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À Touba Toul, l'affaire avait fait beaucoup de bruit en 2021. Il s'agissait, rembobine L'Observateur, d'une affaire de viols impliquant deux maîtres coraniques, M. Diouf et M. T. Amar.
Les victimes, au nombre de quatre, sont toutes élèves dans un «daara» de la localité. Âgées de moins de 16 ans, N. F. Faye, F. Tine, M. Faye et A. Badiane pointent du doigt leurs enseignants.
«C'est après les cours que [M. Diouf] les invitait, une à une, dans sa chambre, pour leur faire réciter leurs leçons. Et une fois sur place, [le maître coranique] fermait la porte à clé pour leur demander des faveurs sexuelles», accusent les trois premières, reprises par le journal.
La quatrième désigne Amar comme «son unique violeur». «Le jours des faits, explique A. Badiane, l'accusé lui avait demandé d'aller lui nettoyer sa chambre. [Mais] au moment de faire cette tâche, [son bourreau présumé] est venu la rejoindre pour entretenir des rapports sexuels avec elle.»
La source croit savoir que le pot aux roses a été découvert après qu'«une des victimes [présumées], N. F. Faye a commencé à [sécher] les cours» : «Interrogée sur son attitude étrange, elle a révélé que son maître coranique abusait sexuellement d'elle.» Sa dénonciation pousse les autres à briser le silence suivie «de plaintes» contre les mis en cause.
Dans sa livraison de ce mercredi 26 février, le quotidien du Groupe futurs médias rapporte que les deux maîtres coraniques, «inculpés pour viols, pédophilie et détournement de mineures», seront jugés le 15 avril prochain.
«Leur procès a été programmé pour [ce] lundi par la Chambre criminelle du tribunal de Thiès. Mais à cause de l'absence de leur avocate, les parties civiles ont [demandé et obtenu] le renvoi», complète L'Observateur.
Les victimes, au nombre de quatre, sont toutes élèves dans un «daara» de la localité. Âgées de moins de 16 ans, N. F. Faye, F. Tine, M. Faye et A. Badiane pointent du doigt leurs enseignants.
«C'est après les cours que [M. Diouf] les invitait, une à une, dans sa chambre, pour leur faire réciter leurs leçons. Et une fois sur place, [le maître coranique] fermait la porte à clé pour leur demander des faveurs sexuelles», accusent les trois premières, reprises par le journal.
La quatrième désigne Amar comme «son unique violeur». «Le jours des faits, explique A. Badiane, l'accusé lui avait demandé d'aller lui nettoyer sa chambre. [Mais] au moment de faire cette tâche, [son bourreau présumé] est venu la rejoindre pour entretenir des rapports sexuels avec elle.»
La source croit savoir que le pot aux roses a été découvert après qu'«une des victimes [présumées], N. F. Faye a commencé à [sécher] les cours» : «Interrogée sur son attitude étrange, elle a révélé que son maître coranique abusait sexuellement d'elle.» Sa dénonciation pousse les autres à briser le silence suivie «de plaintes» contre les mis en cause.
Dans sa livraison de ce mercredi 26 février, le quotidien du Groupe futurs médias rapporte que les deux maîtres coraniques, «inculpés pour viols, pédophilie et détournement de mineures», seront jugés le 15 avril prochain.
«Leur procès a été programmé pour [ce] lundi par la Chambre criminelle du tribunal de Thiès. Mais à cause de l'absence de leur avocate, les parties civiles ont [demandé et obtenu] le renvoi», complète L'Observateur.
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