Il y a un peu plus de huit mois, dans un article intitulé " Mamadou Moustapha Ba : un choix justifié", je faisais l'éloge du ministre des Finances et du Budget après sa brillantissime prestation lors des traditionnelles sessions de vote du budget national à l’Assemblée nationale.
Je disais que depuis 2012, année à laquelle j'ai commencé à siéger dans cette auguste assemblée, jamais je n'avais été autant impressionné par la prestation d'un ministre.
Ce 26 juin 2023, à l'occasion du Débat d'Orientation budgétaire, phase importante dans la préparation de la loi des finances 2024, il m'a encore littéralement séduit.
En effet, il a su encore une fois, avec un calme olympien, une maîtrise parfaite de son sujet et un art oratoire des grands rhéteurs, ramener la sérénité dans l’hémicycle, au moment où tout donnait à croire qu’on allait encore assister à ces scènes de pugilat indignes d’une assemblée dépositaire de la confiance du peuple.
Avec une parfaite maîtrise du sujet qui est une exigence des articles 51 et 56 de la Loi organique relative à la Loi des Finances (LOLF), il a abordé avec beaucoup d'aisance cet exercice important de transparence dans une démocratie puisqu’il permet non seulement de faire le point devant la représentation parlementaire sur la situation et les perspectives économiques et sociales du pays, mais aussi de discuter d'autres sujets aussi importants que :
- la trajectoire des recettes et des dépenses de l’Etat ;
- la situation financière des collectivités territoriales, des entreprises
publiques et organismes de protection sociale, entre autres.
C’était l’illustration parfaite de la citation de Nicolas Boileau :
« Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. »
Par la magie du verbe, la technicité des arguments développés et la pertinence des exemples choisis et bien structurés autour du Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP), il a dompté toute l’assemblée, même les plus récalcitrants, au point qu’on pouvait entendre les mouches voler au moment de son cours magistral.
Toutefois, cette prestation remarquable et remarquée n’a rien d’étonnant pour quelqu’un qui connaît l’homme, Mamadou Moustapha Bâ.
En effet, notre ministre des Finances et du Budget ne connaît que le Ministère des Finances, qu’il a rejoint très tôt à sa sortie de l’École Nationale d’Économie appliquée en 1991 et où il fera ses armes, avant de rallier la Belgique pour poursuivre son cursus universitaire.
- la situation financière des collectivités territoriales, des entreprises
publiques et organismes de protection sociale, entre autres.
C’était l’illustration parfaite de la citation de Nicolas Boileau :
« Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. »
Par la magie du verbe, la technicité des arguments développés et la pertinence des exemples choisis et bien structurés autour du Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP), il a dompté toute l’assemblée, même les plus récalcitrants, au point qu’on pouvait entendre les mouches voler au moment de son cours magistral.
Toutefois, cette prestation remarquable et remarquée n’a rien d’étonnant pour quelqu’un qui connaît l’homme, Mamadou Moustapha Bâ.
En effet, notre ministre des Finances et du Budget ne connaît que le Ministère des Finances, qu’il a rejoint très tôt à sa sortie de l’École Nationale d’Économie appliquée en 1991 et où il fera ses armes, avant de rallier la Belgique pour poursuivre son cursus universitaire.
L'excellent travail qu'il est en train de faire depuis qu'il est placé à la tête de ce ministère stratégique confirme que son Excellence Monsieur le Président Macky SALL ne s'est pas trompé sur son choix.
En attestent les résultats importants obtenus avec lui dans la recherche de financements nécessaires à la réalisation des investissements publics prévus dans le cadre du Plan Sénégal Émergent (PSE) et la gestion des relations de coopération financière avec les collectivités territoriales.
Bref, Mamadou Moustapha Ba est tout simplement "l'homme qu'il faut à la place qu'il faut" !
Avec lui, le Sénégal peut s'enorgueillir d'avoir, avec d'autres de ses fils, des ressources humaines de qualité pour gérer les importantes ressources dont dispose notre pays avec l'exploitation prochaine du pétrole et du gaz.
Le budget de 2024 va passer le cap des 7000 milliards soit 4 fois le budget de 2012 que le régime du Président Macky Sall avait trouvé sur place.
C'est cela la performance !
Nous lui réitérons toutes nos félicitations et nos encouragements et prions pour la réussite de cette mission exaltante que le Président Macky Sall lui a confiée.
Ibrahima Baba SALL
Premier vice-président à l'Assemblée nationale
Député Maire de Bakel.
Ibrahima Baba SALL
Premier vice-président à l'Assemblée nationale
Député Maire de Bakel.
12 Commentaires
Poseidon
En Juin, 2023 (23:13 PM)Reply_author
En Juin, 2023 (23:59 PM)Dmrm
En Juin, 2023 (08:54 AM)Il ne parle que pour les halpulaars. Seul le neddo ko bandum l'intéresse.
Amsa
En Juin, 2023 (23:54 PM)Aissata Ly
En Juin, 2023 (00:06 AM)Doudou
En Juin, 2023 (00:35 AM)Des milliers de blessés
Des milliers de prisonniers politiques, le sénégal devient une prison à ciel ouvert
Walf fermé, des journalistes emprisonnés
Des centaines de milliards perdus
Finalement pas de viol, la pute du complot est entretenue comme ses avocats par nos impots
Trop c est trop
Le maquis en éternel comploteur qui manipule liquider des adversaires qu il n a pas le courage d affronter démocratiquement
Maquis n organise pas des élections mais des séléctions avec des candidats khoussmaniappes de son choix
Maquis empeche le vote des jeunes
Maquis sabote le vote à touba , en casamance et en zone wolof
Maquis par fraude industrielle fait voter des mauritaniens à matam et à podor qui deviennent bizarrement les plus grands bassins électoraux du sénégal
Maky se fait battre dans toutes les grandes villes lors des législatives par sonko
Maky se fait battre par la liste des remplaçants de sonko lors des légsilatives
Ethnicisme émergent
APR alliance des poulars de la république
Amadou ba en roue de secours du maquis au cas où
Des nominations et recrutements politiques engendrant toucoulorisation de le république, néddo bandoum partout
Maquis a cassé la nation
Le maquis pire que le nazisme
Sonko ou rien
Sonko ou le chaos
Hé maquis, si t es garçon, arrête sonko
Le peuple défendra l’ange SONKO face au monstre maquis
Ptjmkdr
En Juin, 2023 (06:17 AM)En France 2 ème nuit d'émeutes suite à la mort d'un jeune assassiné par la police.
Des commissariats attaqués et brûlés, des véhicules incendiés
Des policiers ciblés par des tirs de mortiers et de fusils
Un tramway (l'équivalent du BRT en moins cher et plus utile) incendiée
Une prison attaquée
Et pourtant zéro emeutier tué,
Et pourtant aucun nervis aperçu aux côtés des FDS
Et pourtant aucun ministre, homme politique , journalistes, personne de la société civile ne vient mentir en parlant d'actes terroristes
Aucun blocus de ville
Voilà pourquoi ce sont toujours les africains qui finissent devant la Cpi
Lebaolbaol Tigui
En Juin, 2023 (06:31 AM)Boff
En Juin, 2023 (09:17 AM)Participer à la Discussion