Liberté d'expression, liberté de conduire un véhicule est prévue partout dans le monde.
Pour conduire un véhicule il faut respecter les dispositions du code de la route du pays concerné : en premier lieu disposer d'un permis de conduire valable dans le pays, avoir un véhicule qui a une assurance, un véhicule apte à rouler après une visite technique-
Venons-en à la liberté d'expression via un média qui est un droit pour que ce droit soit réel il faut respecter, se conformer les obligations du code de la presse avant de réclamer ses droits, il faut se conformer au décret d'application, un DirP avec 10 ans expérience, un Red Chef avec 7 ans expérience un quitus des impôts etc. Ce n'est pas le régime actuel ni celui de Macky Sall qui ont rédigé, inventé ce code tout seul, c'est avec la participation des acteurs de la presse qui ont réclamé à cor et à cri l'adoption du code de la presse et son décret d'application.
Comment voulez-vous exister si vous ne respectez pas les obligations ci-dessus qui sont une partie intégrante des droits. Vous ne devez pas exister même si vous avez existé 20 ans avant, cette existence est le fruit d'une non application de la loi ; les autorités actuelles n'avaient même pas à donner un délai pour régulariser-
Enfin le ridicule ne tue pas au Sénégal quand un petit pays comme le nôtre compte 536 organes dont 112 respectent la loi et encore. Peut-on se permettre 112 organes dont pour l'essentiel ce sont des organes de mercenaires à la disposition de ceux qui payent cash. On a entendu pendant la campagne que les premières pages de certains médias sevrés des conventions se négociaient entre 1 et 10 millions. La traite est terminée.
Toute cette tempête dans un verre d'eau c'est pour faire croire que leur disparation est l'œuvre des autorités parce qu’ils ne chantent pas leurs louanges. Pourtant parmi les organes reconnus il y'en a dont leurs exercices favoris sont de dire n'importe quoi sur les autorités actuelles qu'qu'on peut même assimiler à de la haine brutale-
En fait la réalité la mort programmée de certains organes est lié à la disparition de sponsors, de conventions, de financements intéressés. L'alibi est simple c'est l'état qui nous a tué. Ce n'est pas vrai, allez-vous régulariser si vous avez les moyens, c'est votre dernière chance.
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Pour conduire un véhicule il faut respecter les dispositions du code de la route du pays concerné : en premier lieu disposer d'un permis de conduire valable dans le pays, avoir un véhicule qui a une assurance, un véhicule apte à rouler après une visite technique-
Venons-en à la liberté d'expression via un média qui est un droit pour que ce droit soit réel il faut respecter, se conformer les obligations du code de la presse avant de réclamer ses droits, il faut se conformer au décret d'application, un DirP avec 10 ans expérience, un Red Chef avec 7 ans expérience un quitus des impôts etc. Ce n'est pas le régime actuel ni celui de Macky Sall qui ont rédigé, inventé ce code tout seul, c'est avec la participation des acteurs de la presse qui ont réclamé à cor et à cri l'adoption du code de la presse et son décret d'application.
Comment voulez-vous exister si vous ne respectez pas les obligations ci-dessus qui sont une partie intégrante des droits. Vous ne devez pas exister même si vous avez existé 20 ans avant, cette existence est le fruit d'une non application de la loi ; les autorités actuelles n'avaient même pas à donner un délai pour régulariser-
Enfin le ridicule ne tue pas au Sénégal quand un petit pays comme le nôtre compte 536 organes dont 112 respectent la loi et encore. Peut-on se permettre 112 organes dont pour l'essentiel ce sont des organes de mercenaires à la disposition de ceux qui payent cash. On a entendu pendant la campagne que les premières pages de certains médias sevrés des conventions se négociaient entre 1 et 10 millions. La traite est terminée.
Toute cette tempête dans un verre d'eau c'est pour faire croire que leur disparation est l'œuvre des autorités parce qu’ils ne chantent pas leurs louanges. Pourtant parmi les organes reconnus il y'en a dont leurs exercices favoris sont de dire n'importe quoi sur les autorités actuelles qu'qu'on peut même assimiler à de la haine brutale-
En fait la réalité la mort programmée de certains organes est lié à la disparition de sponsors, de conventions, de financements intéressés. L'alibi est simple c'est l'état qui nous a tué. Ce n'est pas vrai, allez-vous régulariser si vous avez les moyens, c'est votre dernière chance.
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