faut interdire au ouvrier de travailler aussi vous aviez fuit le débat lors de l'incendie en mettant tout sur le dos de la mendicité mais la le destin nous rappelle à l'ordre. ya de l'anarchie de la façon de construire des sénégalais et l'Etat est leur complice y a telma d'immeuble qui ne respecte aucune normes et en voila les conséquences des gens travaillant pour leur dignité on perdu la vie
ALELOU MAKAKAAR! makaassara rekkk... quand on mange l'argent et le sang des autres... LI MOYY AMM... teh kepeu kou sathieu khaliss pour takeu diabar, sey bobou dou amm moutj, domm boufeu dioudou dou barkel, auto bo dieudeun accident, keur bo tabakh... MOUDJ BOU NIAW... BAYIIL LENNE SATHIEU KHALISS BOULEN LEWOUL...
Dieu devrait dire que celui qui revient a LUI avec un cerveau non-utilise serait amene a l'enfer. Ainsi les senegalais qui sont tres "religieux' commenceront a faire travailler leur matiere grise. On serait epargne de ttes ces betises.
Je suis un beau garcon vivant en Suede je cherche une jeune belle senegalaise pour passre du temps ensemble.J'en ai vraiment envit je crois que vs me comprenez.Ecrivez moi a [email protected]
Discretion est demandee parceque je suis deja marie!
la construction était mauvaise!!!cela se voyait à l oeil nu!!!en tant que voisin on est pas surpris!!!!Un mort,un blessé avec les jambes broyés,l autre escanté,un qui parlait à son père au tel depuis les decombres qui ne répondait plus à la fin et qui n a toujours pas été retrouvé!!!!!!!
Faut respecter les normes de constructions c est tout!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je vis juste en face de l'immeuble, je n'ai QUE 15 ans et ces derniers jours je ne cessai de regarder l'immeuble parce qu'il n'était pas assez.. stable on va dire.. et puis de près après l'effondrement, rien que de voir les plaques de ciment qui se casse à la main, ça se voit que c vraiment pourri quoi ! :/ Foutage de gueule moi je dis .. et dire que ce matin je me tenais juste EN DESSOUS :'( Dieu m'a sauvé ! Al hamdoulilahi !
li yeup aférou parakh parakh leu . yakameti séne adouneu di ték brique bamou né radiakh. koussi ganiou yalla naleu yala may tané. koussi niak sa bakéne yalla naleu yalla yeureume amine.
Pauvre Senegal, qu est ce qui t ´arrive ? Chaque jour un catastrophe , et on compte nos morts, dans ce petit pays ... Senegalais aime takhallé, la facilité, meme nos dirigeants kiff kif, ils sont pire meme. Y a pas de regle depuis le jour que le fameux colon a parait il plié bagage... Le minimum d ordre , que le colon avait meme essayé d intauré , tout a disparu... Y a trop de masselaha, de magouille, de corruption , du désordre partout encore pire au sommet de notre Etat. Ce qui tiennent les décisions sont corrompus tellement que on peut faire ce qu on veut au détriment des population. L urbanisme , que sert ces ministeres ? On doit leur demander des comptes. A Mbour et Saly on contruit sur des terrains qui étaient prévu pour mosqué, place publique ou vert, ecole ect... devant les yeux des autorités . A Saly on construit des maisons sur des routes . Ils savent tres bien que ce qui est dessiné sur leur plan n est pas sur le terrain,. Alors l Urbanisme, le maire, tous ferment les yeux ... L Etat est responsable , pas les citoyens . Echec total de l ´ Etat , manque de rigueur, corruption, reke... Il faut revoir les habitudes changer de methode. que les autorités travaillent et arretent la politique, sinon tout va s effondre , je dis tout, tout...
On m'a juste dit de dire aux familles sénégalaises de donner en aumône du mil cuisiné et du lait caillé, pour éviter que le Sénégal ne rentre dans une très longue misère qui touchera tout le monde pendant des années et des années. Voilà ce que j'ai vu je suis très loin du Sénégal mais je c'est mon pays.
Nos propositions d’innovations juridiques à apporter à la Loi 2009-23 du 8 Juillet 2009 portant Code de la Construction
• l’article L.13, al 3 du Code de la Construction, nous semble assez contraignant pour le vendeur occasionnel (après achèvement) qui n’est pas directement impliqué dans la production d’un édifice, quel qu’en soit sa destination.
Il faut se rappeler que la majorité des intervenants dans le secteur de la construction et de l’immobilier, au Sénégal, ne se soucient même pas de la responsabilité civile et pénale qui les engagent. Le gain facile est le moteur de leurs actions. C’est la raison pour laquelle il faut les informer, de manière éducative et pas uniquement coercitive, des conséquences de l’éventuel préjudice qu’ils peuvent causer à autrui.
Ce que nous considérons, par ailleurs, comme une responsabilité continue face aux dommages relevant, par exemple, du vice du sol est, nous semble t-il, très risquée à assumer par le promoteur public ou privé. Il faudra nécessairement s’attacher les services d’un géologue, qui devra certifier la qualité du sol, pour l’édification d’un immeuble. Or, nous ne pensons pas que le Sénégal dispose, a l’heure actuelle, de ressources humaines pouvant offrir une infrastructure de connaissances, techniques, juridiques, expérimentées et indépendantes pour en juger. Des investisseurs sénégalais et étrangers, dans le secteur de l’immobilier, pourraient être dissuadés par leurs conseils, face à une telle disposition législative, par crainte d’une absence de sécurité juridique. A notre avis, il faudra consulter, des experts du droit de la construction pour redéfinir cet article et d’autres, du code en vigueur, afin de conjurer les désastreuses conséquences juridiques et économiques, aussi bien pour l’État que pour les acteurs.
• l’article L.30, al 1 qui oblige le constructeur à souscrire, pour son compte et pour celui des propriétaires successifs, une police assurance garantissant « en dehors de toute recherche des responsabilités » le règlement de la facture de « réparation des dommages » est, nous semble-t-il, une disposition du code qui mérite une urgente révision.
En effet, l’assurance de la chaine de responsabilité civile professionnelle, dans le domaine de la construction est très délicate et compliquée. Les intervenants sont, le plus souvent, techniquement incompétents pour mesurer les risques des contrats qu’ils signent. De plus, la détermination de la responsabilité in soludium, en cassation, lorsque les affaires parviennent a ce niveau juridictionnel, est difficile à situer « devant une douzaine d’intimés, des actions en garantie, des appels incidents ou provoqués, conduisant à de très nombreuses conclusions, interminables, enchevêtrées et touffues… ». C’est pourquoi nous pensons qu’il serait judicieux d’obliger le constructeur , le cocontractants, le sous-traitant, le mandataire et l’intermédiaire , et toute personne intervenant dans le secteur de la construction à solliciter les services d’un conseil juridique public, avant de s’engager. Ceci pourrait permettre, non seulement, à l’État de s’assurer de la légalité des « contrats », dans un secteur à haut risque, mais aussi de promouvoir l’emploi des juristes qui ne peuvent pas ou ne veulent pas, pour une raison ou une autre, être des plaideurs mais des corporate lawyers.
Nous sommes certains que le secteur de la construction et de l’immobilier, au Sénégal, peut offrir des emplois stables aux milliers de juristes mais aussi aux ingénieurs et techniciens, formés dans nos universités et écoles professionnelles , si l’État décide d’organiser le secteur .
Ces deux observations sont parcellaires, quand il s’agit d’étudier, en profondeur, l’architecture juridique qui gouverne le secteur de la construction et de l’immobilier, au Sénégal. Elles ne sont que la partie émergée de l’iceberg.
Même s’il faut reconnaitre une certaine vision aux rédacteurs du code, il demeure constant que certaines dispositions doivent être revues.
Une loi doit servir une société mais elle doit aussi orienter une économie.
Le droit positif de la construction, en Californie, par exemple, est suffisamment vigilant quant au respect des normes de construction et la détermination des responsabilités civiles « des constructeurs », au bénéfice du maitre de l’ouvrage (public ou privé). Cependant, même si les juges ne perdent jamais de vue le préjudice résultant d’une faute ou d’une négligence du constructeur qu’il y’a lieu de sanctionner, ils les considèrent aussi comme des litiges d’ordre économique, à cause de énormes sommes d’argent impliquées : un autre aspect de l’interaction entre le droit et l’économie que nous devons considérer dans nos lois, et notre approche judiciaire des questions immobilières.
C’est pourquoi nous pensons aussi qu’il est urgent de former des magistrats, spécialistes du droit de la construction, pour que les litiges ne soient pas considérés, tout simplement, comme des affaires civiles mais davantage économiques.
La construction et l’immobilier sont des secteurs qui sont trés importants pour l’économie d’un pays.
Il faut nécessairement les organiser et les contrôler, pour le bénéfice commun de la Nation.
Cheikh Sidya Diouf
Conseiller juridique, spécialiste de la Construction et de l’Immobilier
Membre ASPA (American Society for Public Administration)
Foundateur du Cabinet de Consultance et Relations Publiques ( ONE STOP MULTISERVICES, Greensboro, North Carolina)
Ancien Principal de Cabinet d’Administrateurs de Biens (Cabinet Joël Eloy, Montpellier)
D.U.T Génie Civil (E.N.S.U.T, Dakar)
Institut de la Construction et de l’Habitation (C.N.A.M, Paris)
D.E.S.S Droit de la Construction et de l’Aménagement (Université Montpellier 1)
D.E.A Droit Public Économique (Université Montpellier 1)
nous somme des croyant et ceque tu dis la ce de la charleterie ce qui doit arriver arriveras meme si tu done tt l or du monde soyons correct rek deff li yalla sant gnou te bay li mou tere
En regardant en détail les décombres on note l'incompétence globale: Les murs sont en 15 cm (interdit par le DTU et normes : 20 cm mini sauf poteaux/poutres, pas le cas, les ferraillages inconsistants et mals reliés, du bricolage total, les liaisons poteaux poutres non assurées, les enrobages d'acier insignifiants, la faiblesse des aciers etc etc tout ça en observant la vidéo, et on ne voit pas le reste. Le problème c'est que les normes sont en français ou en anglais et pas en wolof, à noter que aucun des intervenants ne s'expriment dans une langue internationale, comment pourraient ils construirent réglementairement ? C'est pas des mosquées qu'il faut bâtir au Sénégal mais des écoles d'architectes, d'ingénieurs et de techniciens, vu le décalage il y en a pour 10 ans pour former cette compétence. Il est vrai qu’ici tout le monde sait tout, et sait tout faire, il n'y a que des spécialistes en tout ! Et surtout pas d'ingérence de la technicité étrangère, ça vexe la fierté légendaire locale mais ça va aussi dans les années à venir faire beaucoup de morts au vu de l'incompétence grandissante et de l'augmentation de l'acte de "Bâtir".
D’après ces observations l'immeuble c'est effondré sans faire de signes visibles : ceci correspond à une rupture fragile dans le jargon du génie civil.
A mon humble avis cet effondrement peut être dû à une mauvaise conception globale du bâtiment et/ou à un sous dimensionnement des éléments de structures ( poteaux, poutres, dalle) autrement dit une rupture au état limite ultime. Par ailleurs il faut aussi regarder l'étude de sol et adaptation des fondations( types et dimensions par rapport aux descentes de charges du bâtiment). Ces causes peuvent être combinées.
Je conseille au futur constructeur de faire appel à un bureau étude béton au moins. Le coût de l'étude est dérisoire par rapport à ces risques effondrement.
Ce qui suit n'est de la pub mais juste pour assister; je suis Ingénieur béton armé et fournis de plans coffrage et armatures pour vos projet. Avec une garantie décennale. Pas sérieux abstient toi stp
Mané delou len si yallah ,bayilen di togne yallah ,dieugualou len ,trokhloulen ,nagniou diangua ay kamil ,you bareh ,gniann yallah mou yemalefi moussibas yi ,ballah yi ,ak lepp louy lorr domou adama yi si senegal ,yallah moussal gniou si louy fat bakanou domou adama yi si senegal ak loka weur ,yallah nagniou yallah def gniouy topp dinéh al kuran té moytou sobé si baré yi ,nagniou wakilou ,trokhlou ,dieugualou bou baréh si yallah ,nagniou delou watt si sounou borom bi ,nagniou bayi leup lou yallah téreh ,nagniou toppp sounah ,dinéh ak ballou hakkh ,sounou deukandos ,sounou morom yi ,in challah gniou diangua ay kamill you barés ,organiser ko si quartier bou nekk ,in challah moussibas bou nbara gniow yallah dina gniou ssi art bou bakh ,aminnnne ,té nagniou ssi guaw ,def ko si bir senegal yeup : regions yi ,villages ,capital ak fepp ;yallah dina gniou nangoul in challah ,mann lolou laguiss teyy ,nakh youfiy khew legui si moussibas yi baréna legui !!!!!!!!!!!
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25 Commentaires
Moha
En Mars, 2013 (16:29 PM)bonne journee de la femme a toute
X
En Mars, 2013 (16:29 PM)Lady
En Mars, 2013 (16:32 PM)Lea
En Mars, 2013 (16:41 PM)Athiooooooo
En Mars, 2013 (16:42 PM)Snoopy1
En Mars, 2013 (16:54 PM)Alelou
En Mars, 2013 (16:59 PM)Torontonian
En Mars, 2013 (17:17 PM)Beaugarcon
En Mars, 2013 (17:21 PM)Discretion est demandee parceque je suis deja marie!
Rire
En Mars, 2013 (17:26 PM)Justice!!!
En Mars, 2013 (17:27 PM)Faut respecter les normes de constructions c est tout!!!!!!!!!!!!!!!!!
Adolescente
En Mars, 2013 (17:38 PM)Adolescente
En Mars, 2013 (17:48 PM)Ndanka Ndanka
En Mars, 2013 (18:07 PM)On T'a Sonné...?
En Mars, 2013 (18:11 PM)Guelware
En Mars, 2013 (18:26 PM)2nks
En Mars, 2013 (18:46 PM)vous etes mis a l'eupreuve mr le president
Anonymous
En Mars, 2013 (18:53 PM)Zé
En Mars, 2013 (19:07 PM)Cheikh Sidya Diouf
En Mars, 2013 (19:26 PM)• l’article L.13, al 3 du Code de la Construction, nous semble assez contraignant pour le vendeur occasionnel (après achèvement) qui n’est pas directement impliqué dans la production d’un édifice, quel qu’en soit sa destination.
Il faut se rappeler que la majorité des intervenants dans le secteur de la construction et de l’immobilier, au Sénégal, ne se soucient même pas de la responsabilité civile et pénale qui les engagent. Le gain facile est le moteur de leurs actions. C’est la raison pour laquelle il faut les informer, de manière éducative et pas uniquement coercitive, des conséquences de l’éventuel préjudice qu’ils peuvent causer à autrui.
Ce que nous considérons, par ailleurs, comme une responsabilité continue face aux dommages relevant, par exemple, du vice du sol est, nous semble t-il, très risquée à assumer par le promoteur public ou privé. Il faudra nécessairement s’attacher les services d’un géologue, qui devra certifier la qualité du sol, pour l’édification d’un immeuble. Or, nous ne pensons pas que le Sénégal dispose, a l’heure actuelle, de ressources humaines pouvant offrir une infrastructure de connaissances, techniques, juridiques, expérimentées et indépendantes pour en juger. Des investisseurs sénégalais et étrangers, dans le secteur de l’immobilier, pourraient être dissuadés par leurs conseils, face à une telle disposition législative, par crainte d’une absence de sécurité juridique. A notre avis, il faudra consulter, des experts du droit de la construction pour redéfinir cet article et d’autres, du code en vigueur, afin de conjurer les désastreuses conséquences juridiques et économiques, aussi bien pour l’État que pour les acteurs.
• l’article L.30, al 1 qui oblige le constructeur à souscrire, pour son compte et pour celui des propriétaires successifs, une police assurance garantissant « en dehors de toute recherche des responsabilités » le règlement de la facture de « réparation des dommages » est, nous semble-t-il, une disposition du code qui mérite une urgente révision.
En effet, l’assurance de la chaine de responsabilité civile professionnelle, dans le domaine de la construction est très délicate et compliquée. Les intervenants sont, le plus souvent, techniquement incompétents pour mesurer les risques des contrats qu’ils signent. De plus, la détermination de la responsabilité in soludium, en cassation, lorsque les affaires parviennent a ce niveau juridictionnel, est difficile à situer « devant une douzaine d’intimés, des actions en garantie, des appels incidents ou provoqués, conduisant à de très nombreuses conclusions, interminables, enchevêtrées et touffues… ». C’est pourquoi nous pensons qu’il serait judicieux d’obliger le constructeur , le cocontractants, le sous-traitant, le mandataire et l’intermédiaire , et toute personne intervenant dans le secteur de la construction à solliciter les services d’un conseil juridique public, avant de s’engager. Ceci pourrait permettre, non seulement, à l’État de s’assurer de la légalité des « contrats », dans un secteur à haut risque, mais aussi de promouvoir l’emploi des juristes qui ne peuvent pas ou ne veulent pas, pour une raison ou une autre, être des plaideurs mais des corporate lawyers.
Nous sommes certains que le secteur de la construction et de l’immobilier, au Sénégal, peut offrir des emplois stables aux milliers de juristes mais aussi aux ingénieurs et techniciens, formés dans nos universités et écoles professionnelles , si l’État décide d’organiser le secteur .
Ces deux observations sont parcellaires, quand il s’agit d’étudier, en profondeur, l’architecture juridique qui gouverne le secteur de la construction et de l’immobilier, au Sénégal. Elles ne sont que la partie émergée de l’iceberg.
Même s’il faut reconnaitre une certaine vision aux rédacteurs du code, il demeure constant que certaines dispositions doivent être revues.
Une loi doit servir une société mais elle doit aussi orienter une économie.
Le droit positif de la construction, en Californie, par exemple, est suffisamment vigilant quant au respect des normes de construction et la détermination des responsabilités civiles « des constructeurs », au bénéfice du maitre de l’ouvrage (public ou privé). Cependant, même si les juges ne perdent jamais de vue le préjudice résultant d’une faute ou d’une négligence du constructeur qu’il y’a lieu de sanctionner, ils les considèrent aussi comme des litiges d’ordre économique, à cause de énormes sommes d’argent impliquées : un autre aspect de l’interaction entre le droit et l’économie que nous devons considérer dans nos lois, et notre approche judiciaire des questions immobilières.
C’est pourquoi nous pensons aussi qu’il est urgent de former des magistrats, spécialistes du droit de la construction, pour que les litiges ne soient pas considérés, tout simplement, comme des affaires civiles mais davantage économiques.
La construction et l’immobilier sont des secteurs qui sont trés importants pour l’économie d’un pays.
Il faut nécessairement les organiser et les contrôler, pour le bénéfice commun de la Nation.
Cheikh Sidya Diouf
Conseiller juridique, spécialiste de la Construction et de l’Immobilier
Membre ASPA (American Society for Public Administration)
Foundateur du Cabinet de Consultance et Relations Publiques ( ONE STOP MULTISERVICES, Greensboro, North Carolina)
Ancien Principal de Cabinet d’Administrateurs de Biens (Cabinet Joël Eloy, Montpellier)
D.U.T Génie Civil (E.N.S.U.T, Dakar)
Institut de la Construction et de l’Habitation (C.N.A.M, Paris)
D.E.S.S Droit de la Construction et de l’Aménagement (Université Montpellier 1)
D.E.A Droit Public Économique (Université Montpellier 1)
Abdala
En Mars, 2013 (19:41 PM)A Anonimous
En Mars, 2013 (21:07 PM)Constat3
En Mars, 2013 (09:38 AM)Citoyen Libre
En Mars, 2013 (18:04 PM)A mon humble avis cet effondrement peut être dû à une mauvaise conception globale du bâtiment et/ou à un sous dimensionnement des éléments de structures ( poteaux, poutres, dalle) autrement dit une rupture au état limite ultime. Par ailleurs il faut aussi regarder l'étude de sol et adaptation des fondations( types et dimensions par rapport aux descentes de charges du bâtiment). Ces causes peuvent être combinées.
Je conseille au futur constructeur de faire appel à un bureau étude béton au moins. Le coût de l'étude est dérisoire par rapport à ces risques effondrement.
Ce qui suit n'est de la pub mais juste pour assister; je suis Ingénieur béton armé et fournis de plans coffrage et armatures pour vos projet. Avec une garantie décennale. Pas sérieux abstient toi stp
Lilaguissteydji
En Mars, 2013 (08:46 AM)Participer à la Discussion