Le problème sur la troisième candidature de Macky Sall est loin de son épilogue. En effet, si certains soutiennent que c’est fini pour le président Sall, d’autres, comme Mame Mbaye Niang, lui donnent le droit de se présenter pour la troisième fois à la présidentielle.
Selon ‘’SourceA’’, l’ancien ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction a remis le sujet sur le tapis. Ainsi, le chef de cabinet du président de la République a laissé entendre que Macky Sall pourrait se présenter en 2024. Car, pour le citer, ce problème de mandat a été déjà réglé par le référendum de 2016.
«La Constitution s’est déjà prononcée depuis. Je pense qu’après le référendum, quand le président a voulu diminuer son mandat, il fallait voir l’arrêt du Conseil constitutionnel».
A en croire l’apériste, ce n’est pas un problème de légalité, ce sujet ne devrait pas faire l’objet de débat. Tout a été clairement édifié par un arrêté.
«Ceux qui veulent en débattre ne sont pas motivés par une sincérité. Parce que c’est un problème qui est déjà réglé constitutionnellement et juridiquement. Il y a déjà l’arrêt qui règle ce problème. Le reste c’est un problème politique, il faut des réponses politiques et une organisation politique. C’est comme ça que je le perçois», a expliqué l’ex-ministre de la Jeunesse dans les colonnes du journal.
Selon ‘’SourceA’’, l’ancien ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction a remis le sujet sur le tapis. Ainsi, le chef de cabinet du président de la République a laissé entendre que Macky Sall pourrait se présenter en 2024. Car, pour le citer, ce problème de mandat a été déjà réglé par le référendum de 2016.
«La Constitution s’est déjà prononcée depuis. Je pense qu’après le référendum, quand le président a voulu diminuer son mandat, il fallait voir l’arrêt du Conseil constitutionnel».
A en croire l’apériste, ce n’est pas un problème de légalité, ce sujet ne devrait pas faire l’objet de débat. Tout a été clairement édifié par un arrêté.
«Ceux qui veulent en débattre ne sont pas motivés par une sincérité. Parce que c’est un problème qui est déjà réglé constitutionnellement et juridiquement. Il y a déjà l’arrêt qui règle ce problème. Le reste c’est un problème politique, il faut des réponses politiques et une organisation politique. C’est comme ça que je le perçois», a expliqué l’ex-ministre de la Jeunesse dans les colonnes du journal.
16 Commentaires
Benewaye5
En Août, 2022 (12:43 PM)Vous pensez que detenir le pouvoir vous permet de manipuler les populations a votre guise.....Quelle arrogance, Qui vivera verra!
Reply_author
En Août, 2022 (13:13 PM)Reply_author
En Août, 2022 (13:17 PM)on va reprendre nos biens
Abraham
En Août, 2022 (13:03 PM)Takou
En Août, 2022 (13:18 PM)Tilman
En Août, 2022 (13:43 PM)Lebaolbaol Tigui
En Août, 2022 (14:17 PM)Elle pensait sans doute, cette opposition, récolter un tsunami de votes en sa faveur lors des dernières legislatives, mais elle oublie que 54 % des électeurs n'ont pas confiance dans les politiciens.
Cissé A
En Août, 2022 (14:48 PM)Diop Diop
En Août, 2022 (14:53 PM)Naso
En Août, 2022 (17:30 PM)Magnum
En Août, 2022 (22:34 PM)Participer à la Discussion