Le président de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (Cjrs) a réagi au saccage du journal ‘’Les Echos’’. Ibrahima Baldé parle d’acte odieux.
«La liberté de la presse est un pilier fondamental de la vitalité de la démocratie. Et si elle est agressée, c'est un pan qui s'affaisse, dans la mesure où nous avons une mission d’éducation, d'harmonisation et de promotion du vivre ensemble. Et aujourd'hui, dans le contexte actuel, il est important de rappeler que ce qui s'est passé au journal ‘’Les Echos’’ est un acte odieux, où il est quand même important de rappeler la nécessité de la sécurité des journalistes et des professionnels de la formation», soutient-il sur iRadio.
Le président de la Convention des jeunes reporters du Sénégal demande à l'Etat de renforcer la sécurité des journalistes. «Nous déplorons ce qui s'est passé et demandons à ce que l'Etat prenne ses responsabilités et encourageons les forces de l'ordre à poursuivre leurs enquêtes. Nous sommes très déterminés à exercer notre métier qui n’est pas un privilège pour les journalistes, mais un droit à tout citoyen d'avoir des informations fiables pouvant prendre un certain nombre de décisions».
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