C’est fait. Le Mali a un nouveau Premier ministre. Âgé de 63 ans, Choguel Kokalla Maïga vient d'être nommé à ce poste par le Président de la Transition, le Colonel Assimi Goïta.
En effet, lors du Sommet extraordinaire de la CEDEAO sur la situation au Mali, ce 30 mai dernier, au Ghana, les Chefs d’États avaient demandé la nomination immédiate d'un nouveau Premier ministre civil. Ce, tout en appelant à former un nouveau gouvernement inclusif pour poursuivre le programme de transition.
Par ailleurs, l’Organisation a insisté sur la nécessité de respecter la période de transition de 18 mois décidée à Accra. «La date du 27 février 2022 déjà annoncée pour l'élection présidentielle doit être absolument maintenue. Un mécanisme de suivi sera mis en place à cet effet », ont informé les Présidents.
12 Commentaires
Waaru
En Juin, 2021 (17:05 PM)Reply_author
En Juin, 2021 (18:01 PM)Bonne chance pour le nouveau premier ministre.
Waru
En Juin, 2021 (19:37 PM)Soundiata
En Juin, 2021 (17:25 PM)Reply_author
En Juin, 2021 (18:18 PM)60 ans de complot... Reste tranquille waye
Soundiata
En Juin, 2021 (19:29 PM)Sant lén yalla de votre stabilite et ne pas suivre certains connnnnards desesperés qui se disent activistes sans experience de la vie.le .mali en est exemple.
Jamais sera dans la paix
Reply_author
En Juin, 2021 (20:42 PM)Niit
En Juin, 2021 (19:30 PM)Le nègre n'a même plus la possibilité de choisir son Maître.
Quelle tristesse !!!
Deug
En Juin, 2021 (19:41 PM)Historia
En Juin, 2021 (19:57 PM)Rencontre 77 923 57 83
En Juin, 2021 (20:52 PM)Alain
En Juin, 2021 (00:47 AM)choquel traine des casseroles.
Nkhson
En Juin, 2021 (15:00 PM)Il est aberrant qu'aprés 60 années d'indépendance, nos "états" demeurent encore fragiles du fait d'une élite corrompue par l'exercice du pouvoir et ses jouissances mondaines. Des etres à la vision nombrilique pret à toute sorte de crimes et forfaitures pour accéder au pouvoir ou s'y maintenir, faisant fi du respect de tout ordre légal ou légitime dicté par des règles constitutionnelles.
C'est pourquoi les coups d'état militaires et surtout constitutionnels sont devenus depuis toujours monnaie courante en Afrique. Combien de chefs d'états aujourd'hui jouissent-ils d'une légitime et ou légalité auprés de leurs peuples. La démocratie tant pronée et très souvent magnifiée dans les discours politiques semblent etre un luxe pour nos pays.
La promotion de la démocratie, de l'état de droit ainsi que de la justice sociale reste fortement inhibée par une gestion clanique, éthnique, partisane des affaires publiques.
Le retard accusé par nos pauvres états est en partie du à ses dirigeants qui ont bridé le sentiment patriotique et entravé la marche démocratie. Ils se muent souvent en dictateurs réprimant par la force toute attirude visant à s'opposer à leurs modes gouvernances réputés chaotiques.
Il est temps que l'Afrique reprenne sa destinée en main et refuse toute fatalité motivée par un afropessimisme longtemps entretenu et qui entrave son développement. Au demeurant il appartiendra aux nouvelles générations de susciter de nouvelles idées. Mais aussi porter de nouveaux combats aptes à générer des paradigmes qui meneront vers un consensus, une fédération des forces vives qui concoureront à créer une Afrique unie et forte. Sans cette unité déjà suggérée par tous les grands panafricains, il est à craindre que le morcellement du continent voulu et animé à dessein par les colons ne saurait profiter encore qu'à ces derniers et pour toujours.
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