Maitre Elhadji DIOUF a raison quand tu a un probléme avec la justice tu ne peux pas sortir le territoire demandez aux militaires qui ont des problémes avec la justice lorsqu'on les désignent pour aller en mission ils sont automatiquement radié des liste donc la justice s'applique pour tout le monde. Wassalam
La justice de la CEDEAO s'impose sur la justice des pays membres. Tout bon juriste doit le savoir. Quand on appartient à une organisation internationale et qu'on signe, alors on doit accepter les décisions de cette organisme. Si la cours de justice européenne condamne la France, alors le gouvernement français obéit. C'est comme ça dans les pays civilisés. Mais en Afrique on ne maitrise rien et on a le grande gueule. Ce maître El hadji Diouf est un opportuniste. Aujourd'hui il défend Maky. Mais il y a quelques mois il critiquait le gouvernement. Dès que Maky l'a appelé alors il a changé d'avis. Si demain Karime prend le pouvoir et l'appelle à ses côtés vous verrez qu'il va le suivre.
Cela rappelle fort bien la justice des vainqueurs d'un autre temps!!!
et ne parlons pas du conflit d'intérêt que symbolise l'ex minitre de rétention des cours d'eau de l'ancien régime, mr El hadji Diouf, qui s'évertue ici dans un rôle de censeur de la gestion de ses collègues d'antan, pour le compte du nouveau régime!
Quelle désolation m'inspire cette réprésentation théatrale qui se prête à en rire, si ce n'était des droits fondamentaux de citoyens qui sont piétinés sur l'autel d'un réglement de comptes politiques. Quand El hadli Diouf parle de "voleurs qui crient aux voleurs", il ne mesure même pas la portée de ses propos qui traduisent un certain malaise résultant du fait que Macky Sall, qui est l'instigateur de ces procédures plutôt inquisitoriales, est tout aussi comptable de 8 années de gestion au moins du régime d'Abdoulaye Wade, d'autant plus qu'il était dans les plus hautes stations de l'Etat, comme ministre plusieurs fois, premier ministre ou encore chef de la majorité parlementaire au perchoir de l'assemblée nationale.
LA FIN NE JUSTIFIE PAS TOUS LES MOYENS (la neutralisation d'adversaires politiques ne justifie pas tous les moyens de procédures les plus loufoques qui s'affranchissent de la légalité symptomatique d'un Etat de droit!
CETTE INJONCTION DE LA CEDEAO EST UN FAUT DEBAT EN PLUS ELLE EST DERRIERE NS LE GOUVERNEMENT A DEJA REPONDU A LA CEDEAO DE NE PAS SUIVRE LEUR INJONCTION!WADE LUI MEME MERITE LA PRISON CAR EN 12 DE REGNE IL N A FORME QUE DES CRIMINELS FINANCIERS.SI IL YA INJUSTICE POURQUOI LE PEUPLE SENEGALAIS N APPORTE PAS SON SOUTIEN AUX LIBERAUX MIS EN CAUSE?POUR RIEN AU MONDE ON LAISSERAIT CES CHAROGNARDS VOYAGEAIENT POUR MIEUX CAMOUFLER LEURS BUTIN.EN COMMENCANT PAR SOULEMANE NDENE NDIAYE EN PASSANT PAR OUSMANE NGOM FADA OUMAE SARR AIDA SAMUEL SARR FARBA SENGHOR ETC EUX TOUS DISENT QUE C EST WADE QUI LEURS DONNAIENT DE L ARGENT.WADE LUI MEME DISAIT QU IL AVAIT CREE DES MILLIARDAIRES QUI NE SONT NI AUTRES CES VOLEURS INDIGNES
La décision du Sénégal de fouler au pied l’arrêt de la Cour de justice de la Cedeao rendu dans la cadre de la traque des biens supposés mal acquis, semble globalement mal appréciée par la presse nationale et internationale qui s'est étonnée ce vendredi devant le collectif des avocats de l’Etat, que le gouvernement persiste dans sa volonté de violer la sentence de la justice communautaire. Du jamais vu ! Compte-rendu.
Jamais de mémoire, des initiateurs d’une conférence de presse n’ont été aussi énervés par les questions des journalistes. Le sourire que Mes Moussa Félix Sow et confrères du collectif des avocats de l’Etat ont affiché à l’entame de leur conférence tenue ce vendredi à l’Hôtel Sokhaman, a très vite cédé à l’amertume. En tout cas, ils l’ont mal caché avec le tir groupé de la presse qui ne comprend pas, que l’Etat persiste à fouler au pied, la décision rendue le 22 février par les juges de la Cedeao. Les questions des confrères de la Rfi, de la Rts, de la Rfm, du Quotidien, de Sud et du Pays ont fini par mettre en rogne les avocats-défenseurs de l’Etat organisateur de leur plaidoirie consistant à porter la réplique à ceux des requérants qui ont obtenu gain de cause devant la juridiction africaine. La journaliste de Radio France internationale qui a couvert l’évènement s’est désolée du comportement de l’Etat du Sénégal qui continue de rester sourd à l’invite des organismes de défense des droits de l’Homme comme la Raddho, l’Ondh et Amnesty international. Sa consoeur de la Radio télévision Sénégal ne s’en est pas émue outre mesure en estimant qu’avec le non-respect de cette décision supranationale, le Sénégal opte de vivre en vase clos par rapport aux autres Etats-membres de la Communauté. Pour le représentant du group Sud, qui s’est focalisé sur les révélations de Me Moussa Félix Sow et autres qui ont déclaré que sur les 12 points soulevés devant la Cour de justice, l’Etat a gagné les 10 et en a perdu les 2, ce fait devrait l’amener à respecter la décision en question. Pour l’économie de cette conférence de presse, on ne reviendra pas sur les questions de journalistes relatives à la violation par le Sénégal des accords internationaux qu’il a signés devant ses pairs africains encore moins sur la non applicabilité en l’espèce, des articles du code de procédure pénale qui ont été invoqués pour servir de base à la prise de nouvelles mesures d’interdiction de voyage des dignitaires de l’ancien régime. La presse qui a fait face ce vendredi à l’ancien bâtonnier, Me Sow, ses confrères, Me Abdou Kane, Me Aly Fall et Me Bitèye est restée sur sa faim. A la place de réponses pertinentes aux questions qui ont été soulevées, le collectif des avocats de l’Etat s’est penché tout le long de sa conférence de presse, à faire le procès du régime de Me Abdoulaye Wade et à justifier la nécessité pour le Sénégal de poursuivre la traque des biens mal acquis en persistant dans la violation du verdict de la Cour de justice. Lire les minutes de cette conférence de presse houleuse dans l’édition du Pays Week-end.
Que dieu nous en garde, mais, l'opinion doit est témoins que tous les ingrédiens sont réunis par le nouveau gouvernement du sénégal pour faire éclater une révolte par les arme. Quand l'Etat ment et veut imposé ses mensonges par la force; il pousse les opprimer à la seule alternative qui s'offre aux opprimés. Que Dieu nous en garde,mais j'ai peur pour mon pays.
EN TOUT CAS, L'ETAT A BIEN FAIT D'AVOIR Me EL HADJI DIOUF COMME UN DE SES AVOCATS. POUR GAGNER LE PEUPLE, IL FAUT AVOIR A SES COTES UN AVOCAT DU PEUPLE.
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13 Commentaires
Bnnn
En Avril, 2013 (20:55 PM)Senv
En Avril, 2013 (21:05 PM)sathi bakholl dafa haramm
Diak
En Avril, 2013 (21:08 PM)Lanterne
En Avril, 2013 (21:20 PM)et ne parlons pas du conflit d'intérêt que symbolise l'ex minitre de rétention des cours d'eau de l'ancien régime, mr El hadji Diouf, qui s'évertue ici dans un rôle de censeur de la gestion de ses collègues d'antan, pour le compte du nouveau régime!
Quelle désolation m'inspire cette réprésentation théatrale qui se prête à en rire, si ce n'était des droits fondamentaux de citoyens qui sont piétinés sur l'autel d'un réglement de comptes politiques. Quand El hadli Diouf parle de "voleurs qui crient aux voleurs", il ne mesure même pas la portée de ses propos qui traduisent un certain malaise résultant du fait que Macky Sall, qui est l'instigateur de ces procédures plutôt inquisitoriales, est tout aussi comptable de 8 années de gestion au moins du régime d'Abdoulaye Wade, d'autant plus qu'il était dans les plus hautes stations de l'Etat, comme ministre plusieurs fois, premier ministre ou encore chef de la majorité parlementaire au perchoir de l'assemblée nationale.
LA FIN NE JUSTIFIE PAS TOUS LES MOYENS (la neutralisation d'adversaires politiques ne justifie pas tous les moyens de procédures les plus loufoques qui s'affranchissent de la légalité symptomatique d'un Etat de droit!
Saf
En Avril, 2013 (21:25 PM)Putinnnnnnnnnnnn
En Avril, 2013 (21:26 PM)Nts
En Avril, 2013 (22:05 PM)Vvvvvvvvvvvvvvvvv
En Avril, 2013 (22:22 PM)Jamais de mémoire, des initiateurs d’une conférence de presse n’ont été aussi énervés par les questions des journalistes. Le sourire que Mes Moussa Félix Sow et confrères du collectif des avocats de l’Etat ont affiché à l’entame de leur conférence tenue ce vendredi à l’Hôtel Sokhaman, a très vite cédé à l’amertume. En tout cas, ils l’ont mal caché avec le tir groupé de la presse qui ne comprend pas, que l’Etat persiste à fouler au pied, la décision rendue le 22 février par les juges de la Cedeao. Les questions des confrères de la Rfi, de la Rts, de la Rfm, du Quotidien, de Sud et du Pays ont fini par mettre en rogne les avocats-défenseurs de l’Etat organisateur de leur plaidoirie consistant à porter la réplique à ceux des requérants qui ont obtenu gain de cause devant la juridiction africaine. La journaliste de Radio France internationale qui a couvert l’évènement s’est désolée du comportement de l’Etat du Sénégal qui continue de rester sourd à l’invite des organismes de défense des droits de l’Homme comme la Raddho, l’Ondh et Amnesty international. Sa consoeur de la Radio télévision Sénégal ne s’en est pas émue outre mesure en estimant qu’avec le non-respect de cette décision supranationale, le Sénégal opte de vivre en vase clos par rapport aux autres Etats-membres de la Communauté. Pour le représentant du group Sud, qui s’est focalisé sur les révélations de Me Moussa Félix Sow et autres qui ont déclaré que sur les 12 points soulevés devant la Cour de justice, l’Etat a gagné les 10 et en a perdu les 2, ce fait devrait l’amener à respecter la décision en question. Pour l’économie de cette conférence de presse, on ne reviendra pas sur les questions de journalistes relatives à la violation par le Sénégal des accords internationaux qu’il a signés devant ses pairs africains encore moins sur la non applicabilité en l’espèce, des articles du code de procédure pénale qui ont été invoqués pour servir de base à la prise de nouvelles mesures d’interdiction de voyage des dignitaires de l’ancien régime. La presse qui a fait face ce vendredi à l’ancien bâtonnier, Me Sow, ses confrères, Me Abdou Kane, Me Aly Fall et Me Bitèye est restée sur sa faim. A la place de réponses pertinentes aux questions qui ont été soulevées, le collectif des avocats de l’Etat s’est penché tout le long de sa conférence de presse, à faire le procès du régime de Me Abdoulaye Wade et à justifier la nécessité pour le Sénégal de poursuivre la traque des biens mal acquis en persistant dans la violation du verdict de la Cour de justice. Lire les minutes de cette conférence de presse houleuse dans l’édition du Pays Week-end.
Delosilenko
En Avril, 2013 (23:11 PM)Lune
En Avril, 2013 (23:19 PM)La Guerre Est La
En Avril, 2013 (01:05 AM)Jean
En Avril, 2013 (03:58 AM)In
En Avril, 2013 (15:30 PM)Participer à la Discussion