N’eut été la vigilance du délégué de quartier de Pikine Touba Diaksao, l’affaire serait peut-être étouffée. Vendredi dernier, M. Gaye, habitant Rufisque, s’est présenté à ce dernier pour solliciter le lavage mortuaire pour son fils de 14 ans dont la dépouille a été déposée à la morgue de la mosquée de la localité.
D’après Libération, qui donne l’information dans son édition de ce lundi, c’est au moment du lavage mortuaire que l’attention du délégué de quartier est attirée par des marques de violence et des caillots de sang sur le corps du défunt. Il interpelle M. Gaye, qui panique.
Le délégué de quartier alerte la police. Le père de l’enfant décédé est arrêté le même jour. Il passe aux aveux. Libération rapporte qu’il a déclaré que c’est en corrigeant son fils avec un bâton, pour une «bêtise», que l’irréparable s’est produit. Il jure que son intention n’était pas de tuer son enfant.
Le journal informe que M. Gaye est depuis samedi en garde à vue au commissariat de Rufisque. Il est accusé de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort.
D’après Libération, qui donne l’information dans son édition de ce lundi, c’est au moment du lavage mortuaire que l’attention du délégué de quartier est attirée par des marques de violence et des caillots de sang sur le corps du défunt. Il interpelle M. Gaye, qui panique.
Le délégué de quartier alerte la police. Le père de l’enfant décédé est arrêté le même jour. Il passe aux aveux. Libération rapporte qu’il a déclaré que c’est en corrigeant son fils avec un bâton, pour une «bêtise», que l’irréparable s’est produit. Il jure que son intention n’était pas de tuer son enfant.
Le journal informe que M. Gaye est depuis samedi en garde à vue au commissariat de Rufisque. Il est accusé de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort.
5 Commentaires
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Tout à fait, je pense que les autorités doivent s'habituer à cette procdure, même au village le reculé. Il suffit juste d'informer, de verifier et de rester exigent. Malheusement quelqu'un fait pas toujours son travail correctement.
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Signalier
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En Juillet, 2022 (14:16 PM)Ici, si on l'en croit à l'article, on n'avait même pas besoin de voir les traces de violence. Le certificat de décès devrait être exigé et CERTIFIÉ, oui certifié pour éviter les faux documents; une ligne verte peut assurer cela. Bravo cas même délégué.
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En plus du certificat de genre de mort, il faut un permis d'inhumer délivré par le préfet.
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Signalier
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En Juillet, 2022 (16:51 PM)