)Benawaay
En Juillet, 2012 (13:42 PM)Firster
En Juillet, 2012 (13:51 PM)Uis
En Juillet, 2012 (15:19 PM)Loukhew
En Juillet, 2012 (15:49 PM)Baye Moussa
En Juillet, 2012 (20:02 PM)Next
En Juillet, 2012 (22:52 PM)Du nouveau dans l’affaire des biens acquis illégalement par des dirigeants africains! Le chef de l’Etat sénégalais, Me Abdoulaye Wae et son fils Karim Wade pourraient être visés. En effet, le président de l'association Sherpa, Me William Bourdon qui est par ailleurs l’avocat de l'ONG Transparency International a indiqué, selon le correspondant de la Rfm à Paris, qu’ils «travaillent sur le patrimoine immobilier d’Abdoulaye Wade, le Président du Sénégal et de son fils, Karim Wade».
Plusieurs éléments liés au climat de corruption du deuxième mandat du Président, dit-il, font l’objet de vérification et devront déboucher sur une procédure judiciaire. L’avocat confie même qu’ils ont «des documents attestant de propriétés appartenant à Abdoulaye Wade et à son fils et ils ont les adresses de ces biens».
Pour le correspondant de la radio privée, l’association a des éléments pertinents pour attaquer le Président Wade et son fils Karim Wade, comme le dit l’avocat, pour des faits de corruption liés au second mandat et pour lesquels ils auraient investi pour des biens immobiliers en France.
L'affaire des biens mal acquis a connu un rebondissement avec la perquisition de l'appartement du fils du président de Guinée équatoriale, Teodoro Obiang Nguema, le mardi 14 février dernier, dans les quartiers chics de Paris (avenue Foch, dans le 16e arrondissement).
De fait, l’affaire a commencé en mars 2007 sur la base d’une plainte déposée par les associations Survie et Sherpa, rejointes ensuite par l’ONG Transparency International France, contre cinq chefs d’Etat africains et leurs familles pour "recel de détournement de biens publics et complicité" auprès du Tribunal de grande instance de Paris (TGI).
Dans le collimateur des plaignants ? Des présidents africains "amis de la France" de longue date dont le Congolais Denis Sassou Nguesso, le Gabonais feu Omar Bongo, l’Équato-Guinéen Teodoro Obiang Nguema, le Burkinabé Blaise Compaoré, l’Angolais José Eduardo Dos Santos, et certains de leurs proches.
Ils se voient reprocher les conditions dans lesquelles ils ont acquis un important patrimoine immobilier et mobilier de luxe en France ainsi que des avoirs bancaires auprès de banques françaises ou étrangères ayant des activités dans l’Hexagone. Autrement dit, d'avoir dépensé des deniers publics à des fins privées.
Clim A Reubeuss
En Juillet, 2012 (23:30 PM)Kiki
En Juillet, 2012 (00:18 AM)Doullll Rekkk
En Juillet, 2012 (02:04 AM)Participer à la Discussion