M. T. M. croupit en prison pour interruption volontaire de grossesse. Âgée de 24 ans, elle a été déférée au parquet par la police des Parcelles Assainies. Selon des sources de L’AS, les faits remontent au 07 août dernier. Ce jour-là, la dame M. T. M. s’est présentée au Centre de Santé Nabil Choucair pour les besoins d’une consultation médicale.
Sur place, rapporte le journal dans sa parution du jour, le médecin a constaté que le placenta et le fœtus de la patiente étaient déjà expulsés. Sur ce, le médecin en déduit alors que sa patiente a fait un avortement clandestin. Sans tarder, il saisit la police qui mandate ses éléments de la Brigade de recherches. Très réactifs, ces derniers interpellent la mise en cause.
Conduite au poste de police, M. T. M. a nié toute thèse d’avortement provoqué. Elle soutient avoir fait une chute qui lui a occasionné des douleurs abdominales et que par la suite, elle s’est rendue dans une clinique privée pour se faire consulter. M. T. M. ajoute que c’est au niveau de la clinique privée qu’on lui a révélé qu’elle était enceinte.
Mais, quelques jours après, elle soutient avoir constaté que les douleurs abdominales persistaient et c’est-là qu’elle a décidé de se rendre au Centre de santé Nabil Choucair pour se soigner. Des allégations qui n’ont pas convaincu les limiers, puisqu’elle a été placée en garde à vue avant d’être déférée au parquet pour interruption volontaire de grossesse.
Sur place, rapporte le journal dans sa parution du jour, le médecin a constaté que le placenta et le fœtus de la patiente étaient déjà expulsés. Sur ce, le médecin en déduit alors que sa patiente a fait un avortement clandestin. Sans tarder, il saisit la police qui mandate ses éléments de la Brigade de recherches. Très réactifs, ces derniers interpellent la mise en cause.
Conduite au poste de police, M. T. M. a nié toute thèse d’avortement provoqué. Elle soutient avoir fait une chute qui lui a occasionné des douleurs abdominales et que par la suite, elle s’est rendue dans une clinique privée pour se faire consulter. M. T. M. ajoute que c’est au niveau de la clinique privée qu’on lui a révélé qu’elle était enceinte.
Mais, quelques jours après, elle soutient avoir constaté que les douleurs abdominales persistaient et c’est-là qu’elle a décidé de se rendre au Centre de santé Nabil Choucair pour se soigner. Des allégations qui n’ont pas convaincu les limiers, puisqu’elle a été placée en garde à vue avant d’être déférée au parquet pour interruption volontaire de grossesse.
7 Commentaires
Délation
En Août, 2021 (07:29 AM)Maimouna
En Août, 2021 (08:00 AM)123
En Août, 2021 (09:33 AM)Ah Bon
En Août, 2021 (09:02 AM)Dfgh
En Août, 2021 (09:38 AM)Pensez-y. Il y'a très peu d'hommes courageux capables de faire face aux conséquences de leur acte à savoir reconnaître leur enfant.
Je suis contre l'avortement en même temps emprisonner pour ça ça me dérange quelque part
Je crois que notre société bute sur pas mal de problèmes cannabis avortement homosexualité.....
Faut qu'on en parle sans passion sans frapper injurier ou emprisonner
Mon avis personnel est qu'on n éduque plus on a perdu nos valeurs
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