Une journée sans presse est décrétée demain mardi, ceci pour dire non au le blocage des comptes bancaires des groupes de presse, la rupture illégale des contrats publicitaires, entre autres complaintes...
AFRICOM, l'entreprise qui imprime les journaux, informe qu'il n'y aura pas d'impression dans la nuit du lundi au mardi matin, car l'organisation patronale de la presse a décrété une journée sans presse le mardi 13 août 2024.
L'administrateur d'AFRICOM, Mamadou Ibra Kane, avait annoncé que depuis deux ans, son entreprise vit dans des difficultés dues à des exercices déficitaires, des dettes colossales vis-à-vis de ses fournisseurs, des retards de paiement de salaires, l'arrêt du paiement des cotisations sociales et des frais pour la couverture maladie.
43 Commentaires
Patriote
En Août, 2024 (14:39 PM)Il faut une probité morale et une idonéité pour mener les combats religieux et moraux. Certaines langues, certaines mains et certains pantalons sont disqualifiés pour mener les combats de Dieu, les combats pour les symboles religieux. Que d’autres mènent ce combat du voile et Dieu qui voit tout saura reconnaître les siens
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Pourquoi pas 1 mois de journée sans presse, Les revues de presse orientées, vont moins polluer nos oreilles
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En Août, 2024 (14:43 PM)-
Pourquoi pas 1 mois de journée sans presse, Les revues de presse orientées, vont moins polluer nos oreilles
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En Août, 2024 (14:43 PM)Poseidon Badji
En Août, 2024 (14:54 PM)-
Ça nous change énormément de vos titres insipides unanimement anti duo Diomaye et Sonko. On respire ailleurs en lecture plus JO hélas terminés.
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En Août, 2024 (15:10 PM)-
La presse a perdu son pouvoir d'influence depuis l'avènement des réseaux sociaux. Elle surestime son pouvoir d'influence et sa capacité de nuisance. Elle ne peut plus faire de chantage au pouvoir en place. Or, elle avait l’habitude de faire du chantage aux régimes qui se sont succédé au pouvoir. C'est le PREMIER PROBLÈME de la presse.
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En Août, 2024 (15:24 PM)Le SECOND PROBLÈME porte sur le fait que la presse ne se modernise pas assez pour tirer pleinement profit des nouvelles technologies. Exemple : imaginez un sénégalais qui vit en dehors du Sénégal et qui voudrait lire certains journaux (Walf Qutidien, Yoor Yoor etc). Il n'a aucun moyen de les lire.
Un citoyen français qui se trouve à l'étranger peut s'abonner à des journaux français (Libération, Mediapart etc.). Il a un identifiant et un code qui lui permet d'accèder au contenu en ligne de ces journaux et il paye un abonnement mensuel ou annuel pour cela. Si la même pratique existe sur les sites en ligne des journaux au Sénégal, je n'en ai pas connaissance. Un système d'abonnement en ligne pourrait permettre aux journaux sénégalais de viser une nouvelle clientèle de sénégalais de la dispora avec un pouvoir d’achat non négligeable.
TROISIÈME PROBLÈME, c'est la qualité des contenus. Certains contenus sont vraiment de très mauvaise qualité et personne n’acceptera de payer pour cela. La presse doit avoir une valeur ajoutée par rapport aux informations qui paraissent dans les réseaux sociaux. Cette valeur ajoutée se trouvera dans la pertinence de l’analyse, le degré d’investigation, la qualité rédactionnelle etc.
QUATRIÈME PROBLÈME, une partie de la presse sénégalaise (pas toute la presse) a toujours compter sur des passe-droits pour sa survie (non-paiement d'impôts, amnisties fiscales, conventions de complaisance etc.). Il ne faut pas compter sur les nouvelles autorités pour perpétuer ces pratiques étant précisé que les nouvelles autorités avaient prévenu avant leur arrivée au pouvoir qu’elles mettraient fin à ces pratiques.
CINQUIÈME PROBLÈME, il y a beaucoup politiciens qui se cachent derrière des organes de presse. Ca ne peut qu'affaiblir la presse car en politique on se donne coup pour coup. Si des politiciens se cachent derrière des arbres pour jeter des cailloux sur leurs adverses politiques, il ne faut pas s'étonner de la destruction totale des arbres du Sénégal au bout de quelques temps.
Bref la presse est essentielle dans une démocratie. Pour autant, la presse sénégalaise doit se poser beaucoup de questions et tendre vers un nouveau modèle plutôt que de tenter d’imputer ses difficultés aux nouvelles autorités. Il faudra sans doute des Assises voir un Ndeup général de la presse.
Un citoyen apolitique établi très loin du Sénégal.
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Ndok
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En Août, 2024 (18:27 PM)-
Alhamdoulila
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En Août, 2024 (20:52 PM)-
Les patrons de presse ont tous vécu tels des rois, ils n'ont pas su investir pour préserver leurs médias.
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En Août, 2024 (20:52 PM)Ils n'ont maintenant qu'à assumer
Patriote
En Août, 2024 (14:43 PM)Nabil
En Août, 2024 (14:44 PM)-
En dehors des difficultés soulevées dans cet article...
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{comment_ads}Hé!
En Août, 2024 (16:17 PM)D'accord, les entreprises DOIVENT PAYER LEURS IMPÔTS. Sauf que là, PASTEF a une haine contre certains organes de presse.
Souvenez vous en 2019, lorsqu'Ousmane Sonko dénonçait les tendances des élections présidentielles qu'annonçait RFM en direct, il disait que c'était une façon de "préparer l'opinion à une victoire d'un des candidats". Finalement, il avait incité ses partisans à aller saccager les locaux d'IGFM. Quelques jours plus tard, il y faisait une "visite de courtoisie" pour voir l'état des dégâts causés. Lors de plusieurs de ses meetings, il s'en est pris à Youssou Ndour, le propriétaire d'IGFM qu'il décriait comme un soutien du Président Sall.
En 2024 pour d'autres présidentielles, quand son / le candidat BD Faye prenait la tête au fur et à mesure de la publication des résultats, pas une seule fois Ousmane Sonko a protesté. Parce que son candidat creusait l'écart de manière assez nette lorsque les résultats tombaient en direct à travers les médias dont ceux d'IGFM.
Maintenant qu'eux sont au pouvoir, ils utilisent cette fiscalité pour exercer une vengeance à l'égard de cette même presse qu'ils jugeaient partisane. Pour Walf, ne tombons pas dans la naïveté: ils vont le présenter comme subissant la même fiscalité que les autres organes de presse, mais c'est un leurre. Puisqu'opposants, Wafl a été leur plus grand partisan.
"Les dernières statistiques disent que nous avons à peu près 500 000 entreprises et il n’y en a que 25 000 qui sont formelles. Donc cela veut dire que nous (les entreprises formelles) ne sommes que 10%. Les 90% évoluent dans l’informel" M. Adama Lam président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) invité de l’émission Objection le dimanche 03 avril 2022 sur la radio Sud Fm.
Que faisait la DGID pour qu'il y ait autant d'entreprises inconnues des services de l'Etat depuis tout ce temps ? Pourquoi l'une des toutes premières cibles de la fiscalité du nouveau régime c'est la presse, alors qu'elle ne produit produit pas tant d'argent que ça, voire elle est déficitaire ?
Attention attention
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L'etat n'a rien a voir avec les difficultes de cette presse. Il faut payer les impots comme tout le monde... Retenir le TVA sur des salaires et ne pas payer l'etat est du VOL... Il y a eu trop de laissez aller au fils des annees qui a amener un multiplications des presses sans source de financement ou business model...
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En Août, 2024 (15:09 PM)Ndandane
En Août, 2024 (14:51 PM)Une entreprise qui ne paie pas de:
Taxes et impôts.
Cotisations salariales
Qui fait des pertes
Qui publie des torchons
Cette entreprise là doit fermer ses portes.
Les gens s informent autrement.
Si patron de presse n arrive pas à s acquitter de ses prérogatives et se permet d avoir des comptes bancaires fournis là y a problème ???
Vous êtes toxiques
Fermez pour toujours
Saer
En Août, 2024 (14:51 PM)L'extrémiste
En Août, 2024 (14:55 PM)Soutenons le vol détournement des derniers publics par les patrons de presse. Soutenons les
portes.Les sociétés de presse vivent au dessus de leur moyen.Aucune société ne peut faire des bénéfices qui permettent de payer des salaires astronomiques à certains journalistes. Pourquoi l état doit accorder des privilèges fiscales à la presse,et pas aux autres sociétés ?quant on ne peut plus on s arrête point barre.
Ce regime ne va pas plier donc il faut reconsiderer votre combat. Vous esperez que les instutions internatinales vont intervenir mais aucune pression ne forcera ce regime de vous entretenir. Les presses PRIVE doivent avoir un business model pour survivre... C'est comme ca dans tous les pays du monde.
Je pense que ce regime sera indefferent s'il n'y a plus de presse ecrite pour un temps. Ca sera un environment tres saint sans La Trbune ou le Quotidien qui ne publient que de la desinformations... Les revue de presse sont mauvais pour le pays en ce moment. Il faut tout NETTOYER...
Éthique zéro
Viabilité économique zéro
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Yén Presse Sénégalaise bi mo bi mo lén défar
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En Août, 2024 (14:53 PM)Bandes d'ingrats..
Athia rék...LÉGISLATIVES SORÉTOUL!!!
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Yén Presse Sénégalaise bi mo bi mo lén défar
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En Août, 2024 (14:53 PM)Bandes d'ingrats..
Athia rék...LÉGISLATIVES SORÉTOUL!!!
Ismaila Madior Fall
En Août, 2024 (15:08 PM)Il.faut aller payer vos impôts..
Bass-less
En Août, 2024 (15:24 PM)Le Sénégalais ne subirait aucun dommage s'il venait subitement de perdre toute sa presse alimentaire . Au contraire la démocratie s'en porterait mieux
Makadaam
En Août, 2024 (15:25 PM)Dial
En Août, 2024 (15:29 PM)Le Témoin
En Août, 2024 (15:35 PM)Est ce que c'est possible d'augmenter encore quelques jours svp? Merci aux patrons de presse
Kéba
En Août, 2024 (15:36 PM)Mb
En Août, 2024 (15:45 PM)Un moi san presse serai mieux jespere la tele aussi
Comme ca nityii prendre vacance si wax jou beuri bou amoul benne ndiarigne. Ca vas promouvoir Jamme la paix
Abdou Salam
En Août, 2024 (16:01 PM)Une semaine sans mensonge, une semaine sans conjecture , une semaine sans insulte, une semaine sans ponce-pilatisme.
j'espère que l'armée des insulteurs de Keur Dof , plus (Babacar et Ibou )FALL marqueront une pause demain histoire de nettoyer leur gueule puante
Patron De Presse
En Août, 2024 (16:08 PM)Pendant ce temps avec leur convention de reporter on leur paye des miettes alors qu'ils sont toujours sur le terrain qu'il vente qu'il pleuve, ils bravent les eaux inondations ,les lacrymogènes a la recherche d'infos pendant ce temps les patrons de presse sont pépères dans leur bureau XXL climatisé, aide a la presse sou gneuwé vous ne voyez rien évoluer dans vos conditions de travail parce que l'argent est détourné
Amo len keur, si vous êtes malades avec vos familles vous avez des imp de m..rde même les animateurs gno len eup demine malheureusement pour un métier aussi noble que le journaliste.Et le constat est là trop amer su et vu par tous, on a des journalistes corrompus jusqu'à la moelle des mercenaires de la plume et des patrons de presse affairistes qui envahissent votre
corporation . S'il ya un combat a mener le VRAI combat est là
Deug
En Août, 2024 (16:09 PM)Les comptes d'exploitation montrent clairement que la valeur ajoutée générée par ce secteur est faible, voire déficitaire. Face à cette réalité, l'État a le devoir d'élaborer un projet d'appui à la presse d'environ 5 milliards de FCFA. Un tel projet, qui devrait être partiellement soutenu par les acteurs du secteur, doit réfléchir à une fiscalité adaptée et à la reconfiguration des modèles économiques des entreprises de presse. La réforme et le développement de la presse doivent figurer parmi les réformes prioritaires de ce nouveau gouvernement.
L'alternance politique dans un pays doit apporter des réformes positives dans les secteurs économiques et sociaux qui rencontrent des problèmes. Actuellement, le gouvernement se contente de dérouler les activités planifiées par les ministères, comme l'inauguration des BRT (Bus Rapid Transit), etc. Il y a beaucoup de réformes que Macky Sall n'a pas pu réaliser, mais qui devraient être mises en œuvre par l'actuel gouvernement.
Par exemple, il est impératif de régler le problème des écoles à Touba et de moderniser l'enseignement et l'éducation nationale pour atteindre des standards modernes. Le renforcement de l'école est un défi énorme pour un pays comme le Sénégal. Il serait plus judicieux de réfléchir à encourager une privatisation poussée et "sociale" de l'école dans les grands centres urbains. Dans les années à venir, il est impératif que tous les enfants nés au Sénégal aillent à l'école et reçoivent une bonne éducation, ce qui aura un coût élevé.
Pour financer ces réformes, nous devons monétiser rapidement les questions d'éducation en créant des banques scolaires, des assurances scolaires, et d'autres mécanismes financiers. Il s'agit là de pistes de réflexion essentielles pour le développement durable de notre système éducatif et de notre presse.
L'heure est venue pour le gouvernement de prendre des mesures audacieuses et de réformer ces secteurs critiques pour assurer un avenir meilleur à notre pays.
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Pourquoi donc cette presse avait decide de combattre ce regime? Des attaques contre ce regime chaque jour abec des mensonges, desinformations pour essayer de tourner les populations contre eux... Tout ce qu'on leur demande est de donner des nouvelles, pas fabriquer des nouvelles. L'informaton doit etre bien sourcee et vraie avat d'apparaitre. Cette presse a decide de combattre ce regime avec du chantage et va payer les pots casses...
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En Août, 2024 (16:25 PM)Que cette partisane et faisait chanter les régimes ferment pour toujours.
Fall
En Août, 2024 (16:24 PM)Ngor Jegaan
En Août, 2024 (16:29 PM)1) D'abord quand on parle du pouvoir de la presse c'est l'ensemble des sources d'informations, pas seulement les journaux imprimés. Pendant longtemps et avant l'avènement d'internet, la presse imprimée était la principale source d'informations des lettrés francophones. Aujourd'hui ce n'est plus le cas avec les différents sites en ligne et les terminaux que sont les smartphones.
2) Le débat public s'est largement "wolofisé"; le résultat est que l'écrasante majorité de l'audience va chercher son information non pas auprès de la presse écrite mais des sites d'informations en wolof. Par exemple au marché Occas à Touba personne ne lit Walf Quotidien mais presque toute le monde guette l'émission Keppar Gui.
3) Compte tenu de tout ce qui précède, l'absence de journaux écrits dans les kiosques n'est certes pas beau pour le décor médiatique mais n'aura pas un gros impact sur les habitudes d'information de la majorité des sénégalais. Un boycott ne peut que renforcer les autres sources d'informations, encore que le Soleil ne prendra certainement pas part au boycott. Il est vrai que la situation dans laquelle se trouvent bcp de "patrons" de presse était inimaginable pour eux au début du mois de février ou eux tous pensaient que Macky aller imposer qui il veut sauf le Pastef. Dans ces conditions, en termes de lucidité on ne se relève facilement d'un coup KO comme celui du 24 mars 2024.
Certaines presses...
Définitivement vous n'êtes mêle pas dans le corridor de l'entrée dans l'Histoire..
Zéro sportifs, zéro intelligence, 2 iou 3 artistes....vous ne valez pas grand chose...
Pas de voiture faute :
une masseuse est kinésithérapeute.
.A ce stade les moutons bouffent du carton car iks ne savent pas ce qu'est l'herbe
Keur Madiop
En Août, 2024 (18:10 PM)Xeme
En Août, 2024 (19:51 PM)Un mois sans presse, ce serait encore mieux. Ce serait un mois sans mensonges que les patrons de presse obligent leurs employés à faire.
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