Après des membres du secteur hôtelier, un autre acteur du tourisme a quasiment accusé le ministère dirigé par Youssou Ndour de vouloir empêcher la réalisation de son projet de salon de tourisme à Atlanta, aux Etats-Unis. Les agents du département ministériel, dirigé par Youssou Ndour, s’inscrivent en faux contre les arguments de Mamadou Tall et lui portent la réplique
Des acteurs du secteur du tourisme s’en prennent une fois de plus à leur ministre de tutelle. Le samedi dernier, M. Mamadou Tall, directeur général d’Afrique Production, initiateur du Salon international du tourisme et de l’artisanat des pays ouest-africains aux Etats-Unis (Sitaf), dénommé Africa to America, qui devait se tenir à la fin de ce mois de juillet à Atlanta aux Etats-Unis, a expliqué que le ministère dirigé par Youssou Ndour, non content de n’avoir rien fait pour leur apporter l’appui qu’ils étaient en droit d’attendre de lui, ont au contraire tout fait pour leur mettre des bâtons dans les roues.
Au cours d’une rencontre avec des journalistes, M. Tall et ses collaborateurs ont même précisé que c’est en particulier des agents de la cellule de promotion du tourisme, logée au ministère en question, qui se permettent, quand des opérateurs les appellent pour s’informer du Sitaf et du niveau d’implication des pouvoirs publics dans cette organisation, de déclarer que ni le Sénégal ni le ministère du Tourisme ne sont «engagés dans cette histoire». Du fait ce cette mauvaise volonté de la part de l’autorité de tutelle, la manifestation, qui avait été reportée une première fois de février à la fin juillet, devra enregistrer un autre report que l’organisateur prévoit jusqu’au mois de septembre cette fois-ci.
Pour montrer sa détermination à faire aboutir son projet, Mamadou Tall assure : «Avec ou sans le ministre Youssou Ndour, le salon se tiendra inch’Allah ! … Je ne dis pas sans le ministère, parce qu’il s’agit d’une institution qui appartient à tous les Sénégalais, mais le ministre est appelé à passer.»
Remontant à la genèse de son projet, Mamadou Tall explique que le projet du Sitaf a mûri depuis 2010. A l’époque, des contacts pris avec l’Agence nationale de promotion du tourisme (Anpt) avaient fait grandement avancer le projet, et le mois de février 2013, retenu pour l’organisation. Dans l’intervalle, le pouvoir de Wade a été balayé lors des élections, et il a fallu présenter le projet aux nouveaux dirigeants. La réponse de Youssou Ndour et de ses collaborateurs avait été en substance : «Si nous ne faisons pas plus, nous ne ferons pas moins que ceux qui nous ont précédés.» Seulement, leurs paroles n’auraient jamais été suivies d’actes. L’appui institutionnel concrétisé par un protocole signé avec l’Anpt, renouvelé après la disparition de cet organe par le nouveau ministre, ne s’est manifesté que par des courriers que le ministre du tourisme a envoyés à ses homologues étrangers, ainsi qu’à certaines institutions, pour les inviter à prendre part au Sitaf.
Pourtant, si ledit Sitaf avait été reporté une première fois, cela avait été à la demande expresse de M. Ndour. M. Tall explique : «Après plusieurs mois durant lesquels nous avons tenté en vain d’entrer en contact avec lui, et où il n’a jamais répondu à nos correspondances, le ministre nous a enfin reçus, en décembre 2012. A sa réaction, c’est comme s’il venait d’entendre parler du projet pour la première fois. Il a été enthousiaste, et nous a dit qu’il nous soutenait à 200% et allait nous aider à faire la promotion à l’étranger. (…) Et, étant donné que les délais étaient courts, il nous demandait de reporter le salon jusqu’à juillet 2013. Il s’engageait même à tenir un point de presse pour pouvoir expliquer les raisons du report. Nous sommes sortis de l’audience revigorés. Mais depuis lors, les choses semblent s’être gâtées, et les contacts sont devenus impossibles.»
Le ministère ne répondait plus à aucun courrier. Et pire, comme dit plus haut, à tous les partenaires étrangers qui les contactent pour s’informer sur le salon, les collaborateurs de Youssou Ndour répondent qu’ils n’y sont en rien associés. De guerre lasse, les initiateurs du Sitaf reprennent leur projet, et vont en faire la promotion sans les agents du ministère, jusqu’à son terme.
30 Commentaires
Sentinelle Sn
En Juillet, 2013 (16:42 PM)Italie001
En Juillet, 2013 (16:42 PM)Lod
En Juillet, 2013 (16:43 PM)Abou
En Juillet, 2013 (16:43 PM)Douks2
En Juillet, 2013 (16:44 PM)Kjjiutrbhg Kmiolkoiqawsy
En Juillet, 2013 (16:50 PM)Sofi
En Juillet, 2013 (16:51 PM)Spaghettii
En Juillet, 2013 (16:55 PM)Abdou Lo
En Juillet, 2013 (17:00 PM)Vérité
En Juillet, 2013 (17:01 PM)Depuis quelques temps un groupuscule hybride de politiciens en mal de reconnaissance et de popularité s’agite, verse dans l’invective et la calomnie mensongère dans la ville de Thiès. Une agitation qui s’explique fortement parce que la date est dans toutes les conversations politiques du moment : 16 mars 2014. Dans quelques mois les électeurs se rendront aux urnes pour désigner les nouvelles équipes municipales ou reconduire les anciennes. Et à Thiès, le fauteuil de maire aiguise les appétits. Parce que Thiès est devenue une ville moderne et attrayante, grâce à de nombreuses réalisations acquises par une équipe sérieuse et dévouée loin des calculs politiciens.
Les intérêts bassement mercantiles connus de tous les thiessois de ce groupuscule de politiciens avec l’innocence et la candeur des gens à la clairvoyance limitée pour ne pas dire de simples d’esprit ne nous feront jamais fléchir du chemin de la vérité et de la légalité. Candide à volonté, ces politiciens du dimanche ignorent le temps du politique et le temps du gouverner ainsi que le sens de l’efficacité et la performance au service de toutes et de tous. C’est pourquoi nous sommes heureux de leur dire que les actes de gestions que nous posons tous les jours sont tirés de la légitimé et de la légalité. Notre souci majeur et permanent étant de continuer à redynamiser et à bâtir un projet pour le rayonnement de Thiès au bénéfice de son développement, de l’emploi et du bien-être de ses habitants.
Mettons les choses au clair et tout de suite :
Nos quatre mousquetaires (Maodo Malick Mbaye, Dénaba Sall, Ibrahima Ba et Seynabou Ndiéguene) n’ont ni la culture politique ni la tenue personnelle capable de leur conférer les premiers rôles dans la gouvernance locale surtout dans une ville comme Thiès qui n’est pas orpheline de sommités intellectuelles, d’entrepreneurs chevronnés, d’hommes d’affaire de standing internationale.
Nos quatre mousquetaires ne sont pas des références ni en politique ni dans les études encore moins dans le milieu professionnel. Si Maodo Malick Mbaye a réussi à se faufiler entre les mailles jusqu’à devenir attaché de presse de Youssou Ndour ce n’est pas parce qu’il a été un des meilleurs de sa classe à l’Issic. Tout au contraire, notre cher ami se dit journaliste sans avoir jamais signé le moindre papier dans le plus petit des journaux. Excellant dans la récupération, Malick Mbaye ne s’est pas gêné de dribler « ses amis » badauds pour s’approprier l’agitation puérile lors du dernier conseil municipal qui, rappelons-le, s’est bien tenu contrairement à leur souhait. Monsieur le Journaliste n’hésite jamais à aller au bas niveau pour se singulariser par des débats de bas caniveaux dignes des hommes écervelés pour se faire une place prés du roi.
Il est important aussi de signaler que le cartouchard de Thiès, Dénaba Sall (bac + zéro), brille toujours par l’insolence et la candeur des gens à la pensée limitée pour ne pas dire qu’il est tout simplement un simple d’esprit. Cet homme comme son ami de circonstance, Ibrahima Ba (non connu au bataillon des diplômés de la ville de Thiès) ignorent l’efficacité du silence et ne brillent qu’avec la bave et l’injure à la bouche.
Il faut que la bande à Ahmet Mbaye comprenne qu’une mairie ne se gère pas comme une tontine mais dans le respect des procédures administratives et légales. C’est important aussi que nos politiciens professionnels ignorent le temps du politique et le temps du gouverner.
Après avoir plongé toute la population thiéssoise dans la honte le samedi 13 juillet 2013, Maodo Malick Mbaye, Dénaba Sall, Ibrahima Ba et Seynabou Ndiéguene qui se sont comportés comme des petites jeunes filles à la borne fontaine, sont descendus au plus bas niveau pour se singulariser par des débats de bas niveau sans inspiration pour porter haut le destin de leur flambeau à jamais éteint dans la ville de Thiès. Non, Thiès ne mérite pas d’hommes écervelés de votre trempe.
Vous devrez comprendre et apprendre la leçon sur les compétences des collectivités locales en matière domaniale. Encore une fois, pour votre gouverne, le décret d’application n°96-1130 du 27 décembre 1996 de la Loi n°96-07 du 22 mars 1996 dans son titre II dispose clairement en son article 08 que «le maire reçoit les demandes des parcelles de terrains issues des lotissements régulièrement approuvés et les transmets au receveur des domaines pour instruction ». L’alinéa 2 du même article poursuit que «les demandes sont examinées par la commission d’attribution prévue par l’article 25 de la loi portant transfert de compétence aux collectivités locales. Cette commission présidée par le maire se compose comme suit : le receveur des domaines, le chef de service du cadastre, le chef de service urbanisme, le chef des services techniques communaux, le ou les délégués du ou des quartiers concernés ou limitrophes. Les fonctions de rapporteur et de secrétaire de commission sont remplies par le receveur des domaines. La commission peut s’adjoindre toute personne qualifiée par éclairer ses décisions ».
Alors, nous conseillers intègres de la ville de Thiès, conscients des responsabilités qui sont les nôtres, n’accepterons aucune place aux plans sur la comète et sur la médiocrité. Parce que nous avons compris que la responsabilité quelle qu’elle soit exige de celui qui est dépositaire de toujours faire le choix des cimes. Mais dommage que Maodo Malick Mbaye et Cie ont toujours accepté de faire l’expérience d’une mentalité assiégée et se sont décidés à faire une fixation morbide sur la personne du premier adjoint au maire, Monsieur Yankhoba Diattara. La seule et unique faute de Yankhoba Diattara a et sera toujours de s’acquitter de ses responsabilités de premier adjoint au maire de Thiès, Monsieur Idrissa Seck, avec un souci permanent d’efficacité et de progrès.
Pour conclure, nous sommes heureux de vous rappeler que nous avons toujours priés pour une meilleure relation verticale avec Dieu et une excellente relation horizontale basée sur le respect et la considération avec nos parents, amis, camarades, adversaires politiques,….
A bon entendeur !
Les conseillers municpaux intègres de la ville de Thiès
Beye
En Juillet, 2013 (17:02 PM)Moussa
En Juillet, 2013 (17:03 PM)Tall
En Juillet, 2013 (17:05 PM)Deug
En Juillet, 2013 (17:09 PM)Iso
En Juillet, 2013 (17:18 PM)C'est une affaire privée et montée par un privé et souvent a l'Etranger , pour avoir des facilites, voire recevoir des subventions, des appuis de sorte , certains promoteurs disent agir pour le compte du Sénégal dont ils se réclament et parfois, et pour simple vérification , ceux qui veulent apporter leur appui ou donner quelque chose, cherchent d'abord à vérifier si vraiment le Sénégal est impliqué et la ou cela se gâte , car le ministère dit n'être pas concerne alors le promoteur risque de ne rien recevoir , mais si le ministère donne sa caution, alors il peut moralement et même civilement responsable de tout ce qui pourrait se passer!
En somme, on veut vous embarquer dans un projet privé que vous n'avez pas décide: c'est difficile et complique.
Deug
En Juillet, 2013 (17:24 PM)Bineta Ndiaye
En Juillet, 2013 (17:33 PM)Cafe
En Juillet, 2013 (17:50 PM)Tabrou
En Juillet, 2013 (18:11 PM)Sénégalais lou yomb rék. Vous vivant aux USA, vous savez bien que les entrepreneurs n'attendent pas l'aide de l'etat pour avancer et concretiser leurs projets .
Nul comme comportement et opportuniste.
Lune
En Juillet, 2013 (18:18 PM)Mettez vous au travail si vous voulez rester en 2017
Deug
En Juillet, 2013 (18:22 PM)Le Senegal Digne
En Juillet, 2013 (18:48 PM)Nous étions tous surpris hier de voir autant de blancs et de drapeaux africains dans une manifestation pro-Gbagbo en Europe. Alors qu'on a du mal à les apercevoir dans les manifs pro-Mandela, devant la clinique de celui qui jouit d'une opinion favorable des deux côtés de la barque, ils débordent pour la cause de Gbagbo.
Le paradoxe s'explique lorsqu'on déchire le voile du racisme primaire et qu'on arrête de catégoriser les hommes en fonction de la couleur de leur peau. Dans cette mobilisation qui ne cesse de grandir, je préfère voir l'humanité qui se soulève pour défendre les principes élémentaires et rationnels qui devraient régir notre coexistence.
En fait la vague de blancs, venue gonfler le rang des manifestants pro-Gbagbo est celle des Egyptiens. C'est par leur drapeau qu'ils brandissent qu'on les reconnait. Ils ont compris que ce qui les révolte aujourd'hui est le même que ce qui révolte les Ivoiriens dans les rues d'Europe depuis deux ans et demi. La ligne de démarcation est nette. Derrière toutes les crises crées de toutes pièce dans les Etats tranquilles, il y a un seul conflit qui traverse le temps depuis des millénaires: celui de la force brutale contre les principes de base de notre aspiration légitime à être des humains. Les détenteurs de la force brutale et terroriste défendent dans les conflits qu'ils créent des intérêts bassement matériels et civilisationnels. Les pauvres, les faibles, hier, les serfs, esclaves, les colonisés se battent pour faire valoir leur droit à l'humanité, à la fraternité à l'égalité et à la liberté.
Je lisais hier matin dans un organe panafricain que le parti politique du président Morsi demande à ses partisans de rester dans la rue jusqu'à ce que ce dernier retrouve son fauteuil présidentiel.
Qu'est-ce que l'armée égyptienne, Adly Mansour et Mohamed Elbaradei croyaient? C'aurait été trop facile de réunir quelques milliers de manifestants dans les rues d'une ville pour renverser un chef d'État démocratiquement élu, s'emparer du pouvoir et se prévaloir d'une certaine légitimité. Le président Morsi, quel que soit ce qu’on peut lui reprocher, est le chef d'État élu de l'Égypte. Il est le chef que le peuple désormais libre d'Égypte s'est donné.
Nous ne pouvons faire comme si le coup d'État en Égypte était la continuation de la révolution. Celle-ci a pris fin avec une élection démocratique. La démocratie a ses règles et ces règles ne sont nullement édictées par la combinaison qu'on pourrait faire entre la rue et un coup de force.
Tant que l'élection de Morsi n'est pas remise en cause selon les principes de la démocratie Égyptienne, tous les égyptiens, je dis bien tous, pourraient descendre dans la rue avec toute l'armée égyptienne, cela ne rendrait pas Morsi destituable. Une fois encore la démocratie a ses règles et c'est elle la fin de la révolution et non le moyen. Ceux qui ont marché contre Morsi devront montrer qu'ils sont plus nombreux que ceux qui marchent aujourd'hui pour Morsi.
Comment vont-ils s'y prendre?
Xamle
En Juillet, 2013 (21:07 PM)Yeet
En Juillet, 2013 (22:06 PM)Balla Gaye Ministre Sports
En Juillet, 2013 (00:55 AM)Mew
En Juillet, 2013 (01:07 AM)Idy
En Juillet, 2013 (07:27 AM)y'en a marre vraiment de ce ministère des affaires étrangères aux agents arrogants surtout à bruxelles... Macky à l'égard de vos compatriotes vivant à l'étranger. On souffre avec nos soi-disants ambassades et consulat qui ne faont rien pour nous aider....y' a en vraiment MARRRRRRRRRRRRRE
Cj
En Juillet, 2013 (09:11 AM)Zal
En Juillet, 2013 (09:45 AM)@mew
En Juillet, 2013 (02:47 AM)Juste le maire de la ville pouvait dèbloquer des subventions si c etait bien ficelè et aider á l organisation pour promouvoir sa ville comme ça se passe partout, Montreal, edmonton, Quebec city et j en passe mais jogguè states di ladj 10 millions environs 15000$ yènouwoul maana !!ils organisent ici des soirèes pour les inondations, les talibès, les jeunes qui prennent les pirogues, un puits au village sangaam, un dispensaire à construire toutes sortes de mensonges devant une assistance attèrèes et attristèe de blancs qui n ont de l afrique que les images de la famine en ethopie, au Darfour, en somalie et qui croient la plupart que l afrique est un seul pays de surcroit
qu ils presentent avec des gens qui parlent oualof et dire Oui ils disent qu ils sont content de l aide que vous leur avez donnèe ARRETER DE MENTIR POUR VOS POCHES AUX NOMS DE VOS COMPATRIOTES RESTES AU PAYS ET QUI SONT DIGNE MEME DANS LA PAUVRETE bravo you comme dit ce chanteur crasseux ON A TOUT COMPRIS !!!BASTA TRAVAILLER !!GOUMBA BOKO SARAXOUL BOUL JEUL KEULAM
PS:je suis contre ce gouvernement mais deug bou djotè dèèss koy wakh !! pauvre, dangay rouss sakh, puis tout cet argent ramassè sert juste à financer leurs vacances au pays !!apres doxantou ba cayar walla yèèn faire des photo avec les villageois qui ne comprennent rien et revenir avec des films
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