Le tribunal d’instance de Dakar a condamné à trois mois avec sursis une femme de ménage nommée Mariama Faye. «Une peine de clémence et d’avertissement, selon le juge, puisque la partie civile a consenti à se désister, suite aux supplications de la mère de la prévenue», rapporte L’Observateur qui a suivi l’audience.
La plaignante, c’était Ndèye Houda Diamé, qui avait recruté la mise en cause comme employée de maison au niveau d’une agence spécialisée. Mariama Faye gagnait 70 000 francs Cfa par mois. Mais, d’après sa patronne, elle ne s’acquittait pas normalement de son travail.
Après avoir tenté en vain de dialoguer avec elle, afin de la pousser à s’améliorer, la dame décide de s’en séparer. Elle informe l’agence et fait parvenir la paie. Au lieu de déposer l’argent sur le compte de Mariama Faye, l’agence l’envoie par erreur à une autre personne.
Soupçonnant sa désormais ex-patronne d’être responsable de la situation, elle rend chez elle pour réclamer son salaire. «Je lui ai expliqué l’erreur de l’agence; elle était déjà au courant. Mais, elle m’a dit qu’elle ne bougerait pas tant qu’elle n’aurait pas son argent. Elle m’a abreuvée d’injures salaces, blessée au visage et a même déchiré mes habits», a affirmé à la barre la plaignante, reprise par L’Observateur.
La femme de ménage assure que l’histoire est différente : «Elle m’a provoquée, traitée de prostituée. Je lui ai dit que si tel était le cas, j’aurais accepté les avances de son mari. Elle m’a alors sauté dessus. On s’est battues.»
Le procureur avait requis l’application de loi, rapporte le journal du Groupe futurs médias. Le juge a retenu trois mois avec sursis.
La plaignante, c’était Ndèye Houda Diamé, qui avait recruté la mise en cause comme employée de maison au niveau d’une agence spécialisée. Mariama Faye gagnait 70 000 francs Cfa par mois. Mais, d’après sa patronne, elle ne s’acquittait pas normalement de son travail.
Après avoir tenté en vain de dialoguer avec elle, afin de la pousser à s’améliorer, la dame décide de s’en séparer. Elle informe l’agence et fait parvenir la paie. Au lieu de déposer l’argent sur le compte de Mariama Faye, l’agence l’envoie par erreur à une autre personne.
Soupçonnant sa désormais ex-patronne d’être responsable de la situation, elle rend chez elle pour réclamer son salaire. «Je lui ai expliqué l’erreur de l’agence; elle était déjà au courant. Mais, elle m’a dit qu’elle ne bougerait pas tant qu’elle n’aurait pas son argent. Elle m’a abreuvée d’injures salaces, blessée au visage et a même déchiré mes habits», a affirmé à la barre la plaignante, reprise par L’Observateur.
La femme de ménage assure que l’histoire est différente : «Elle m’a provoquée, traitée de prostituée. Je lui ai dit que si tel était le cas, j’aurais accepté les avances de son mari. Elle m’a alors sauté dessus. On s’est battues.»
Le procureur avait requis l’application de loi, rapporte le journal du Groupe futurs médias. Le juge a retenu trois mois avec sursis.
6 Commentaires
Nightingale
En Janvier, 2025 (16:42 PM)-
70000 fcfa c'est de l'esclavage moderne. Ce qui me choque les bonnes font des courses que les enfants de son patron peuvent faire !
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En Janvier, 2025 (20:25 PM)-
Il vaut mieux une employée d'un certain âge et mature. Mais c'est plus difficile à trouver..
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En Janvier, 2025 (17:49 PM)-
Ragalal Yallah
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En Janvier, 2025 (20:06 PM)Éviter les bonnes élèves et étudiantes elles sont dangereuses et peuvent vous faire perdre votre mari
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Hé doucement !! Y'a tellement de couples aujourd'hui qui sont formés de l'ex bonne et de son ex employeur. Elles sont très attrayantes certaines bonnes.
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En Janvier, 2025 (18:30 PM)-
Heu monsieur vous en connaissez un rayon deh !
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En Janvier, 2025 (21:36 PM)Participer à la Discussion