Le candidat du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) Karim Wade est revenu à la charge pour apporter des précisions sur le décret rendu public, ce mercredi, actant la déchéance de sa nationalité française.
"Le décret du Ministre de l'Intérieur français actant ma renonciation à la nationalité française est une preuve supplémentaire de ma constance", a-t-il indiqué sur X.
Le fils de l'ancien chef d'Etat en a profité pour tirer sur le leader de la République des Valeurs.
"Cette polémique stérile et dangereuse alimentée par Thierno Alassane Sall pour gagner en visibilité et agissant pour le compte du très peu courageux Premier ministre Amadou Ba, spécialiste des coups bas, se termine enfin", a-t-il ajouté.
"Malgré les informations que j'ai reçues sur l'acquisition d'autres nationalités par certains candidats, j'ai décidé de ne déposer aucun recours devant le Conseil Constitutionnel. Ma conviction est claire: seul le peuple sénégalais doit décider dans une élection présidentielle ouverte et inclusive", a conclu Karim Wade.
11 Commentaires
Deug Rek
En Janvier, 2024 (16:21 PM)Reply_author
En Janvier, 2024 (16:25 PM)Reply_author
En Janvier, 2024 (19:26 PM)Dkr
En Janvier, 2024 (16:37 PM)Prouve que tu n as pas la nationalité francaise et on avance..putain
1 Indigné
En Janvier, 2024 (17:05 PM)En Tout Cas
En Janvier, 2024 (21:02 PM)Gambino
En Janvier, 2024 (17:13 PM)Samba Gabou
En Janvier, 2024 (18:57 PM)Il a usé de son droit de recours comme le lui permet la loi. Il est donc totalement absurde de penser qu'il agit, en l'espèce, pour le compte d'autrui, un concurrent de surcroît.
Celui (ou celle) qui est appelé (e) à nous diriger devra impérativement se départir de toute forme d'allégeance à une puissance étrangère pour éviter les risques de conflits d'intérêts. Il ou elle devra jurer fidélité et loyauté à la République du Sénégal.
Cela étant dit, l'acte de Thierno Alassane Sall a pu être motivé par les informations parues dans la presse au sujet de la double nationalité de Karim Wade ; lesquelles informations ont pu être erronées voire malveillantes.
En tout état de cause, le Conseil Constitutionnel, appelé à statuer, nous édifiera une bonne foi pour toutes.
Maintenant, il est clair que Karim Wade -sûr de son fait ?- et ses partisans, en hommes politiques avisés, voudront bien prendre la balle au rebond et transformer l'essai. Quoi de plus naturel !
En politique, tout faux pas supposé ou réel de l'adversaire est exploité à fond et sans ménagement ...
Douma
En Janvier, 2024 (19:24 PM)Participer à la Discussion